Comme le sama, ces cercles merveilleux des derviches tourneurs, les menant lentement au début, puis rapidement, jusqu’à ce que le Souffle divin (l’équivalent du chi ?) les réintègre à la grâce d’Allah. Cela peut se rapporter aussi au psaume 102 de David : « Les jours de l’homme ressemblent à ceux de l’herbe ; comme une fleur des champs, il fleurit ; le vent avance rapidement sur lui et il s’envole, ne connaissant plus sa place. »
Roue du destin, en fait, portant toutes les créatures du monde sur les voies circulaires de l’existence.