Comme chez d'autres espèces animales, il a été montré que l'odorat guidait le choix du partenaire et que celui-ci était généralement porteur d'un complexe majeur d'histocompatibilité (CMH) relativement différent du sien. En effet, il est préférable d'éviter de s'apparier avec un individu au génome proche du sien pour avoir une descendance porteuse d'une grande diversité génétique, notamment au regard de la résistance aux maladies.
Les auteurs rappellent que ce ne sont pas tant les sécrétions produites par les glandes qui sont odorantes que leur transformation par les bactéries présentes à ce niveau.