Citations de Gilbert Delahaye (222)
Martine est partout à la fois.
Elle aide Alexis qui sèche sur ses devoirs.
Il est au bord des larmes.
Il préférerait jouer avec le chien César.
Un coup deux coups d'avertisseur. L'autorail de Martine entre en gare. C'est la fin du voyage.
Au bout du quai, le cousin, la cousine attendent Martine et Jean avec impatience
Mais la machine emporte les voyageurs à toute vitesse. On dirait qu'elle ne va plus jamais s'arrêter. L'horizon fuit. Voici d'autres champs, d'autres villages. On a beau dire, ça fait une drôle d'impression de se trouver si loin de la maison ! Martine pense à papa et à Maman. Jean est un peu inquiet :
- Les cousins viendront-ils nous chercher à la gare ?
On passe auprès de la nursery.
La, on s'amuse bien. Le cheval à bascule est occupé à galoper. Mais il a beau se dépêcher, se dépêcher, il reste toujours à la même place.
Martine est au rayon des disques avec son frère.
- Je voudrais écouter le "Chat botté", dit Philippe à Martine.
La vendeuse a mis le disque sur le plateau.
On quitte la grande volière, pour la serre tropicale. Ici, il fait très chaud !
Les toucans au bec rouge lancent des cris perçants, mais c'est surtout le bec du calao qui fascine Martine.
On dirait un ballon gonflable, dit Ludo.
On s'attarde un peu dans la ferme miniature, juste le temps de jouer à je-te-tiens-par-la-barbichette avec le bouquetin.
Mais il faut avancer.
Plume est un petit chat timide. Il ne ferait pas de mal à une souris. Il ne pèse pas plus lourd qu'un moineau.
C'est celui-là que je préfère.
"Comme j'aimerais le caresser" !
- Si je tends la main, viendra-t-il se poser dedans ? demande Nicole.
- Pourquoi pas ? Pierrot n'est pas farouche.
On ne bouge plus. On attend qu'il se décide.
- Je crois que je n'arriverai jamais à jouer du violoncelle. C'est trop difficile. Cela me donne des cauchemars.
- Mais non ! Ne te laisse pas décourager par un mauvais rêve. Au début ce n'est pas facile. Il faut de la patience.
- Naviguer, c'est voyager sur un navire.
- Eh bien ! ma fille, on dit aussi naviguer dans les airs.
- Ici, on embarque les marchandises. Il faut monter avec les voyageurs comme tout le monde, petit nigaud !
On voit bien que Patapouf n'a jamais pris le train.
- Descends de là tout de suite, sinon je me fâche !
- Je ne peux pas. J'ai mal à la patte.
Ce petit chien, tout de même, quel têtu !
Qui sait nager se sent léger comme un bouchon dans l'eau.
Elles sont si jolies, les fleurs, dans la rosée du matin !
Les pensées vous regardent avec leurs yeux de velours. Le muflier attend son amie l'abeille. La reine-marguerite vous dit "bonjour,bonjour" sur la pointe des pieds. "Cueillez-moi, cueillez-moi", fait le phlox. Oui le jardin de Martine est vraiment un jardin merveilleux.
- Maman m'a acheté ce joli croiseur. Tu sais, je serai marin, c'est décidé depuis un quart d'heure. Et après, je serai capitaine de sous-marin.
- Eh bien, je suis occupé à seller Pâquerette.
C'est la jument la plus docile de l'oncle Philippe.
"Tiens, un cheval qu'on habille", se dit Patapouf.
Cet avion est vraiment confortable. On y peut rêver, lire, écouter la musique.
Bouffi, l'hippopotame, a des ennuis.
- Je vois ce que c'est, se dit Patapouf. Il a trop mangé. Il est lourd, lourd ! Il ne peut plus sortir de l'eau.
C'est tellement drôle de sauter comme un fou dans la neige ! On s'y enfonce comme si c'était de la farine. Elle vole dans les yeux, les narines, les oreilles... Voilà une belle partie de plaisir !
Voici les clowns Pif et Paf ont changé de costume. Personne ne les reconnait. Pif porte un habit couvert de diamants. Paf a mis son pantalon rayé, sa nouvelle cravate et ses chaussures de trois kilomètres.