En cette fin de décennie, il y a bien un miracle de la Nuit, pour faire que l’Argent, la Mode, la Rue, le Journal et même l’Université s’étourdissent ensemble et conjuguent leurs talents en accouchant de ce paradoxe : un équilibre festif, aimable boudoir de la « société tertiaire de services » qui allait bien vite devenir celle de l’ennui, de l’esprit d’imitation, de la lâcheté et surtout celle du petit jeu de l’envie réciproque –« le premier qui se réveille envie l’autre ».