Oui, c'est ainsi, au-delà d'une certaine limite, on confond le plaisir et l'amour. On croit aimer quand on jouit si fort. C'est à ça que servent les endorphines et l'ocytocine. Rien de démystifiant ou de réducteur dans mes propos : pour nous humains, l'échelle vers le (septième) ciel ne peut qu'être d'abord de matière.