Citations de Grégory Roose (30)
Devenir Français était une fierté. C'est devenu une
formalité.
La catholicisme est une religion. L'islamisme est un
plan de conquête.
La France subit tellement d' « attaques » commises par des « déséquilibrés » que la surveillance des islamistes fichés S devrait être confiée au ministère de la Santé.
Nous vivons sous le joug de l'indignation permanente. Elle oppresse quiconque s’étonnera des non-sens ou s'élèvera contre l'ubuesque et harcèle les rétifs aux bouleversements sociétaux imposés par les communautarismes. La minorité nous dicte que l'anormal doit devenir la norme, et que la normalité est désormais oppressante, discriminante, insultante.
Un jour, la basilique de Saint-Denis, éminent symbole de notre histoire, deviendra une mosquée dans un département musulman.
Les fossoyeurs progressistes applaudiront au nom de la tolérance à sens unique et d'un « vivre-ensemble » qui n'existe pas, qui n’a jamais existé. Nous serons devenus des dhimmis sur la terre de nos ancêtres. Ce processus est presque achevé.
Le couple franco-allemand est mort. Il ne subsiste qu'une relation de maître à élève dans laquelle l'Allemagne s’ingère davantage qu’elle ne suggère.
Le féminisme devient outrancier pour défendre des
caprices puérils, mais se révèle incapable de blâmer
les conséquences du multiculturalisme rétrograde
pour le droit des femmes. Il semble pourtant être
porté en religion par les médias, sa critique relevant
d'un nouveau délit de blasphème.
Il n'y a pas trop d'aides sociales. Il y a trop de
bénéficiaires allogènes.
Ce verbiage d’agent immobilier l’enrageait presque. Il considérait que ce vocabulaire prémâché, que l’agent utilisait par mimétisme bêlant, n’avait pour objet que de combler la vacuité de ces recalés des facultés de droit, de ces vendeurs de soupe recyclés, de ces notaires du pauvre qui ne connaissent que trop rarement les maisons et appartements qu’ils ont en catalogue et se contentent d’engloutir de grasses commissions sur les transactions qui viennent à eux.
Le gauchiste est un antisocial narcissique méprisant
son propre peuple au profit d'autres peuplades
auprès desquelles il pense se valoriser, ne recevant
en définitive que leur apparente gratitude.
TRAIN DE NUIT
" L'éclat terne des briques rouges, vérolées par les pluies du Nord, lui manquait. Il était rentré chez lui, entouré de ses amis les plus proches, comme ceux de circonstance, pour boire la vie au goulot. Ces soirées constituaient des exutoires pour ces étudiants contraints de sacrifier leur fougue, étouffée sous le poids des lectures, à un avenir incertain. "
LE BELITRE
"Arrivé au 9 du carrefour de l'Odéon, l'inspecteur s’adossa sur la façade d’un commerce qui faisait face à l’hôtel et sortit une Hongroise de son étui à cigarettes pour la consumer lentement. La lumière ambrée des lanternes s'écoulait dans la brume épaisse de ce matin noir, donnant au quartier parisien des allures de petite ville anglaise."
LA GRIPPE DIGNOISE
"L’été disparaissait sous les murmures insistants du mois d’octobre dont la fraîcheur matinale engourdissait le corps à peine éveillé de Marie. Elle prenait son service tôt ce matin-là au centre hospitalier de Digne-les-Bains, dont le service réanimation n’accueillait guère plus que quelques patients atteints du Covid-19. 3
LE CAMEE
"Un sifflement guilleret s’échappa du tumulte des voyageurs qui inondaient la gare de Paris-Nord. Une puissante locomotive Engerth déclamait son départ imminent d’un majestueux panache de fumée anthracite. Des voyageurs distraits accouraient pour s’engouffrer en wagon de 3e classe, affolés par le sifflet du chef de gare qui ordonnait à ce train imposant de rejoindre la Côte d’Opale. "
L'ONCLE
"Emma n’en écoutait rien. Elle pensait à son père, à la dernière fois qu’elle l’avait regardé. Elle tentait de revivre par la pensée ce que furent en réalité leurs adieux, vécus alors dans la froide banalité du quotidien. Ils ne s’étaient pas dits autre chose qu’au revoir. Un simple au revoir comme ils s’en étaient échangés des milliers depuis sa naissance, mais c’était le dernier, et tous deux n’en savaient rien. "
L'immigration massive, le foisonnement des communautarismes, l'islamisation, l'idéologie permissive de Mai 68, l'égalitarisme et la culture de l'excuse sont les principales causes de l'ensauvagement de notre société.
RETOUR PERDANT
" Des souvenirs puérils inondèrent ses yeux secs, ceux d'un homme de pouvoir qui s'affaissait sous le poids des responsabilités confisquées. De sa retraite, il n'était riche que de l'évocation des douceurs innocentes de l'enfance. Il pensait tout connaître de sa ville dont il gardait une image figée. "
MARE VOSTRUM
" Mohammed fixait l’horizon avec confiance. Le moteur vrombissant du hors-bord fendait une houle récalcitrante. L'ambiance à bord était bon enfant, et les smartphones diffusaient des musiques orientales faisant gesticuler les passagers sous l’œil indifférent des passeurs. L'Europe était à leur portée."
LE GRAND PASCAL
"Les os roulaient sous sa lame dans une symphonie de craquements sourds, étouffés par d’épaisses couches de lard amorphes. Transformer la mort en source de vie, c’est tout un art ! "
LE TAULIER
"C’était un matin comme les autres. Un matin d’automne chagriné par le crachin gris d’un ciel obscur, rythmé par le crépitement sec des feuilles qui se froissent sous le pas lent des ouvriers. "