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Citations de Gérard de Villiers (171)


le tact dans l, audace. c'est
de savoir jusqu'où on peut
aller trop loin.
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- ce n'est pas sur une montagne qu'on trébuche,
mais sur une pierre.
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Cyntia se retourna machinalement, pour vérifier que les deux "baby-sitters" de Malko suivaient bien.
Son coeur faillit exploser.
Les deux Américains gisaient sur le trottoir, face contre terre et un homme, le visage caché sous une cagoule, courait vers eux !
Un cri affolé jaillit de sa poitrine.
- Malko !
Celui-ci se retourna d'abord vers elle et ne vit qu'ensuite l'homme qui avançait sur lui, un pistolet à bout de bras, prolongé par un gros silencieux.
Après avoir liquidé ses deux gardes du corps, c'est lui qu'ils venaient tuer.
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Ronald Taylor émergea de la salle du Joint Operation Center, au 9e étage du building abritant le Secret Service, au coeur de H Street et de la 9e Street North West, et fonça vers l'ascenseur. Son meeting quotidien avait débordé du temps prévu d'une bonne demi-heure et il était presque huit heures du soir.
Impossible d'échapper à cette grand'messe quotidienne. En tant que Deputy Director du Secret Service, l'organisation composée de 3404 agents veillant sur la sécurité des Présidents des États-Unis et de leur famille, il se devait d'y assister jusqu'à la dernière seconde. Le Secret Service fonctionnait comme une machine bien huilée, grâce à un confortable budget de 1,4 milliard de dollars par an, mais chaque journée demandait des heures de préparation afin de s'assurer que rien ne viendrait troubler la quiétude ou mettre en danger l'unique «client» du Secret Service : le Président des États-Unis. En l'occurrence Barack Hussein Obama, quarante-quatrième président des États-Unis.
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Gérard de Villiers
Elle était branchée, raconta encore l'histoire répétée dans la rue par les Moscovites sur le Grand Prix de Leningrad en Formule 1 :
- Gorbatchev défie Reagan. Ce dernier gagne à bord de Ford, laissant loin derrière la Gaz de son adversaire. Commentaire dans la Pravda du lendemain : le camarade Gorbatchev s'est brillamment comporté dans le défi qui l'opposait à Reagan. Il a terminé second et le président américain avant-dernier.
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malko rentre a son hôtel,
pour se changer avant son
rendez vous avec lili.il attend dans sa voiture 🚗 .
garer au bord d'une corniche a pic de deux cents mètres qui se termine sur un bout de plage battue par les vagues du Pacifique.il entend un bruit de moteur,
et jete un coup d'oeil sur sa montre, 8 h 30 pile. la
jolie chinoise était exacte,
le bruit augmenta , malko
entrevit une masse noire
dans le rétroviseur.puis il
y eut un choc effroyable a
l, arrière.la ford s, envola.
dans le vide,malko sauta
dehors au moment où la
mustang basculait dans le
vide.il mit près d'un quart d'heure pour remonter,
son costume d, alpaga était en loques et son visage couvert d,égratignures,il s,affaissa
contre les débris de la barrière blanche.a ce moment une voiture de police et un camion de pompiers arrivaient dans un hurlement de sirènes.
malko fut étendu sur une civière.
- qu'es qui vous est arrivé?
lui demanda un lieutenant de police , l, air soupçonneux.
- mon pied a glissé sur l,
accélérateur et la voiture est parti en avant.
- vous êtes sur que vous ne l'avez pas fait exprès,
- oui je l'ai fait exprès!fit
malko sarcastique,j'ai voulu voir si cette bagnole
pouvait voler....
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Comment va-t-on trouver cette Chek-Keng? demanda Malko en trempant une crevette dans une sauce qui ressemblait à du détergent.
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Malko ne demanda pas pourquoi il ne quittait pas l’Afrique. Cela n’aurait pas été délicat. Ce continent recueillait des gens au passé flou qui échouaient là et ne repartaient jamais, s’étant fait un petit trou plus ou moins confortable. Des «tropical tramps». Passant d’un pays à un autre. Comme il fallait très peu d’argent pour monter une affaire en Afrique, ils survivaient tant bien que mal.
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Juste avant le village de Beit Oumma, Malko dut ralentir.
Un bus bondé, en plaques vertes, était arrêté dans un virage en train de décharger des passagers. Soudain, il entendit une grêle de coups secs sur la carrosserie. Le pare-brise de la Nissan s'étoila, et la direction devint très dure.
A côté de lui, Yossi Blim poussa un cri de souris et s'effondra en avant, le visage en sang.
La Nissan zigzaguait sur la route. Malko, incapable de la contrôler, vint s'encastrer dans l'arrière du bus.
Les coups de feu reprirent, faisant exploser la glace arrière et celle des portières arrière.
Il était sous le feu d'une arme automatique.
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Malko aperçut une femme braquant sur lui un riot-gun qui lui parut énorme. Elle fit un pas de côté entrant dans le champ lumineux et il reconnut Sandra Meyer. Sa bouche se tordit en un sourire haineux.
- Salaud, siffla-t-elle, c'est à cause de vous que Gustav est mort.
Elle appuya sur la détente du riot-gun, le canon à quelques centimètres de la tête de Malko...
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À mon avis, elle a dû baiser la moitié de Bruxelles. Si elle sort avec un mec, elle ne sait pas dire non. Pour être polie, quoi.
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malko après avoir échappé à un piège rentre a son hôtel avec l,intention de prendre une douche.
mais il trouve sa salle de bain occuper par Alexandra.
- vous savez ma chère qu'une femme passe 7 ans de sa vie dans sa salle de bain.
- en vous que les hommes passe 3 ans de leurs vies
derrière la porte a leurs demander quand elles auront fini.
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La culasse du Glock de Malko claqua avec un bruit sec et demeura ouverte.
Le chargeur était vide.
Malko sentit le sang se retirer de son visage. Le tueur fou qui fonçait sur lui était assez près pour qu'il puisse distinguer sa lèvre supérieure retroussée sur un rictus dément.
Celui-ci leva son long poignard, s'apprêtant à décapiter Malko comme les deux Tibétains.
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quand je suis triste 😢 je chante 🎤 et la je n,aperçoit que ma voix est
pire que mes problèmes.
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Vera Sverdlov avait du tempérament, à défaut de technique. En amour, elle fonctionnait lourdement, posément, sériant ses figures imposées à la façon d'un patineuse modérément douée. En libre, elle ne valait rien du tout. Zéro pointé pour la fantaisie.
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Au lieu de son «stringer», il vit surgir trois filles hilares! Une grande, aux cheveux lissés artificiellement, moulée dans un pagne jaune s’arrêtant en haut des cuisses, une autre en robe moulante blanche et la troisième un bandeau autour de la poitrine, la croupe moulée par un «corsaire» en lastex rose. Une croupe callipyge comme on n’en trouve qu’en Afrique.
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Il examina la foule et aperçut un photographe ambulant avec un antique appareil et son manchon de tissu noir. Il photographiait les amateurs de souvenirs sur un lama de bois.
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une défaite est une leçon est chaque leçon est une victoire ✌.
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Elle était branchée, raconta encore l'histoire répétée dans la rue par les Moscovites sur le Grand Prix de Leningrad en Formule 1 :
- Gorbatchev défie Reagan. Ce dernier gagne à bord de Ford, laissant loin derrière la Gaz de son adversaire. Commentaire dans la Pravda du lendemain : le camarade Gorbatchev s'est brillamment comporté dans le défi qui l'opposait à Reagan. Il a terminé second et le président américain avant-dernier.
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- Vous n'avez pas eu de réfugiés à l'ambassade américaine ? demanda-t-il.
John Villavera secoua la tête lentement.
- Non
- Comment cela se fait-il ?
L'Américain haussa les sourcils en une mimique d'incompréhension.
- Je...La politique de notre gouvernement est très stricte, n'est-ce pas...Nous ne pouvons pas accueillir de réfugiés politiques hors quota. Les gens devaient le savoir...
Malko retint un sourire incrédule.
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