Alors, adieu tout le monde, tous ceux qui ignoraient que j’étais là, saoul, beaucoup plus saoul qu’avant et pas aussi heureux qu’avant, le matin, ou plutôt pas heureux du tout, juste en proie au calme immense et stupide qui succède à certains bonheurs et qui permet de songer à n’importe quoi puisque tout est lointain.
C’est bien d’avoir ce genre de pensées, bien et inutile. Moi, j’aime les choses inutiles, ce sont les seules que j’arrive à mener à terme. P 45