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Critiques de Guillaume Debré (18)
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Je twitte donc je suis

Twitter a finalement censuré les derniers tweets de Trump!





"Jamais dans l'histoire américaine, un président n'avait osé gloser sur sa santé mentale ou vanter ses capacités intellectuelles." (sans parler de sa virilité... :-(







3 tweets le 06/01/78 : sur les "Fake News" , Hillary Clinton la pourrie, et " je pense que je suis... un type intelligent, mais aussi un génie, et surtout un génie mentalement très stable."





La monde retient son souffle, depuis 2016, depuis que Donald joue à la danse aux canards, au milieu des autres dirigeants (je me... Trump?)





Ses supporters le décrivent comme une bête (un palmipède déchaîné, pardon) politique, habile et instinctive. Les autres le disent instable et impulsif.

Il est... imprévisible, vulgaire et déroutant!

Voir les derniers livres parus de John Bolton : "The room where it happened" (bilan d'un an de dégâts diplomatiques) et de la nièce de Trump, Mary L.Trump : "Too Much and Never Enough."





Depuis le bureau ovale, il manie l'injure et le mensonge, le scabreux et le salace, et se délecte de la controverse et du pugilat.

"Crétin, psycho, petit gros, menteur, pourri et dingo..."

C'est le vocabulaire de Trump, celui d'un gosse de 10 ans, qui utilise très peu de mots...

(Pour paraphraser Cyrano: Enchanté Donald! Moi, je n'ai pas autant de titres et qualitatifs, je ne suis qu'un citoyen lambda :-)





Ce 20/06/2020, on a vu le "pan sur le bec" de Donald après la gifle, lors de son meeting à Tulsa (organisée par les jeunes inscrits, afin d'empêcher les "pro-Trump" d'y assister.)





Résultat : 6200 personnes présentes au lieu des 19200 espérées... Bravo les jeunes, qui ont retourné Tweeter contre le Donald, avec TikTok.





Record ? 26 tweets en une seule journée. Plus de 13000 tweets, début 2020... Quand il critique le président de la Fed, la Bourse perd 400 points: 500 millions de dollars s'évaporent..

En fait, Donald utilise une équipe pour twitter autant, il Trump son électorat ?

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Rien n'est joué d'avance

Certains trouveront sans doute exagérée ma notation car il ne s'agit pas de "haute littérature". Mais ce n'est pas pour la forme que j'ai apprécié cet ouvrage mais pour le fond, pour l'histoire qui est racontée. Bien sûr il existe d'autres belles histoires comme celle de Thierry Marx,par exemple, qui comme celle de Patrick Bourdet sert à illustrer des interventions d'associations dans les collèges sur le thème "rien n'est joué d'avance" qui sert de titre à ce livre. Je ne sais pas si la persévérance peut mener à tout mais elle ouvre bien des portes et il faut sûrement se souvenir que pour utiliser "l'ascenseur social" il ne faut pas se contenter d'appuyer sur un bouton car dans ce cas il ne marchera certainement pas. Outre la phrase titre,j'aime bien cette phrase de Patrick Bourdet (que je déforme sans doute un peu):"fais ce que tu veux mais fais le bien".

Superbe témoignage.
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Obama

Barack Obama prononçait le discours du vainqueur devant près de cent mille supporters, un homme, perdu dans la foule pleurait avec une infinie douceur, le regard lointain et la tête dans les étoiles. Cet homme, c’est le pasteur Jesse Jackson et sa première pensée est pour Martin Luther King que le Ku Klux Klan, de sinistre mémoire, avait assassiné sous ses yeux. Pourtant, Barack Obama qui venait de devenir le quarante-quatrième président des Etats-Unis d’Amérique n’est pas l’Afro-Africain engagé pour réparer une injustice historique, mais seulement un candidat démocrate parti à la conquête de la Maison-Blanche pour mettre sa volonté, son programme et son discours au service d’une autre idée de l’Amérique. Et le pasteur Jackson a encore plus de raisons d’être aux anges : son pays a vraiment changé, il a même été plus loin que ses rêves les plus fous en portant de la manière la plus spectaculaire qui soit à la plus haute responsabilité un jeune issu de l’émigration africaine la plus récente. Le pasteur noir comme tous ceux qui comme lui ont vécu leur couleur dans la douleur des inégalités et des humiliations le savent, mais Barack Obama le leur rappelle quand même : “Notre histoire est différente, notre destin est commun.” Ceci ne relativise pas pour autant la victoire des militants de la cause communautaire, mais en fait un double triomphe. Une page d’Histoire qui se tourne et un sacre soulagé de tout relent de revanche. C’est l’Amérique qui a gagné et personne n’a le doit de l’oublier. La victoire et ses ingrédients sont encore trop frais pour éveiller quelque vieux démons. Dans la foule en délire entassée dans ce parc de Chicago pour écouter son héros triomphant, le noir, le blanc et le jaune n’étaient plus des couleurs de visage mais “la couleur” d’un changement désormais en route. Dans les yeux humides de Jesse Jackson, il y avait aussi un petit regret. Celui de n’avoir pas cru plus tôt que le bouleversement était imminent. Pour avoir critiqué sa tiédeur dans la défense de ses “frères Noirs” pour lui avoir reproché une certaine condescendance envers “l’autre”, le pasteur devait aussi mesurer son manque de lucidité. Obama n’est pas Luther King, il est “ l’heureuse synthèse de Luther King et de Kennedy”, disait pertinemment sur un plateau de télévision Bernard-Henry Levy alors que les bureaux de vote venaient juste d’ouvrir leurs portes. Barack Obama est un point d’orgue d’une Histoire en profonde mutation. Pour que tout soit à la hauteur du rêve, le sénateur de l’Illinois a tout fait en grand. Une campagne inédite par l’ampleur de ses moyens, la variété de ses modes et la qualité de ses soutiens. L’argent pleuvait, les stars se bousculaient et les ralliements se multipliaient jusqu’à ce que le doute soit définitivement chassé. Un taux de participation de près de 70%, du jamais vu depuis 1908, soit un siècle jour pour jour. Dans cette ruée vers les urnes, tout le monde aura reconnu que l’effet Obama était le principal facteur de mobilisation. Une grande partie des jeunes, les Noirs et les Hispaniques qui ont toujours eu le sentiment d’être exclus de la décision ont cette fois-ci fait preuve d’un rare enthousiasme parce que convaincus, grâce à Obama toujours, qu’ils participent vraiment à quelque chose de grandiose. L’ampleur de la victoire enfin. 338 sièges de grands lecteurs dans un scrutin où il n’avait besoin que de 270. Un ras-de marée rarement vu dans une élection qui s’est toujours jouée au coude-à-coude. Un score rendu possible parce que le candidat démocrate a encore une fois tout bousculé en allant rafler des Etats depuis toujours acquis aux Républicains. Face à l’unanimité des sondages, il restait aux supporters les plus chauvins de Mc Cain un espoir : “L’effet Bradley”. C’est l’histoire d’un maire de Los Angeles du même nom. Candidat aux sénatoriales, tous les sondages le donnaient vainqueur avant qu’il ne subisse une cuisante défaite. Trop farfelu pour changer le tsunami de l’Histoire, parce que la victoire d’Obama, c’est dans ces zones-là qu’elle se situe.
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L'affaire La Fayette

Georges Washington a t-il laissé son presque fils, le marquis de Lafayette, croupir dans les geôles du roi de Prusse ?

Scandale ! Trahison en Amérique ! La plume de Willima Castillon est heureusement là pour tout dire de cette ignominie.



Ce récit se veut rivaliser avec les meilleurs thrillers historiques... nous en sommes hélas bien loin ! Que de lourdeurs, quelle absence de rythme, quelle mauvaise gestion des intrigues...

C'est plat, sans liant et sans allant.

Bref, une lecture à oublier bien vite.

Décevant.
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Rien n'est joué d'avance

Rien n'est joué d'avance de Patrick BOURDET n'est pas une oeuvre philosophique ou sociologique comme pourrait le faire penser le titre. Un bandeau sur fond rouge précise le sens du titre : le formidable destin d'un gamin de la DDASS devenu PDG. Alors autobiographie puisque le gamin en question, c'est Patrick Bourdet, l'auteur ? Pas davantage comme c'est précisé en quatrième de couverture : "Ce livre n'est pas une autobiographie, pas davantage des mémoires". Il poursuit pour nous dire que c'est un humble témoignage, le récit de son parcours de vie depuis son enfance jusqu'à maintenant.



Ce témoignage est prodigieux ! Cet homme, devenu PDG d'AREVA MED, société spécialisée dans le traitement des dérivés des combustibles nucléaires pour en faire un traitement médical contre le cancer, filiale du grand groupe AREVA, mondialement connu pour ses compétences dans le nucléaire, a connu une enfance tragique, orphelin de père qui s'est suicidé et bien mal aimé par une mère alcoolique.



Le but comme son titre l'indique est de nous expliquer que sa position d'homme en responsabilité, contre toute attente, est à la portée des plus déshérités tant sur le plan social, économique que sur le plan affectif. Il souhaite par son témoignage réconforter ces malheureux en leur disant, ne désespérez pas "Rien n'est joué d'avance". Les cartes semblent à l'origine injustement réparties, mais la vie offre des occasions de rebattre ces cartes. Le chemin initial tortueux et éprouvant présentera des carrefours, des opportunités et surtout des rencontres avec des hommes et des femmes généreux et alors le jeu semblant perdu peut et même s'inversera pour autant que, comme moi, vous soyez déterminés à emprunter le chemin difficile du courage, du travail et de l'honnêteté. Certes au départ, vous aurez une responsabilité modeste, mais accomplissez-là avec implication et exemplarité et profitez de ce petit avantage pour monter des marches, utiliser les tremplins, au gré des choix qui s'offriront.



Alors ce livre s'adresse en priorité à tous les humbles que la vie a maltraités. Patrick BOURDET le dit dans ses dernières pages : si mon témoignage peut être utile ne serait-ce qu'à une seule personne, elle-même perdue au milieu de sa forêt, alors j'aurai le sentiment d'avoir réussi mon humble pari.



A bien y regarder, le CAP de mécanicien de Patrick BOURDET n'a-t-il pas été le diplôme essentiel, celui qui lui a ouvert toutes les portes de son parcours ? Par ailleurs, on ne peut pas tous prétendre à devenir un PDG d'une société à dimension internationale. En revanche plus modestement, on peut devenir PRESIDENT ou au moins membre du bureau de l'amicale locale de foot, de la fanfare, des parents d'élèves, du don du sang, de telle association d'une œuvre humanitaire, de... bien d'autres. Autant d'investissements qui permettent de se réaliser, de combler un vide au regard de l'ascenseur social bien souvent en panne, en contribuant au bien commun, une économie non marchande indispensable. N'est-ce pas là l'équivalent du remède miracle d'Areva Med, pour une forme de cancer social tout aussi éprouvant ?

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Rien n'est joué d'avance

J'ai découvert Patrick Bourdet dans une émission télé... Son parcours est époustouflant... Beaucoup auraient craqué, lui a décidé d'avancer coûte que coûte malgré l'enfer de sa vie... Et encore l'enfer est peut-être plus doux ! Et il a décidé que non, il ne continuerait pas à vivre dans la peur, sans amour, sans même ses besoins vitaux comblés... Il a décidé qu'il serait maître de son destin et que sa vie misérable ne serait pas une fatalité ! Ce livre "remet les pendules à l'heure" et permet à chacun de réaliser si besoin était que finalement on a beaucoup de chance...
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L'affaire La Fayette

L'ouvrage commence par un scoop : Washington a-t-il laissé croupir La Fayette dans une prison autrichienne de 1792 à 1797 ? La critique est que voilà, il n'y a pas vraiment de scoop, et même pas de réponse. La qualité de ce livre est de nous plonger dans un détail de l'histoire de France et de promener son héros William Castillon jusqu'à la Révolution de 1830 (en témoin oculaire). Se lit facilement. Pas le roman historique du siècle, mais une écriture fluide.
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Obama face au pouvoir

Ce livre est une plongée dans la politique américaine de ces 4 dernières années.

Bien que fort intéressant, il n'a pas vraiment révolutionné ma vision de la politique en général ou de la politique américaine en particulier.

On fait connaissance avec le staff d'Obama ainsi qu'avec sa manière de gouverner.

Obama a changé quelque peu la politique de connivence présente dans tous les systèmes politiques. En effet, même s'il a placé des amis de longues dates à certains postes clés, ces derniers sont compétents pour ces postes (ce sont même des élites) ce qui n'était pas le cas avant notamment avec Bush qui a nommé un ami comme son bras droit alors que ce dernier n'avait pas le bac! (cf Jean Sarkozy et l'EPAD)

Nous découvrons que ce 44eme président des USA est un intellectuel, un homme de compromis chose un peu étrange au sommet d'un état. Tout est intégré pour qu'aucun sentiment n'interfère avec ses décisions. Ceci est une force mais également une de ses faiblesses. Par ce procédé, il se coupe d'un certain electorat qui a besoin d'empathie et non de sondages et de statistiques.

L'Obamamania des débuts a laissé beaucoup de mécontent. Le premier président américain noire a été une force mais surtout une faible. En effet, certaines réforme sociales n'ont pu être menées jusqu'au bout car l'administration Obama avait peur que les républicains utilisent l'argument: Obama est noir, il aide les pauvres donc surtout les noirs! C'est basique, complement stupide mais pas sur que l'argument n'aurait pas eu un certain poids!

Le chapitre le plus informatif pour moi, concerne Michèle Obama. On dit souvent que derrière chaque président se cache une redouable femme politique, ce n'est pas le cas ici. Michèle n'a aucune ambition de ce niveau là, elle a même essayé plusieurs fois de dissuader son mari d'accéder à la maison blanche. Ce n'est pas la vie dont elle revait et ce n'est toujours pas le cas!

En résumé, un livre informatif mais sans grande révélation, je trouve.
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Rien n'est joué d'avance

Quelle résilience ! Récit particulièrement touchant qui donnera certainement de l'espoir à ceux dont les fées semblent avoir oublié de se pencher sur le berceau. Et pour connaître personnellement l'auteur, je vous assure que son humanité et son attitude positive par rapport à la vie et aux gens font partie intégrante de lui.
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Je twitte donc je suis

Nul n'ignore la passion que voue Donald Trump au réseau social Twitter... Ses nombreuses prises de positions via ce média, ses coups de sang, peu constructifs et à charge contre tous ceux qui ne vont pas dans son sens, ne sont plus à présenter.



Une grande part de sa politique passe par Twitter, c'est son lien avec ses électeurs, sa façon à lui de leur donner des nouvelles, de se rendre proche et accessible pour donner à voir une nouvelle manière de gouverner. Guillaume Debré se propose donc d'analyser la politique de Trump par le prisme de ses tweets et plus largement, par l'utilisation toute nouvelle qu'il fait des médias.



Jamais dans l'histoire politique américaine, un président n'avait joué autant avec le milieu journalistique, allant jusqu'à limoger ses propres conseillers via twitter. Il pourrait même et cela ne nous étonnerait pas, proposer un sondage afin de faire élire par la population ses nouveaux consultants. Trump va à l'encontre total de toute forme de discrétion dans sa politique, il fait quelque chose et le crie haut et fort. Une phrase, un mot d'un journaliste ne lui plaît pas, il dégaine alors son clavier et hurle au complot. C'est cette attitude, cette transparence toute relative, l'illusion pour les trumpistes, d'être au plus près du gouvernement, qui fait de Trump un des présidents dont la cote de popularité a le moins fluctué. Si il n'est pas LE président préféré des Américains, il est celui qui est en passe de se voir réélire par une politique qu'il manie à grands coups de com'. Si il n'a pas réalisé tout ce qu'il avait promis, notamment au sujet du fameux mur à la frontière du Mexique, dont il invente pourtant sa finalité proche, la plupart de ses autres promesses de campagne ont été ébauchées. C'est ce que son électorat, à majorité blanche, masculine, vieillissante et rurale retient.



L'auteur nous donne à voir comment ce qui semblait s'annoncer comme un fiasco politique sans précédent, et ce qui vu de l'extérieur y ressemble fortement, du point de vue des trumpistes est une politique nouvelle et accueillie avec une certaine euphorie. L'auteur nous donne à voir Trump ''politicien'', certes, mais aussi et surtout il analyse de façon très accessible, la communication dont il use et abuse. C'est par celle-ci qu'il arrive à retourner ses erreurs et son manque de professionnalisme dans la fonction pour incarner un nouveau visage de la politique américaine.



Trump est une énigme, son élection fascine autant qu'elle répugne, mais il ne peut laisser indifférent. Il est de ceux dont on ignore comment ils ont pu en arriver là et dont l'analyse psychologique et ici géo-politique est très intéressante. Un livre qui donne quelques clés afin de percevoir un peu mieux la couleur politique du moment.
Lien : https://topobiblioteca.wordp..
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Obama face au pouvoir

Un ouvrage intéressant et objectif qui, derrière le portrait d'un homme complexe, nous montre également des facettes moins connues de la personnalité de Barack OBAMA. Un homme très intelligent mais très rationaliste, ambitieux, froid, calculateur. Un homme qui disposait d'une voie royale pour marquer la politique américaine mais qui a raté son rendez-vous avec l'Histoire dans beaucoup de domaines.



L'intérêt de ce livre est qu'il permet de mesurer la réalité des pratiques de la Maison Blanche et comment un homme, dont une majorité d'électeurs attendait tout, a finalement peu satisfait par comparaison avec certains de ses prédécesseurs. "Qui trop embrasse, mal étreint" dit l'adage. Surtout quand, comme pour M. Barack OBAMA, les attitudes "humaines" sont contraintes par l'ambition, par des calculs.



En revanche, le portrait dressé de son épouse nous présente une femme de mérite. Beaucoup plus posée, plus humaine et moins assoiffée de pouvoir. Une "pièce" quelque peu anachronique sur l'échiquier du pouvoir démocrate de son époux.



Cet ouvrage fort bien écrit se lit avec autant de passion qu'un roman. A ceci près que le récit repose sur des faits qui ne sont pas toujours en mesure de réconcilier le peuple avec la politique.



Pour ma part, je n'ai jamais été séduit par cet homme trop déshumanisé, calculateur et avec lequel je ne partage pratiquement aucune valeur. Cette lecture m'a permis de conforter ce ressenti sur la base d'éléments complémentaires.
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Rien n'est joué d'avance

Je viens d'assister au témoignage de cet homme dans l'émission " Salut les Terriens " .

Beaucoup d'humilité pour un parcours hors-norme....



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Rien n'est joué d'avance

Ça se lit très vite et c'est plutôt sympa. Un bouquin sans prétention sur la résilience.
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Rien n'est joué d'avance

Fabuleux, extraordinaire, à découvrir
Lien : https://laparenthesedeceline..
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Frères de sang

L’auteur, lui-même journaliste, a visiblement pris beaucoup de soin à brosser ces caractères bien trempés, pétris de contradictions, tout en donnant à son roman historique un solide cadre documentaire, ponctué de scènes prises sur le vif à la façon d’un reportage.
Lien : https://zapier.comhttps://ww..
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L'affaire La Fayette

L’auteur nous emmène à la suite d’un journaliste new-yorkais à la recherche de la vérité dans une enquête sur le refus de G. Washington d’accorder l’asile au marquis de La Fayette dans les années 1790. Nous sommes dans les années 1830 et nous parcourons l’Amérique et la France pendant la révolution des Trois Glorieuses. Roman historique où se mêle réalité et fiction. Je n’ai pas été très passionné par ce récit.
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Je twitte donc je suis

Je dois vous avouer que je me suis beaucoup amusée à lire ce livre.



D'une part, parce qu'il est agréablement écrit et que je l'ai lu comme si j'avais en mains un roman policier mais d'autre part, le personnage Trump et toutes les situations et paroles qui le suivent et l'entourent sont après coup (maintenant qu'il n'est plus Président) de l'ordre du burlesque à mes yeux.



Quel sacré personnage quand même! Avoir osé dire en tant que Président des USA ce qu'il criait haut et fort est quand même de l'ordre du sacrément culotté et finalement, j'ai envie de dire, il n'y a pas eu tellement de mal parce qu'il restera probablement le seul Président qui n'a causé aucune guerre lors de sa Présidence, c'est ce qui est à mes yeux, fortement à souligner.



Parce qu'on ne pourra certainement jamais en dire autant du fils Bush qui a détruit le Monde arabe pour des décennies avec ses élucubrations et celles de Colin Powell.
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L'affaire La Fayette

une enquête historique de Guillaume Debré qui s'interroge sur les relations que le marquis a entretenu avec les dirigeants de la jeune nation américaine.

Vous serez happé par une intrigue haletante, où les rebondissements se succèdent, et vous vous prendrez au jeu
Lien : https://books.google.fr/book..
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