En apprenant à s’aimer, à se considérer, en dépassant ses craintes, en se libérant d’un passé trop lourd à porter, on apprend à éprouver du plaisir à se retrouver seul. On observe alors que la solitude n’est ni une prison ni une clôture qui isole, mais un moyen, en étant soi-même, d’aller à la rencontre de l’autre avec humilité et de l’accueillir avec bienveillance.