EMMANUEL
Où sont les monstres, les animaux mutants, où sont les arbres déchirés, la terre carbonisée ? La mort peut-elle donc avoir ce visage paisible? Ici les semblants vacillent, les fantasmes sont balayés... Je suis face à autre chose. Moi-même ? Comment, alors, saisir l'invisible ? J'inscris la dose du rayonnement au-dessus du dessin, espérant traduire ainsi la tragédie dans l'oxymore.