La roue tournait et tournait : la drogue rapportait, il achetait des propriétés, la drogue lui rapportait encore, il achetait de plus belle, jusqu’à ce que son comptable devienne plus ambitieux et élabore un projet d’empire commercial tout à fait légal, comprenant non seulement des biens immobiliers, mais aussi diverses entreprises : cafés-bars, hôtels, parts dans une société de taxis, instituts de bronzage, bars à ongles, investissements à l’étranger, et, plus récemment, une agence de conseil en matière de sécurité qui proposait divers services.