Je n'avais pas encore saisi que ma dévotion naissante pour le jazz avait pris le dessus sur mes tendances juives nationalistes, ni que c'était probablement en cet endroit et à ce moment-là que j'avais renoncé à l'Election pour devenir un être humain ordinaire. Des années plus tard, j'allais effectivement comprendre que le jazz m'avait sauvé.