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Critiques de Graham McNeill (113)
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L'Hérésie d'Horus, tome 5 - Fulgrim : Portrai..

Décadence et folie pour ce cinquième épisode de l'hérésie d'Horus. Il revient sur la quadrilogie de départ, du point de vue des Emperor's Children.



Fulgrim est le primarque de cette légion. A travers de multiples combats contre des races extraterrestres (Laers, eldars, peaux-vertes), ses interactions avec la légion des Irons Hands (et de son primarque Ferrus Manus), on suit sa lente déchéance et son basculement vers la folie qui lui fera suivre le maître de guerre dans sa trahison jusqu'à la bataille de Isstvan V qui scelle le sort de la trahison si Isstvan III n'avait pas suffit.

Dans sa suite, les commémorateurs associés à sa flotte basculent également progressivement dans le chaos.



Un épais bouquin qui fait la part belle aux exactions et conséquences du chaos. McNeil excelle dans sa présentation, noire, dégradante, la débauche et les plus vils instincts de la chair corrompue. Pour les adeptes des ultramarines, on retrouve un peu l'ambiance de Ciel mort, soleil noir qu'il a écrit trois ans plus tôt.

L'atmosphère du livre est lourde, extrêmement sombre, glauque, sanglante (c'est une constante des livres W40k pour cette dernière), mais puissante, envoûtante.

On pourra regretter quelques longueurs mais le sujet est parfaitement maîtrisé.

Il est vrai que le tome 4 ( La fuite de l'Eisenstein) fait pâle figure à côté de cet opus, plus complexe et violent, plus abouti.



La suite : Le retour des anges - Loyauté et Honneur.
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L'Hérésie d'Horus, tome 9 : Mechanicum, le sa..

Je sais et je peux.



Dans la chronologie de l'hérésie, le massacre d'Istvaan III a eu lieu. Horus a envoyé Regulus vers Mars pour les rallier à sa cause et trouve rapidement du soutien.

Dans un Mechanicum figé empêtré dans les dogmes, la tradition et les répétitions des technoprêtres, Horus propose l'accès à un nouveau savoir. Mais la compréhension profonde, l'expérimentation, l'invention et la recherche n'est pas l'apanage du Chaos et l'adepte Zeth et sa nouvelle protégée Dalia avides de savoir ne sont pas prêtes à basculer dans le chaos. Les légions titaniques feront peut être la différence.





Il faut à nouveau être familier de l'univers Wh40k et de l'hérésie en particulier pour bien appréhender ce roman.

Un langage souvent technique où les termes propres aux machines de Mars se rajoutent à ceux de l'univers Warhammer.

Mc Neill est un auteur récurent de la licence et désormais bien habitué à la sous-section de l'hérésie.

Mais nous avons ici un tome qui s'éloigne totalement de l'Astarte (quasi absent) mais qui nous amène un pan de compréhension supplémentaire du fonctionnement du Mechanicum, du moins celui d'avant l'hérésie.

Le livre peut se diviser en deux parties. La première, un peu nébuleuse et pas franchement enthousiasmante centrée sur Zeth et Dalia dans leur recherche du savoir universel et une seconde beaucoup plus rythmée qui voient s'affronter les légions de Titans pour le contrôle de Mars.



Distrayant mais sans plus.
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Ultramarines, tome 5 : Courage et Honneur

Il s'agit du cinquième tome de la licence Uriel Ventris des Ultramarines.



Après une épopée en double et un retour difficile à la civilisation dans le tome précédent (Champ de mort), nous somme en présence d'un retour à la normale. Uriel a été lavé de tout soupçon par les chevaliers gris, même s'il reste mis à l'épreuve par ses propres compagnons d'arme.

La quatrième compagnie s'oppose cette fois, sur Pavonis, dans le cadre d'un retour aux sources (voir Nightbringer), aux Tau. Ils ne ressemblent pas aux peaux-vertes ou aux flottes-ruches. Ils ne ravagent pas des mondes ni ne cherchent la destruction pour le plaisir de détruire. Ils travaillent pour le bien de leur espèce et c'est même assez admirable.



Dans ce tome, on entre directement dans le vif du sujet avec une petite escarmouche. Le récit est habilement construit pour éviter les temps morts et la concentration en début d’œuvre des chapitres explicatifs et en fin, l'action (utilisation du flashback bien sûr).

Pour ceux qui ce sont un peu perdu dans l'histoire, il y aura des rappels historiques des tomes un à quatre.

Un ennemi organisé, intelligent et moins bestial que ce qu'ont du affronter jusqu'à présent les Ultramarines.

Une histoire classique, une trame classique, un dénouement habituel. Pas mémorable donc, mais divertissant.
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Ultramarines, tome 6 : La part du chapitre

Une fin de cycle.

Dernier roman en date de la licence Uriel Ventris Ultramarines.



L'Imperium compte plus d'un million de mondes. Qui peut se soucier de la perte d'un seul d'entre eux ? Tout dépend de quel monde il s'agit.

Honsou est de retour. Vouant une haine éternelle à Ventris, il compte assouvir sa vengeance sur les mondes de l'Ultramar, aidé en cela de quelques puissances démoniaques pluri- millénaires et une armée en conséquence.

Les Ultramarines vont devoir se dresser contre l’agression de leurs mondes natals, mais leur attachement au Codex, les rendant prévisibles pour un ennemi intelligent signera-t-il leur perte ?



Ce roman se veut une synthèse. On avait découvert Honsou dans Déluge d'acier, un ennemi retors, intelligent et compétent pour le retrouver ensuite face à Ventris dans Ciel mort, soleil noir, le tome 3 de la série. Le combat final aura bien lieu.

On retrouve dans ce tome le même type d'ennemis. C'est tellement plus glorieux d'avoir à se battre et triompher face à un ennemi capable.

Les descriptions des différents protagonistes sont précises, directes, chirurgicales (ce qui explique peut-être ces océans d'hémoglobine...). L'action est omniprésente et on trouve ce qu'on est venu chercher dans cette série.

Par contre j'ai trouvé ce dernier tome un peu brouillon. On passe sans arrêt d'un fil à un autre de la narration, Ventris devenant presque un personnage secondaire de sa propre histoire. C'est un peu déroutant.



Au final et malgré tout, un bon roman d'action.
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Warhammer 40.000, tome 2 : Déluge d'acier

Une défense héroïque et une attaque implacable.



Ecrit en 2003 (publié en 2006 en VF), ce roman est le second de l'auteur après Nightbringer, mais il n'appartient pas à la série Uriel Ventris Ultramarines, bien que McNeill en reprendra des éléments pour son troisième tome de la série : Ciel mort, soleil noir.



L'histoire est extrêmement simple. Le siège d'une forteresse très bien défendue (20.000 hommes, 900 blindés et 11 titans) par les forces du chaos qui ne sont pas venues pour faire de la figuration et dont la composante principale est les Iron Warriors.

D'entrée de jeu, l'auteur annonce la couleur : Les méchants seront les principaux protagonistes de l'histoire et ils ne sont pas là pour faire un truc stupide au dernier moment pour permettre aux gentils de gagner. Se donner du mal pour finir irrémédiablement vaincus. Les Iron Warriors sont des Space marines du Chaos et ils sont égaux en force et puissance aux Space marines loyalistes. Les forces du chaos n'ont pas réussi à combattre pendant 10.000 ans sans un minimum de compétence.



L'auteur a parfaitement réussi son pari, le roman est une réussite du genre. On ne s'ennuie pas une seconde, passant régulièrement des défenseurs aux attaquants, le récit est bien équilibré et vivant. Les moments épiques sont légions et digne des plus grand sièges des maîtres du genre (Gemmell David) dont l'auteur dit s'être inspiré.
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L'Hérésie d'Horus, tome 2 : Les faux dieux

Il s'agit du second tome de la série "l'hérésie d'Horus", commencée par l'Ascension d'Horus de Dan Abnett.



Ce deuxième opus commence là où le premier s'était arrêté. Horus, informé de la trahison d'Eugan Temba qui conspue l'Empereur et le maître de guerre, part, sournoisement aiguillé par les forces du Chaos déjà à l'action, combattre lui même la sédition sur l'une des Lunes de Davin. Il y sera confronté aux horreurs nécrotiques, un piège mortel pour Horus qui va finir par succomber aux sirènes maléfiques.



Le Chaos, dans le Warp, puissance élémentaire incontrôlable, grouillant de vie, d'ambition et de désir. Le pouvoir de dominer, de contrôler et de régner. Son ennemi du moment : l'Humanité. Son futur champion. Horus lui-même.

Dans cet épisode, un Horus en colère, confronté à ses propres démons et tentations. Il fera un choix (que l'on connaît) qui scellera le futur des légions de Space Marines et des hommes.

Un épisode sombre, violent. Très bien écrit, dans la ligne directe du premier tome qui nous en apprend un peu plus sur la création des Primarques et des fondements de la religion à venir ( on est dans ce millénaire farouchement opposé à toute forme d'adoration de l’Empereur en tant que divinité).



A suivre : La Galaxie en Flammes.
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Ultramarines, tome 4 : Champ de mort

Quatrième tome de la série Uriel Ventris des Ultramarines et suite directe de Ciel mort, soleil noir.



Le capitaine Uriel Ventris et son fidèle sergent Pasanius sont de retour de Medrengard, l’œil de la terreur, en compagnie d'une petite unité des Décharnés, fruit d'expériences ratées, rebus rebelles surpuissant, ayant pris fait et cause pour nos deux héros.

Ils atterrissent sur une planète que l'Achaman Falcatas a reçu en récompense de son action de pacification. Mais à quel prix ?

Les exactions qui y ont été commises ont crée une brèche dans le warp et nos héros vont devoir à nouveau affronter les forces du chaos.



Beaucoup moins d'action dans ce tome, mais du coup un background plus développé et l'on prend conscience de l'envers du décor de la guerre de l'Empereur. Exactions et injustices de certaines conquêtes. Les forces en présence sont puissantes et d'une rage que seule la mort peut apaiser. La mort est en chasse et elle emportera quiconque appellera son nom.

Un bon tome où l'on découvre que les space marines ne sont pas les guerriers ultimes des armées de l'Empereur et qu'ils ont des faiblesses.
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L'hérésie d'Horus, tome 12 : Un millier de fi..

Un babelionaute a dit de ce roman : Grandeur et décadence. J’y rajouterai les classiques « Tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se casse » et » science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». Et vous aurez une bonne vue de ce qui va se passer.



Cette lecture vaut plus pour ce que l’on en apprend sur l’histoire des Thousand sons, de la grande croisade, du chaos, des inimitiés entres primarques que des scènes épiques de combats que je viens chercher, parfois (souvent) dans la licence Wh 40k.

En fait, c’est toute la série l’hérésie d’Horus qui est ainsi construite. Elle manque souvent de batailles épiques pour se concentrer sur l’univers même des puissances du chaos et le moment de bascules des troupes autrefois loyalistes.

Ce roman n’échappe pas à la règle et écrit par un des maîtres de la licence, cela n’en est que plus marquant.



Définitivement pour les grands fans, ne peut se lire indépendamment, ne convaincra aucun néophyte et ne découragera aucun adorateur.
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Warhammer 40.000, tome 2 : Déluge d'acier

Ce roman affiche un côté « bien ficelé » très agréable .



L’environnement est très lisible , avec une forteresse immense parfaitement dessinée .

Un siège spectaculaire et méticuleusement mis en scène en contrepoint de la géographie des défenses .



Plusieurs point de vue très mobiles et détaillés alimentent la trame narrative qui est dynamique .

avec quand même une dose de suspense jusque la dernière page et de superbes descriptions qui brosse un tableau très animé .



La narration garde une certaine indépendance avec les contraintes exigeantes découlant de la licence Warhammer .

C’est donc un roman de guerre assez libre que ce texte qui est un pur joyaux de SF militaire .



Quelques petites allusions sur le sens de la vie et de l’univers élèvent le roman à un niveau de lecture pas désagréable .



Une lecture très confortable pour les amateurs de SF militaire et de roman de guerre .

Bref décollage assuré et ballade spectaculaire au poil pour le lecteur , en compagnie de personnages souvent avenants et bien brossés .

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Ultramarines, tome 3 : Ciel mort, Soleil noir

Courage et honneur, haine, torture et sang.



Troisième tome du cycle Uriel Ventris Ultramarines après Nightbringer et Les guerriers d'Ultramar.

Publié en 2004 en VO (2010 en VF), on pourra lire éventuellement Déluge d'acier avant, puisque ce dernier roman a été publié un an avant (en 2006 en VF). Ciel mort soleil noir reprend quelques figures du chaos, les Iron Warriors et une de leur précédente campagne.



Uriel Ventris et son fidèle sergent Pasasnius sont bannis du chapitre pour infractions au codex Astartes dans le tome précédent. Au lieu d'encourir la mort, ils sont désormais liés par un serment de mort. Ils se doivent de détruire les daemonculaba. Matrices servant de mère aux Iron Warriors, les space marines du Chaos. Mission suicide ?

Dans le même temps, l'omphalos daemonium, démon mécanique tout puissant charge nos héros de récupérer le coeur de sang dans la forteresse de Kholan-ghol, dirigé par Honsu sur la planète Medrengard.

Les missions sont-elles liées ? Ventris ira-t-il jusqu'à se compromettre avec les forces obscures ? En sortira-t-il indemne ?



La dimension religieuse est bien plus développée dans cette série que dans les récits des Fantômes de Gaunt.

Ce tome est énormément tourné vers les démons et les forces du chaos. Particulièrement glauque, voire "gerbique", il pourra réjouir certains lecteurs comme en rebuter d'autre. Je n'ai jamais rien eu contre les océans d'hémoglobine, mais là, l'horreur est poussée à son paroxysme et je ne l'ai pas trouvé particulièrement plaisant à lire. Trop de viscères, de tortures et de barils de boyaux à mon goût.

Néanmoins l'action reste omniprésente avec force de rebondissements et combats particulièrement féroces. Les dialogues ne m'ont pas paru inadapté, mais au contraire en adéquation avec le monde particulièrement torturé sur lequel ont échoués nos héros, parfois pris de doutes bien légitimes sur le succès de leur mission.
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Ultramarines, tome 2 : Les guerriers d'Ultr..

Second tome du cycle Uriel Ventris - Ultramarines, écrit en 2003 (2009 en VF) publié un an après Nightbringer.



Après avoir fait connaissance avec le chapitre des Ultramarines dans le tome précédent, Uriel Ventris, Capitaine de la quatrième compagnie va demander de l'aide aux Mortifactors. Un chapitre avec quelques divergences "théologiques" sur les enseignements de leur primarque commun, versant notamment dans des cérémonies plus communément associées aux puissance de la déchéance (ce qui ne les empêchera pas d'être efficace).

Les space marines vont devoir prêter main forte aux forces de défense planétaire de Tarsis Ultra menacées par une vrille de Flotte ruche tyranides : Léviathan.



Les Tyranides, une monstrueuse espèce nomade de prédateurs,vaguement insectoïdes, originaires des confins de notre galaxie, parcourant les profondeurs de l'espace, consommant les planètes à la manière des sauterelles, s'adaptant génétiquement à chaque nouvelle génération pour mieux attaquer la proie suivante. Armées d'un arsenal symbiotique redoutable, de jets d'acide, de bio-plasma et pics d'os en tout genre. Bref un adversaire à la hauteur pour nos héros.



La défense d'une planète contre un envahisseur extraterrestre. De savoureux combats spatiaux et terrestres. Une histoire plus primaire que le tome précédent. McNeill se disperse moins et du coup, c'est plus efficace. S'il prend le temps de poser son récit, ses personnages et d'expliquer aux néophytes son univers et les forces qui le compose,

une fois l'histoire lancée, elle roule toute seule. Avec un vocabulaire très imagé et très immersif pour la description des tyranides et des combats, on assiste à de beaux morceaux de bravoure bien écrit et bien tournés.



En conclusion, un très bon tome, meilleur que le premier et qui appelle à la lecture du suivant : Ciel mort, soleil noir.
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Ultramarines - Intégrale, tome 1

Courage et honneur



Enorme livre composé des trois premiers tomes de la série d'Uriel Ventris Ultramarines et d'une nouvelle :



Nightbringer

Il s'agit du premier roman de l'auteur dans la licence warhammer 40.000, publié en 2002 en VO.



Les ultramarines est un chapitre (1000 hommes divisés en 10 compagnies) issu des spaces marines. Des soldats de 210cm et 200 kg, génétiquement améliorés et suréquipés. Des soldats légendaires, symboles de la puissance de l'Imperium. Mais ils restent humains et meurent comme tout soldat trop gravement touché.



Nous suivons l'histoire de Uriel Ventris, capitaine fraîchement promu de la 4ième compagnie surnommée « les défenseurs de l'ultramar ». Il est envoyé avec sa compagnie, sur Pavonis, planète souffrant de la piraterie des Eldars (une race extraterrestre décadente refusant de reconnaître le droit divin de l'humanité à régner sur la galaxie) et de désordres internes (terrorisme et complot pour la prise du pouvoir). Ventris est chargé d'escorter et de protéger Ario Barzano, un adepte de l'Administratum, chargé de remettre de l'ordre sur la planète.



Nightbringer est une histoire bien construite, le décor est bien décrit et bien imagé pour une bonne immersion dans l'univers de WH 40K. Les personnages ont un passé, une histoire les rendant crédibles. Le dosage entre la mise en place, les explications, le contexte et les combats est correct ce qui fait que l'on ne s'ennuie pas.

C'est un premier roman. On ne retrouve pas la même ferveur, les mêmes frissons que l'on pouvait avoir avec les Fantômes de Gaunt, mais l'atmosphère reste suffisamment consistante pour passer un bon moment.



Suivi de Les guerriers d'Ultramar

Où après avoir fait connaissance avec le chapitre des Ultramarines dans le tome précédent, Uriel Ventris, Capitaine de la quatrième compagnie va demander de l'aide aux Mortifactors. Un chapitre avec quelques divergences "théologiques" sur les enseignements de leur primarque commun, versant notamment dans des cérémonies plus communément associées aux puissance de la déchéance (ce qui ne les empêchera pas d'être efficace).

Les space marines vont devoir prêter main forte aux forces de défense planétaire de Tarsis Ultra menacées par une vrille de Flotte ruche tyranides : Léviathan.



Les Tyranides, une monstrueuse espèce nomade de prédateurs,vaguement insectoïdes, originaires des confins de notre galaxie, parcourant les profondeurs de l'espace, consommant les planètes à la manière des sauterelles, s'adaptant génétiquement à chaque nouvelle génération pour mieux attaquer la proie suivante. Armées d'un arsenal symbiotique redoutable, de jets d'acide, de bio-plasma et pics d'os en tout genre. Bref un adversaire à la hauteur pour nos héros.



La défense d'une planète contre un envahisseur extraterrestre. De savoureux combats spatiaux et terrestres. Une histoire plus primaire que le tome précédent. McNeill se disperse moins et du coup, c'est plus efficace. S'il prend le temps de poser son récit, ses personnages et d'expliquer aux néophytes son univers et les forces qui le compose,

une fois l'histoire lancée, elle roule toute seule. Avec un vocabulaire très imagé et très immersif pour la description des tyranides et des combats, on assiste à de beaux morceaux de bravoure bien écrit et bien tournés.



Et de Ciel mort, soleil noir

Uriel Ventris et son fidèle sergent Pasasnius sont bannis du chapitre pour infractions au codex Astartes dans le tome précédent. Au lieu d'encourir la mort, ils sont désormais liés par un serment de mort. Ils se doivent de détruire les daemonculaba. Matrices servant de mère aux Iron Warriors, les space marines du Chaos. Mission suicide ?

Dans le même temps, l'omphalos daemonium, démon mécanique tout puissant charge nos héros de récupérer le coeur de sang dans la forteresse de Kholan-ghol, dirigé par Honsu sur la planète Medrengard.

Les missions sont-elles liées ? Ventris ira-t-il jusqu'à se compromettre avec les forces obscures ? En sortira-t-il indemne ?



La dimension religieuse est bien plus développée dans cette série que dans les récits des Fantômes de Gaunt.

Ce tome est énormément tourné vers les démons et les forces du chaos. Particulièrement glauque, voire "gerbique", il pourra réjouir certains lecteurs comme en rebuter d'autre. Je n'ai jamais rien eu contre les océans d'hémoglobine, mais là, l'horreur est poussée à son paroxysme et je ne l'ai pas trouvé particulièrement plaisant à lire. Trop de viscères, de tortures et de barils de boyaux à mon goût.

Néanmoins l'action reste omniprésente avec force de rebondissements et combats particulièrement féroces. Les dialogues ne m'ont pas paru inadapté, mais au contraire en adéquation avec le monde particulièrement torturé sur lequel ont échoués nos héros, parfois pris de doutes bien légitimes sur le succès de leur mission.



Enfin la nouvelle hiérarchie qui est paru initialement dans le recueil Paroles de sang.

Un récit très épique d'une escouade d'ultramarines devant détruire un pont avant l'arrivée des ennemis du chaos.
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Warhammer - Les elfes, tome 2 : Les défenseur..

Les habitants du continent elfique d'Ulthuan ne le savent pas encore, mais la paix précaire dans laquelle ils vivent est menacée. Leurs cousins noirs, les druchii, alliés aux hordes chaotiques des steppes du Nord, sont en marche. Et, comme de coutume dans le monde de Warhammer, l'ennemi pourrait bien venir... de l'intérieur !



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Une aventure qui se rattrape aux branches d'une belle manière après un premier tiers tout en longueur et circonvolutions inutiles. Heureusement, le récit devient vite intéressant, endiablé et prenant.

Nous suivons le destin de deux frères elfes, l'un ayant perdu la mémoire, l'autre croyant le premier mort (et pour cause...). Les deux hommes, fort entourés, vont avoir un rôle à jouer dans le futur de leur patrie et de leur race.

Si les dialogues sont parfois artificiels (surtout au début) et les coquilles ultra présentes (franchement, c'est une honte. Même le dos de mon exemplaire papier, ne comprenant pourtant que les quatre mots du titre, réussit à contenir une erreur ! Les défenseurs d'Ulthuan sont devenus les Edfenseurs d'Ulthuan... quel je m'en foutisme !), la patte de l'auteur de la trilogie de Sigmar se retrouve vers la fin.

Adepte des Twist et des trahisons, des combats épiques et des situations désespérées (bah oui, ici on s'en prend sur la tronche des quatre points cardinaux... d'ailleurs, merci à la carte qui accompagne le texte), des récits noirs et sans pitié, Graham McNeill nous offre là un premier tome qui finit sans qu'on s'en aperçoive, et avec une seule envie, celle de nous plonger dans la suite !



En guise de détails et de bons et moins bons côtés, je rajouterai que les personnages féminins sont quelque peu superficiels (hormis bien sur la reine éternelle et Morathi, la vénus perverse et mère de Malékith, le grand méchant que l'on n'a pas encore beaucoup vu).

A l'inverse, les hommes secondaires ont le beau rôle, que ce soit Tyrion et Teclis, les divers mages ou guerriers dont j'ai oublié les noms (les patronymes elfes sont imbitables... on a même droit à une Rhianna...).

Pour rester dans les bons côtés, j'ai rarement lu une mort de personnage secondaire aussi impactante que celle de [insert name here], la fille du mage [insert name here]. Le fait de nous placer du point de vue de son "meurtrier" involontaire a vraiment fait mouche pour moi.

Mais côté mauvais points, le personnage de Caelir (?) joue le rôle du gros niais, et la maxime "trompe-moi une fois, honte à toi, trompe-moi deux fois, honte à moi" lui est inconnue... et c'est franchement grossier.

Les fans de warhammer trouveront nombre de références à l'univers, des lieux ou personnages connus, des événements marquants ou des détails du Lore. Un léger soucis de temporalité me laisse un peu dubitatif, car on nous parle de l'échec d'Archaon (humain à la base) ce qui place les événements sur une trame contemporaine ou ultérieure aux événements de la V2 du JdR (poste 2521, donc). Mais les elfes étant éternels (mais pas immortels) et surtout autarciques, le problème n'en est pas un pour la compréhension du récit.



Bilan, un tome qui monte en puissance, élimine peu à peu ses scories à grands coups de haches, et parvient à un final tout en suspense et un tableau fort sombre qui ne demande qu'à s'éclairer par la lecture du second tome.
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Ultramarines, tome 1 : Nightbringer

Premier tome du cycle des Ultramarines qui en compte à ce jour 6 avec : Les guerriers d'Ultramar, Ciel mort, soleil noir, Champ de mort, Courage et honneur et La part du chapitre.

Il s'agit du premier roman de l'auteur dans la licence warhammer 40.000, publié en 2002 en VO.



Les ultramarines est un chapitre (1000 hommes divisés en 10 compagnies) issu des spaces marines. Des soldats de 210cm et 200 kg, génétiquement améliorés et suréquipés. Des soldats légendaires, symboles de la puissance de l'Imperium. Mais ils restent humains et meurent comme tout soldat trop gravement touché.



Nous suivons l'histoire de Uriel Ventris, capitaine fraîchement promu de la 4ième compagnie surnommée « les défenseurs de l'ultramar ». Il est envoyé avec sa compagnie, sur Pavonis, planète souffrant de la piraterie des Eldars (une race extraterrestre décadente refusant de reconnaître le droit divin de l'humanité à régner sur la galaxie) et de désordres internes (terrorisme et complot pour la prise du pouvoir). Ventris est chargé d'escorter et de protéger Ario Barzano, un adepte de l'Administratum, chargé de remettre de l'ordre sur la planète.



Nightbringer est une histoire bien construite, le décor est bien décrit et bien imagé pour une bonne immersion dans l'univers de WH 40K. Les personnages ont un passé, une histoire les rendant crédibles. Le dosage entre la mise en place, les explications, le contexte et les combats est correct ce qui fait que l'on ne s'ennuie pas.

C'est un premier roman. On ne retrouve pas la même ferveur, les mêmes frissons que l'on pouvait avoir avec les Fantômes de Gaunt mais l'atmosphère reste suffisamment consistante pour passer un bon moment.



A suivre...
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Les Chroniques d'Uriel Ventris, tome 1

Sommaire : Hiérarchie - Nightbringer - Les Guerriers d'Ultramar - Ciel Mort, Soleil Noir



Trois romans et une nouvelle composent ce volume qui raconte les aventures d'Uriel Ventris.



Hiérarchie : Uriel Ventris devient le Capitaine de la 4ème Compagnie de Combat du Chapitre des Ultramarines à la mort du Capitaine Idaeus.



Nightbringer : il est envoyé sur Pavonis pour protéger le gouvernement en place et stopper la rébellion des Maisons Marchandes et la prise de pouvoir par l'une d'elle qui désire ranimer le Nightbringer qui est un dieu sadique capable de pulvériser les étoiles !



Les Guerriers d'Ultramar : Uriel Ventris rejoint le Chapitre des space marines Mortifactors afin de les convaincre à se joindre à lui et la Garde Impériale pour contrer l'invasion de Tarsis Ultra par les créatures Tyranides issues des Flottes-Ruches qui ont déjà dévoré et atomisé plusieurs mondes.



Ciel mort, soleil Noir : pour n'avoir pas respecté le Codex Astartes qui régit vies et combats des Space Marines loyalistes il est déshonoré et envoyé en exil sur la planète Medrengard, tuer le Maitre de la Forge Honsou et libérer le Démon Coeur de Sang.



Vous n'avez rien compris ? C'est normal !! Warhammer 40.000 est un monde à part avec son vocabulaire, ses règles, son culte à l'Empereur et les événements se déroulent sur des milliers d'années !



C'est un univers tellement complexe que je suis dans l'incapacité totale de résumer clairement quoique ce soit ! Mais l'aventure est au rendez-vous à chaque moment, les Space Marines sont les redresseurs de torts de ces galaxies et croisent des créatures plus immondes les unes que les autres !



Je reconnais à Graham McNeill qu'il a une imagination débridée pour créer des horreurs à tour de bras et les décrire par le menu ! J'ai partagé une citation de chaque roman, histoire de ne pas être seule à avoir parfois la nausée !



J'ai clairement préféré la nouvelle et les deux premiers romans auxquels je mets 5* mais le dernier m'a plutôt ennuyé, bien que les horreurs soient présentes, j'ai trouvé qu'Uriel Ventris était limite niais par instant et c'était assez déroutant pour être déplaisant et casser le rythme de lecture. Ceci ne m'empêchera pas de lire le volume suivant, j'adore cet univers quelle qu'en soit la période.



#LesChroniquesdUrielVentris1èrePartie #NetGalleyFrance



Challenge MULTI DEFIS 2021

Challenge MAUVAIS GENRE 2021

Challenge PAVES 2021

Lecture THEMATIQUE juillet 2021 : En voyage
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La légende de Sigmar, tome 2 : Empire

J'ai beaucoup aimé !

Malheureusement, j'ai fini plein de livres, là, sur lesquels je n'ai pas eu le temps d'écrire mon avis aussitôt fini, et du coup ce sera un avis à froid et moins approfondi qu'il ne l'aurait été "à chaud"...



C'est vraiment énorme, bourré de batailles plus échevelées les unes que les autres, avec des monstres ébouriffants, des héros non moins décoiffants et un formidable "sense of epicness" !



Pour ma part je comprends tout à fait le "prix Gemmell", c'est vraiment prenant et ça se lit tout seul. Je sais que j'avais un petit point négatif sur le coup mais je ne me souviens plus quoi, là de suite, donc ça devait pas être bien grave, lol... Ah si ça me revient ! c'est l'histoire de la couronne maudite trop bateau... Bon oui rien de bien grave. On finit sur une bataille absolument grandiose, avec des personnages superbes ! (je kiffe les nains ! Lol).





Bref, cette lecture commune avec mon MJ RosenDero était tout à fait "change idées" et c'était formidable ! :)
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Warhammer - Les elfes, tome 2 : Les défenseur..

Une lecture commune chez les Trolls de Babel m’a motivée pour lire cet ouvrage, ainsi que mon avis d’en savoir davantage sur les elfes. Tout le récit va se dérouler en Ulthuan, la patrie des hauts elfes, qui va supporter les assauts terrifiants des forces du Chaos, des elfes Noirs du Roi Sorcier et de Morathi, la Matriarche Suprême.

Ce premier volume est composé de 4 livres (Nepenthe, Saphery, L’Invasion et Avelorn) et un total de 20 chapitres. Une première chose qui m’a gênée justement car les chapitres ne rythment absolument pas le récit en épisodes puisque on passe d’un évènement à un autre dans un mode décousu, sans grande logique et sans suivre ce découpage de chapitres. A quoi servent-ils par conséquent ?

J’ai démarré ma lecture lors d’une période chargée, et j’ai d’abord cru que ma difficulté à entrer dans l’histoire était le fait de lire de façon entrecoupée, et de manquer de concentration. Cependant j’ai lu la deuxième partie au calme et j’ai compris que c’est davantage le style (ou l’absence de style) qui me pose problème. L’écriture est plus que passable, mais est-ce dû à l’écriture en elle-même ou à la traduction ? De nombreux passages souffrent d’un manque de clarté, des répétitions inutiles alourdissent l’ensemble, les dialogues sont complétement plats et il y a une évidente absence de rythme, sans parler de fautes de langue et de syntaxe (d’où mon doute au niveau de la qualité de la traduction) … Il m’a fallu faire abstraction de tous ces défauts pour terminer ma lecture, et à plusieurs reprises j’ai eu envie d’abandonner.

J'ai toutefois aimé cette relation que les elfes ont avec le monde marin, très développée ici. La carte d’Ulthuan est superbe et laisse supposer un lieu idyllique, avant l’arrivée des ennemis. On sent que l’auteur « convoque » les grands héros guerriers, et il m’était agréable de les côtoyer. Hélas cela ne m’a pas suffit, je n’ai pas l’impression d’en avoir appris beaucoup sur la vie des elfes (contrairement au roman « le flambeau des rancunes » où j’avais découvert la vie des nains).

Le récit est d’une grande noirceur et peu d’espoir transparait dans ces pages. Les batailles sont sanglantes au possible, mais là non plus, l’auteur n’a pas su donner de crescendo dans l’horreur, la douleur et la terreur. Tout y est très monotone et plat… à la limite de l’ennui…

Je ressors très déçue de cette lecture et j’ai envie de plonger dans un livre de vraie qualité littéraire tant dans le style que dans l’intrigue!

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Warhammer - L'ambassadeur, tome 1

Je tiens d’abord à remercier mon cher ami bibliophile et rôliste @Goupilpm sans qui je n’aurais jamais lu cette duologie signée Graham McNeill.

Ç’aurait été bien dommage car je garde un bon souvenir de cette lecture. Il est agréable de lire un bouquin de la licence Warhammer où une intrigue de moyenne envergure est mise en avant et où l’on n’a pas affaire à des batailles sanglantes jouant le sort de l’humanité (avec flèches dans l’œil ou bras coupés) à chaque page ;)

Ici, nous suivons le vétéran Kaspar von Velten envoyé en remplacement de l’ambassadeur Impérial à Kislev. Face à la menace du chaos aux portes du monde civilisé, l’Empereur Karl Franz a choisi un homme avec une poigne de fer pour ce poste crucial.

Pourtant, la menace des forces de la ruine évoquée et redoutée n’est que peu présente dans ce roman, et si l’attente se fait longue au début, l’intrigue de remplacement n’en est que plus agréable. Entre population hostile, tueur en série, soirées mondaines et trahisons diverses, en quelques jours passés à Kislev, le nouvel ambassadeur va vite devenir une figure politique avec qui compter. Ce qui ne sera pas du goût de tout le monde au pays des Reines des Glaces, mais qui, pour ma part, est plutôt bien tombé. Avec un peu de recul, on peut éventuellement dire que la trame liée au mystérieux « boucher » est capillotractée et bien trop simpliste, et si elle aurait pu être mieux utilisée, elle permet tout de même quelques moments épiques et promet des révélations ultérieures attendues avec impatience !

Car ce premier tome pose les bases de l’environnement et des personnages, clos une intrigue et en ouvre au moins trois autres, pour lesquelles la suite et fin sera indispensable.

Hâte de la lire :)
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La légende de Sigmar, tome 2 : Empire

L'Empire dont Sigmar rêvait est devenu une réalité. Les anciens Rois vont devenir des Comtes, et les anciens ennemis des frères d'armes.

Mais le peuple uni devra se montrer fort, droit et juste face aux menaces extérieures. Et l'Empereur n'étant encore qu'un homme, lui-même pourrait faillir et entrainer son rêve d'Empire avec lui.



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Quelle joie de retrouver la plume de Graham McNeill nous narrer l'avènement de l'Empire et ses premières fausses notes.

Quel délice de replonger directement dans Fange-fougère en compagnie de la vieille devineresse.

Quelle surprise de voir que tout nous revient en mémoire du premier tome, malgré un an qui sépare ces deux lectures.

Chapeau à l'auteur qui mérite bien son Gemmell Award pour ce roman.



Mais, vous allez me dire, une vieille bique vérolée dans un marais malodorant et la naissance d'un Empire, il en faut plus pour mériter un Gemmell. Bien sûr, bien sûr, Gemmell c'est le combat désespéré et les actes héroïques, c'est les batailles épiques et une philosophie humaniste. Et bien si le lot de batailles dépasse les attentes dans ce deuxième tome (il y en a bien une ou deux qui m'ont paru un peu longuettes) il n'est pas en reste en ce qui concerne le désespoir sauvé par la bravoure et l'héroïsme, ni en terme de dilemmes ou choix moraux et de situations plus complexes qu'il n'y paraît.

Sans entrer dans les détails, ce tome à première vue gonflé aux stéroïdes montrera la faiblesse des hommes, face au pouvoir, au désir de vengeance, mais aussi l'importance des valeurs que sont la justice et l'amitié.



Ne reste plus à Sigmar qu'à atteindre le statut de Dieu dans le tome 3 que je vais lire de ce pas !
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Warhammer - Les elfes, tome 3 : Les fils d'..

La Reine Éternelle d'Avelorn est tombée ; la lame noire l'a frappée, marquant le début de l'invasion d'Ulthuan par les elfes noirs...



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On pourrait développer à foison les erreurs et les défauts de ce roman. Mais je serai plutôt bref : c'est long et sans intérêt. Même pour les fans.

Les rares passages à valoir le coup sont entachés par une emphase nauséabonde et des répétitions inimaginables.

Plus de 300 pages pour un texte qui serait très bien s'il était réécrit en 100. Car l'histoire n'est pas mauvaise, mais impossible de rentrer dedans, de s'attacher aux personnages ni aux événements.

La traduction joue peut-être un rôle dans ce état de faits.

Bref, content d'avoir fini cette duologie et de n'y jamais revenir.
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