Il y a de bons côtés à vivre auprès d'un homme qui risque sa peau plusieurs fois par an ; on ne les remarque pas forcément tout de suite. La foi en la vie est fifferente, elle ressemble au cours des saisons ; après chaque effondrement elle se renouvelle malgré tout, toujours plus forte. On a foi en des séquences de vie très courtes : jusqu'au mois suivant, jusqu'aux fêtes,, jusqu'au printemps. La pensée se fait plus claire, on ressent les choses plus intensément, comme avant de mourir.