Le Brésil s'est formé sans que les colonisateurs se préoccupent d'unité ou de pureté de race. Pendant tout le cours du XVIe siècle, la colonie est restée ouverte à tous les étrangers pourvu qu'ils fussent catholiques.(...)
On craignait, dans le non-catholique, l'ennemi politique capable de briser ou d'affaiblir cette solidarité qui s'était développée au Portugal en union avec la religion catholique.
pp. 60, 61 et 62