Je ne sais pas combien de temps j'ai pensé à tous ces trucs incohérents, du haut de la chambre de mes parents, mais j'ai fini par recaler ma joue contre la crosse du fusil, j'ai orienté le canon vers le soleil et j'ai appuyé sur la détente.
Je me suis aperçu qu'il n'y avait plus de cartouches quand j'ai voulu recharger. Plus une seule.
J'ai balayé les douilles vides d'une main.
Puis j'ai posé le fusil et je me suis levé et j'ai enjambé la fenêtre.