Il l’entraîna alors jusqu’au divan, et, sans un mot, sans une caresse, il la pénétra. Sonia se sentit comme un butin qu’on s’approprie. Il la chevaucha ainsi trois fois, quatre fois et, à chaque coup de boutoir, avec la même fureur.
Quand il fut rassasié, il lui adressa cette tirade qu’elle ne pouvait ne pas connaître : « Et Vénus à sa proie attachée… »
Il se leva et s’offrit le repos du guerrier.