Il est temps que je vous laisse partir. Ce que vous avez fait est immonde, abject, innommable, insupportable, mais je ne veux plus de cette violence qui m'empêche d'avancer, qui m'étouffe chaque jour un peu plus. Elle vous appartient, je vous la rends. Il est temps que je choisisse la vie. Il est temps que je vous pardonne. (p.47)