Gérard Ejnès

Grâce à la Masse Critique de Babelio, je découvre cet auteur, dont je n'avais jamais entendu parler, même comme journaliste sportif. Je remercie d'ailleurs Babelio et la maison d'édition "Le passeur" de m'avoir permis cette découverte.

Dès l'abord, il faut se familiariser avec des termes propres à la religion juive, ce qui n'est pas évident pour quelqu'un de non initié. Cela ne permet pas une lecture fluide. Mais on apprend des choses très intéressantes, parfois curieuses, comme le fait que les diminutifs des prénoms sont plus longs que les prénoms.

Le narrateur est l'auteur que l'on suit dans ses réflexions et dans ses échanges avec son meilleur ami et avec son père.

Son père, un vieux monsieur de 97 ans va lui raconter les rafles, la seconde guerre mondiale, la guerre d'Indochine.

Cette autobiographie aurait pu être passionnante si les idées avaient été un peu ordonnées, structurées. Mais, pour moi, ce furent des anecdotes en vrac entre lesquelles j'ai eu du mal à voir un fil conducteur. A certains moments, il y avait des digressions importantes qui m'ont égarées. A d'autres moments, l'anecdote prenait fin et il était question que le personnage reviendrait plus loin dans les anecdotes...

Bref, j'ai mis plus de temps à lire les 460 pages de ce livre que 1000 pages de Ken Follett. Dommage, parce que je pense que ça a contribué à me faire perdre le fil...

Je pense que l'auteur a voulu tout dire en une fois, alors qu'il aurait pu ne pas épuiser son sujet, ses origines juives. Il balance un tas de références sans expliquer... Comprenne qui pourra... Je pense qu'il pourrait reprendre le sujet, dire les choses plus simplement et en creusant chacune de ces idées. Et j'y reviendrais volontiers.

Ce livre d'or est un retour d'une grosse centaine de pages sur l'événement footbalistique de cet été : la coupe du monde en Russie.

Bon, c'est vrai que le ton est plutôt dithyrambique et que l'ouvrage ne comporte pas la moindre petite critique concernant le parcours de l'équipe de France (la sélection de joueurs inutiles ou celle de joueurs blessés par exemple). Mais cela fait du bien de se replonger dans cette ambiance de joie près de 6 mois plus tard, d'autant plus que le livre est composé en grande partie d'une centaine de photos.

Heureusement, quelques pages de bilan sur l'Allemagne, l'Angleterre, la Russie, la Belgique, les pays africains, le Portugal, l'Espagne ou la Croatie n'en font pas qu'un ouvrage entièrement consacré à la gloire de l'équipe de France.

Un dictionnaire absurde du footing et du marathon .Un dictionnaire décalé ou' le jogging devient a' la course a ' pied ce que la mousse du canard est au foie gras ou' l’hectomètre selon l’état du coureur , peut mesurer 100m , 500m ,1km , l’infini et ou' les larmes du marathonien sont le signe qu'il est est triste que son calvaire soit terminé .

Ce "Livre d'or du football 2019" effectue un retour sur l'année footballistique 2018/19 des épreuves internationales jusqu'à celles qui concernent plus particulièrement la France (championnats de Ligue 1 et Ligue 2, Coupe de France, Coupe de la Ligue).

Le nombre de pages consacrées au football féminin est en net augmentation puisque l'ouvrage débute par la Coupe du Monde féminine organisée en France à l'été dernier ; la Ligue des Champions est également brièvement abordée à la fin. Dommage que Gérard Ejnès utilise un ton un peu condescendant envers l'équipe de France féminine et surtout sa sélectionneuse Corinne Diacre. Eh oui ! Le fait qu'elle ne veuille pas lécher les bottes des journalistes doit le gêner. Je rappelle que Gérard Ejnès fait partie des journalistes du quotidien L'Equipe qui ont alimenté la polémique avec Aimé Jacquet avant la Coupe du monde 1998 et auxquels ce dernier n'a jamais voulu pardonner.

Autre imbécillité crasse du journaliste sportif français moyen employée tout au long du livre : dénigrer le Paris-SG et Neymar, encenser a contrario les équipes étrangères et leurs joueurs qui sont alors parés de toutes les qualités.

Ce "Livre d'or du football 2016" est un panorama assez complet de l'année footballistique 2015/2016 d'un point de vue plus particulièrement français.

Retour sur l'Euro 2016 en France, récit des compétitions françaises (Trophée des Champions, championnat, coupe de la Ligue et coupe de France) et européennes (Ligue des champions, Europa League, championnats d'Espagne, d'Angleterre, d'Italie et d'Allemagne).

Le tout est agrémenté de nombreuses photographies et de rubriques originales (les tops et les flops pour chaque compétition...)

Un cahier complet de tous les résultats complète l'ouvrage.

Un bel ouvrage paru en 2001 célébrant les 50 plus belles pages du football français, au travers de ses clubs (l'OM, le PSG, St Étienne bien sûr...et le FC Metz également, vive la Lorraine !), mais aussi et surtout de son équipe nationale. L'occasion de revivre de splendides moments d'émotion, avec pour apogée bien entendu, la victoire en finale de coupe du monde 1998. Un succès qualifié ici de chef d'oeuvre, et figurant dans les premières pages de l'ouvrage, avant que ne soit déroulées chronologiquement les 49 autres "glorieuses" sélectionnées...

Le Ballon d'Or (BO) s'est imposé comme la distinction individuelle la plus importante en football. Cocorico, elle fut inventée par France Football, qui fut un magazine de foot, un vrai de vrai, pour ceux qui ont eu la chance, comme moi, d'y être abonné à l'époque où c'était un hebdomadaire (sans parler de l'âge d'or où il paraissait deux fois par semaine) et où ses meilleurs plumes nous régalaient chaque semaine de leurs analyses, n'hésitant pas, notamment, à critiquer voire dénoncer les dérives d'un sport gangréné par le trop-plein d'argent.



Bref, France Football, ex-magazine de foot devenu revue People mise sous tutelle par la maison-mère qu'est L'Equipe, car l'époque est dure pour la presse, nous propose un très beau livre qui revient sur toute l'épopée du BO, son histoire, différents aspects, s'affranchissant avec bonheur de la contrainte chronologique, mettant en avant les gagnants multiples (même si évidemment ce n'est pas à jour, depuis sa parution Messi en a remporté deux de plus, bientôt trois peut-être, et j'en profite pour signaler que tout Messi et génie qu'il est, ça en fera trois de trop au total, tout comme CR7 en souleva un de trop, enfin ce n'est pas l'objet de la présente critique, donc fin de la digression).



Conclusion : ouvrage très plaisant, un must-have pour un passionné de foot qui aime lire :).

Je remercie @Babelio.com et les éditions @Le Passeur de m'avoir permis de découvrir Comment le dire avec circoncision ? par @Gérard Ejnès dans le cadre de Masse critique Littérature.

Le sujet est intéressant : il s'agit d'une autobiographie dans laquelle l'auteur évoque sa difficulté à admettre qu'il est Juif, même s'il ne l'a pas choisi. Après une longue phase de rejet et d'interrogation, il explique comment il se réconcilie avec ses origines grâce à ses échanges avec son meilleur ami et son père, dont il découvre l'histoire sur le tard.

Un livre sur la transmission et le poids de l'Histoire sur la construction d'un homme.

En revanche, j'ai eu beaucoup de mal avec le style de l'auteur, peu fluide.

Il a eu tendance à me perdre dans les détails de construction de phrases complexes.

Bref, j'ai souvent perdu le fil et la lecture en a été rendue laborieuse.

Mais le sujet est riche, peut-être trop pour un seul ouvrage...

Comme chaque année, l'ancien journaliste sportif de L'Equipe et de France Football revient sur les événements footballistiques de l'année écoulée.

Le problème avec 2022 est que les plus grandes compétitions se sont jouées en-dehors des limites de bouclage du livre ! L'Euro féminin s'est déroulé en juillet et la Coupe du monde masculine en novembre-décembre.

Donc, Gérard Ejnès revient sur le championnat et la coupe de France, très très brièvement les championnats étrangers (Angleterre, Allemagne, Espagne et Italie), les trois coupes européennes, les rencontres de l'équipe de France, et... très étonnant pour quelqu'un qui ne parle que du football européen, la Coupe d'Afrique des Nations (mais il faut rajouter que l'article ne fait que quatre pages dont une est occupée par une photo pleine page !).



Le tout est écrit dans un style journalistique donc comportant des phrases mises bout à bout et formant des paragraphes indigestes. La pénibilité de lecture est également augmentée par les nombreuses erreurs typographiques, de grammaire (l'emploi de l'adjectif second à la place de deuxième est assez énervant), ou pire, de méconnaissance footballistique (page 146, le footballeur Gündogan est affublé d'une nationalité turque lui l'international allemand né à Gelsenkirchen !!).



Dommage également que le livre s'ouvre sur le panégyrique éhonté de Karim Benzema sur quatre pages, ou que la rubrique nécrologie soit phagocytée par l'hommage à Bernard Tapie, grand escroc qui n'a rien à faire dans un ouvrage sportif (le sport vecteur de la discipline, de l'égalité, du respect des autres et des règles... très loin de ce que représentait cet homme).



Enfin, pour terminer, le football féminin n'est abordé que pour parler de la Ligue des Champions féminine, sur quatre pages dont une est une photographie, et parce qu'elle fut remportée par une équipe française, l'Olympique lyonnais.

Sinon, pas une ligne sur les résultats de l'équipe nationale, sur le championnat de France ou sur l'Euro qui s'est déroulé pendant que ce livre était en fabrication.

Encore un qui doit penser que le football n'est qu'un sport masculin !

Le "Livre d'or du football 2021" revient sur les compétitions de football qui se sont jouées en 2021, coupes européennes, championnats étrangers et championnats français.

Mais, la part belle est faite à l'Euro 2020, repoussé d'une année en raison de la pandémie de Covid et organisé dans sa dernière phase en Angleterre. Nous avons droit en prime au journal de bord du journaliste de L'Equipe, Vincent Duluc. Mais est-ce bien un bonus quand ce monsieur, anglophile convaincu, exonère dans ses écrits les excès de son peuple préféré. Les bagarres des supporters (?) anglais contre les policiers et les fans des équipes adverses, les hymnes des équipes adverses sifflés, une organisation à tout le moins étrange qui a permis à l'Angleterre de jouer toutes ses rencontres dans son pays tandis que les vingt-trois autres équipes ont dû arpenter toute l'Europe d'ouest en est et du nord au sud... tout cela n'est pas grave puisque monsieur Duluc a été enchanté de la compétition pendant laquelle il a pu suivre des rencontres au milieu des fans anglais et chanter avec eux, de la bière à portée de main.



Sinon, comme d'habitude dans cette collection, le livre revient sur les compétitions françaises (Trophée des Champions, championnat, coupe de France) et européennes (Ligue des champions, Europa League, championnats d'Espagne, d'Angleterre, d'Italie et d'Allemagne).

Dommage que de nombreuses erreurs (typographiques, de grammaire ou pire, de méconnaissance de l'orthographe des noms des joueurs) gâchent l'ensemble.

Le tout est agrémenté de nombreuses photographies, et de quelques petites rubriques peu pertinentes comme une rétro sur l'année 1991... en plein dans les années tricherie de Bernard Tapie !!

Six pages sont consacrées aux footballeurs décédés dans l'année dont quatre sont entièrement dédiées à un panégyrique de Diego Maradona, joueur qui tripotait peut-être très bien le ballon mais qui est surtout célèbre pour la plus grosse tricherie ayant jamais eu lieu sur un terrain de football (un but marqué de la main) et pour une vie amorale !



Et quand on veut écrire un livre d'or du football de l'année 2021, on ne reste pas européo-centré et on s'intéresse par exemple à la Copa America dont aucune mention n'est faite dans cet ouvrage.

Un livre un peu "difficile" et "compliqué" a lire pour moi...

Je m'attendais a quelque chose de plus émouvant mais c'est un peu "trop" avec du vocabulaire precis sur la religion, j'aurai préféré plus de sentiments et d'emotions

Ca reste tout de meme un témoignage interessant mais j'attendais le petit truc en plus pour etre vraiment convaincue par ce livre dommage ...

Bonjour, j'ai lu ce livre, je le conseille aux personnes qui apprécient le foot car le livre est assez long. Vous risquez de vous ennuyer si vous n'aimez pas le foot. C'est intéressant de revoir tous les matches de championnats et de coupes. Cependant les descriptions de l'année sont beaucoup trop dans le détail.





Cordialement:

Un élève du collège de la voie dominitienne.

pour me rappeler des souvenir en foot je le regarde les photo sont sympa sinon je n'aime pas trop ces livres

Panorama complet de la saison de football 2013/14 avec la coupe du monde, les coupes européennes, les championnats de France, d'Angleterre, d'Allemagne, d'Espagne et d'Italie.

12 juillet 98, contre toute attente la France remporte sa première Coupe du monde, chez elle. Les Bleus deviennent des héros nationaux et défilent sur les Champs-Elysées au milieu d’une marée humaine. Cinq ans avant, ils n’avaient pas réussi à se qualifier pour le Mondial 1994. Un nouvel entraîneur, Aimé Jacquet, était alors nommé qui accompagnera l’équipe de France jusqu’à la victoire.

ce n'est pas les livres que je préfère mais si les jeunes cherchent des anecdotes et des souvenirs e leur conseil