Critiques de Guillaume Lapeyre (271)
Dans l’Histoire du manga, il y a désormais un avant et un après "City Hall" car le scénariste Rémi Guérin et le dessinateur Guillaume Lapeyre ont prouvé que des Français pouvaient faire aussi bien voire mieux que les Japonais. Mais les pauvres n’officient pas dans le bon pays, ce qui nous prive d’une série pérenne, d’une adaptation à la télévision qui aurait déchiré dans le Club Dorothée, de films, de jeux vidéo et de pelletés de produits dérivés. Car oui nous sommes en France, le 2e pays consommateurs de mangas et le 3e pays producteurs d’animation certes, mais qui s’avère trop souvent incapable de suivre d’autres voies que celles de la Disney Corporation…
Cools personnages !
Cool univers !
Cools thèmes !
Le rythme est trépidant, le scénario est touffu, soigné et inspiré, multipliant les dialogues bien troussés riches en citations littéraires, références populaires et private jokes (mais la formule a aussi ses défauts : quantité d’éléments aurait pu être développé ou à défauts mieux explicités). Les graphismes ne sont pas en reste : les dessins sont impeccables, les planches riches en détail et magnifiés par un découpage très dynamique donc très efficace. Les paysages urbains de Londres, Paris et New York ou les paysages psychédéliques du Monde à l’Envers de Lewis Caroll sont magnifiquement dessinés (on a plus vu ça depuis Katsuhiro Ôtomo et Masamune Shirow !), mais la grande force du manga vient sans doute de ses combats homériques : les affrontements entre Lord Black Fowl qui invoque des kaijûs à la "Evangelion" et Jules Vernes qui invoque des mechas à la "Sakura Wars" sont géniaux ! Et je ne vous parle même pas de H.P. Lovecraft qui se téléporte d’une dimension à l’autre avant d’invoquer des trous noirs ou des horreurs blasphématoires, ou Guy de Maupassant qui se sert de son Horla comme d’un stand à la "JoJo’s Bizarre Adventure"… Rhââ lovey comme on dit ! Mais pourquoi cela n’existe pas en animation ? POURQUOI ??? VDM
En raison des délais impartis, il y a une toute petite baisse de régime dans la saison 2 où Amelia change de charadesign et de garde-robe : elle est sans doute la 1ère héroïne de shonen dont le tour de poitrine diminue au fil des tomes… ^^
A plusieurs niveaux les habitués de la Planètes Manga sentiront l’héritage de "Deathnote", mais personnellement j’ai senti plus encore celui du Dreamnote de "Wingman" dont il est le détournement… blink
Tome 1 :
Londres, juin 1902. Une mystérieuse créature haute de dix étages massacre le ministre des finances avant de s’évanouir dans la nature… Après deux siècles d’omerta, quelqu’un a fini par redécouvrir la magie du papier et pour le Maire Little, il n’est d’autre solution de d’opposer à un écrivain de génie un autre écrivain de génie. C’est ainsi que le jeune Jules Verne et son acolyte Arthur Conan Doyle donnent la chasse à l’ennemi public numéro 1 !
L’Agent 355 quitte l’équipe d’Eliott Ness pour être muté outre-atlantique en tant que garde du corps des nos héros. C’est ainsi qu’une très sexy strong independant woman entre dans la vie de deux beaux gosses célibataires au grand dam du majordome Virgile… ^^
Le trio échappe de peu à la mort lors d’une confrontation avec Lord Black Fowl, mais le mystère ne fait que s’épaissir avant un bon vieux cliffhanger des familles : le super-vilain a enlevé le père de notre héros, et a reconstitué une presse à papier pour inonder Londres du pouvoir de la création littéraire… Vite la suite !
Cools personnages !
Cool univers !
Cools thèmes !
Le rythme est trépidant, le scénario est touffu, soigné et inspiré, multipliant les dialogues bien troussés riches en citations littéraires, références populaires et private jokes (mais la formule a aussi ses défauts : quantité d’éléments aurait pu être développé ou à défauts mieux explicités). Les graphismes ne sont pas en reste : les dessins sont impeccables, les planches riches en détail et magnifiés par un découpage très dynamique donc très efficace. Les paysages urbains de Londres, Paris et New York ou les paysages psychédéliques du Monde à l’Envers de Lewis Caroll sont magnifiquement dessinés (on a plus vu ça depuis Katsuhiro Ôtomo et Masamune Shirow !), mais la grande force du manga vient sans doute de ses combats homériques : les affrontements entre Lord Black Fowl qui invoque des kaijûs à la "Evangelion" et Jules Vernes qui invoque des mechas à la "Sakura Wars" sont géniaux ! Et je ne vous parle même pas de H.P. Lovecraft qui se téléporte d’une dimension à l’autre avant d’invoquer des trous noirs ou des horreurs blasphématoires, ou Guy de Maupassant qui se sert de son Horla comme d’un stand à la "JoJo’s Bizarre Adventure"… Rhââ lovey comme on dit ! Mais pourquoi cela n’existe pas en animation ? POURQUOI ??? VDM
En raison des délais impartis, il y a une toute petite baisse de régime dans la saison 2 où Amelia change de charadesign et de garde-robe : elle est sans doute la 1ère héroïne de shonen dont le tour de poitrine diminue au fil des tomes… ^^
A plusieurs niveaux les habitués de la Planètes Manga sentiront l’héritage de "Deathnote", mais personnellement j’ai senti plus encore celui du Dreamnote de "Wingman" dont il est le détournement… blink
Tome 1 :
Londres, juin 1902. Une mystérieuse créature haute de dix étages massacre le ministre des finances avant de s’évanouir dans la nature… Après deux siècles d’omerta, quelqu’un a fini par redécouvrir la magie du papier et pour le Maire Little, il n’est d’autre solution de d’opposer à un écrivain de génie un autre écrivain de génie. C’est ainsi que le jeune Jules Verne et son acolyte Arthur Conan Doyle donnent la chasse à l’ennemi public numéro 1 !
L’Agent 355 quitte l’équipe d’Eliott Ness pour être muté outre-atlantique en tant que garde du corps des nos héros. C’est ainsi qu’une très sexy strong independant woman entre dans la vie de deux beaux gosses célibataires au grand dam du majordome Virgile… ^^
Le trio échappe de peu à la mort lors d’une confrontation avec Lord Black Fowl, mais le mystère ne fait que s’épaissir avant un bon vieux cliffhanger des familles : le super-vilain a enlevé le père de notre héros, et a reconstitué une presse à papier pour inonder Londres du pouvoir de la création littéraire… Vite la suite !
Louise est une jeune barmaid à la grande gueule et au sang chaud qui perd son emploi après avoir fracassé un client lui ayant manqué de respect, et elle est en route pour rentrer chez sa mère quand elle perd la vie dans un accident de voiture… pour se réveiller à la Brigade Temporelle, qui recrute parmi les boloss dont l’Histoire ne pleurera pas la perte ! Et en voulant échapper à ses nouveaux employeurs, elle participe à la sa première mission : sauver le Général de Gaulle d’un kamikaze temporel néonazi du XXIIe siècle… mdr
Et les choses ne s’arrangent pas quand elle et le commando Matteo sont piégés le 20 janvier 1793 pour assurer l’exécution de Louis XVI et empêcher par ricochet l’avènement de Jean-Kévin II au XXIe siècle, tandis que Jessica l’autre nouveau membre de la Brigade temporelle fait une boulette qui provoque la mort d’un témoin clé…
Quelles étaient les relations entre le commando Matteo et la boss Constance ?
Qui est ce visiteur du futur, ennemi public numéro 1 de la brigade ?
Qui sont et qui étaient Michel, Richard et le Docteur K-Stafolte ?
Pourquoi Dario, ancien de la brigade, est-il au mitard temporel ?
Qui est ce Métronome à la tête d’un réseau terroriste temporel ?
Qui est cet Ycare qui est partout mais que personne ne voit ?
Que cache Jessica la nerd fan de Gandhi et Mika ?
Pourquoi y a-t-il autant d’explosions en Corse ?
… Vite, la suite !
La Brigade temporelle est une série spin-off du "Visiteur du Futur", tentative vaine pour certains mais ô combien louable pour d’autres de réaliser un Dr Who à la française, qui ici est adaptée en sous le format « manga ».
Héroïne cool et fun + voyage dans le temps = "Laureline & Valérian" (renommons la série comme il se doit ^^)
Equipe de boloss + gestion de crises spatio-temporelles = "Torchwood"
Les mêmes causes produisent les mêmes effets, beaucoup des auteurs du reboot du "Dr Who", comme d’autres avant eux (hein George Lucas ^^), n’ont pas hésité à piocher dans la série SF française de référence (SF et France dans la même phrase, les puristes s’arrachent déjà les cheveux et c’est tant pis pour eux ^^). Donc quand on plonge un Dr Who like dans le chaudron magique du manga, on se retrouve sans aucune surprise avec un résultat présentant de sympathiques ressemblances avec l’adaptation en anime de "Valerian et Laureline" ("Time Jam" à l’étranger).
Sinon est-il nécessaire de présenter les auteurs de la série ?
Au scénario, François Descraques pionnier des webséries au départ de l’aventure du "Visiteur du Futur"
Au dessin, Guillaume Lapeyre, fanboy de Takeshi Obata déjà responsable du formidable "City Hall"
(et au vu de pas mal de vannes, j’imagine sans peine d’Elsa Brants, épouse Guillaume Lapeyre et auteur de "Save Me Pythie", a du regarder par-dessus leurs épaules ^^)
Ce tome 1 est un concentré d’action, d’humour et de bonne humeur : cette série peut et doit casser la baraque, et qui sait elle pourrait même nous faire oublier que nous sommes orphelins de la fin de "City Hall" ! Qu’on se le dise, le manga français a désormais tout d’un grand !!! Sur ce, je remonte dans mon TARDIS et je m’en vais visionner l’anime "Time Jam" et les 4 saisons du "Visiteur du Futur"… Rendez-vous à Néoversailles à la cour de la reine Clothilde IV… ^^
Et les choses ne s’arrangent pas quand elle et le commando Matteo sont piégés le 20 janvier 1793 pour assurer l’exécution de Louis XVI et empêcher par ricochet l’avènement de Jean-Kévin II au XXIe siècle, tandis que Jessica l’autre nouveau membre de la Brigade temporelle fait une boulette qui provoque la mort d’un témoin clé…
Quelles étaient les relations entre le commando Matteo et la boss Constance ?
Qui est ce visiteur du futur, ennemi public numéro 1 de la brigade ?
Qui sont et qui étaient Michel, Richard et le Docteur K-Stafolte ?
Pourquoi Dario, ancien de la brigade, est-il au mitard temporel ?
Qui est ce Métronome à la tête d’un réseau terroriste temporel ?
Qui est cet Ycare qui est partout mais que personne ne voit ?
Que cache Jessica la nerd fan de Gandhi et Mika ?
Pourquoi y a-t-il autant d’explosions en Corse ?
… Vite, la suite !
La Brigade temporelle est une série spin-off du "Visiteur du Futur", tentative vaine pour certains mais ô combien louable pour d’autres de réaliser un Dr Who à la française, qui ici est adaptée en sous le format « manga ».
Héroïne cool et fun + voyage dans le temps = "Laureline & Valérian" (renommons la série comme il se doit ^^)
Equipe de boloss + gestion de crises spatio-temporelles = "Torchwood"
Les mêmes causes produisent les mêmes effets, beaucoup des auteurs du reboot du "Dr Who", comme d’autres avant eux (hein George Lucas ^^), n’ont pas hésité à piocher dans la série SF française de référence (SF et France dans la même phrase, les puristes s’arrachent déjà les cheveux et c’est tant pis pour eux ^^). Donc quand on plonge un Dr Who like dans le chaudron magique du manga, on se retrouve sans aucune surprise avec un résultat présentant de sympathiques ressemblances avec l’adaptation en anime de "Valerian et Laureline" ("Time Jam" à l’étranger).
Sinon est-il nécessaire de présenter les auteurs de la série ?
Au scénario, François Descraques pionnier des webséries au départ de l’aventure du "Visiteur du Futur"
Au dessin, Guillaume Lapeyre, fanboy de Takeshi Obata déjà responsable du formidable "City Hall"
(et au vu de pas mal de vannes, j’imagine sans peine d’Elsa Brants, épouse Guillaume Lapeyre et auteur de "Save Me Pythie", a du regarder par-dessus leurs épaules ^^)
Ce tome 1 est un concentré d’action, d’humour et de bonne humeur : cette série peut et doit casser la baraque, et qui sait elle pourrait même nous faire oublier que nous sommes orphelins de la fin de "City Hall" ! Qu’on se le dise, le manga français a désormais tout d’un grand !!! Sur ce, je remonte dans mon TARDIS et je m’en vais visionner l’anime "Time Jam" et les 4 saisons du "Visiteur du Futur"… Rendez-vous à Néoversailles à la cour de la reine Clothilde IV… ^^
Je ronchonne toutjours un peu quand mes enfant prètent ou se font prêter des livres par leurs camarades parce que ou le bouquin ne revient pas ou alors en mauvais état.. mais MissLyoko a un camarade de classe qui fait super attention et qui en plus a une collection de manga plutôt incroyable. Et cette fois-ci elle est rentrée avec City Hall qui m'a tapé dans l'oeil (je ne lis pas tous les manga qui rentrent à la maison.. sinon je ne lirais plus que ça).
Bref tout ca pour dire que j'ai complètement survolé et adoré ce tome un.
Tout d'abord parce qu'il est d'origine française et qu'il vaut son pesant d'or.. il est aussi bien fait qu'un manga japonais (sauf le sens de lecture).
Parce que les graphismes sont superbes et plein de détails .. a tel point que j'en regrette le format BD traditionnel (et accessoirement la couleur).
Par un scénario qui est purement génial et bien imaginé.
Et enfin parce qu'on y retrrouve plein de gens célèbres : Malcom X, Jules Verne, Conan Doyle, Amilia Earhart (que je connais bien pour avoir fait exposé sur elle ), Lincoln, eliot Ness.. etc...
Le seul inconvénient c'est qu'on est en fin d'année scolaire et que je vais devoir lire rapidement toute la série afin que ce jeune homme puisse récupérer son bien pour les grandes vacances.
Bref tout ca pour dire que j'ai complètement survolé et adoré ce tome un.
Tout d'abord parce qu'il est d'origine française et qu'il vaut son pesant d'or.. il est aussi bien fait qu'un manga japonais (sauf le sens de lecture).
Parce que les graphismes sont superbes et plein de détails .. a tel point que j'en regrette le format BD traditionnel (et accessoirement la couleur).
Par un scénario qui est purement génial et bien imaginé.
Et enfin parce qu'on y retrrouve plein de gens célèbres : Malcom X, Jules Verne, Conan Doyle, Amilia Earhart (que je connais bien pour avoir fait exposé sur elle ), Lincoln, eliot Ness.. etc...
Le seul inconvénient c'est qu'on est en fin d'année scolaire et que je vais devoir lire rapidement toute la série afin que ce jeune homme puisse récupérer son bien pour les grandes vacances.
Dans ce tome 3, c'est infiltrée par l'ennemi et trahie par les siens que la Brigade Temporelle doit déclencher « le Protocole d'urgence Ycare » ! Louise et Mattéo sont le dernier espoir du continuum espace-temps, et entre passé, présent et avenir alternatif (où le Métronome gouverne la France et la planète toute entière avec Napoléon, Attila et Staline dans une dystopie hypercapitaliste... N'oubliez pas que l'immonde apprenti maître du monde Biff Tannen de "Back to the Future Part II" était inspiré de cette ordure de Donald Trump) ils voguent d'époque en époque sans comprendre où veut en venir Ycastafolte... Doivent-ils tuer le Métronome et ses alliés dans le passé avant que ces derniers ne soient de retour pour jouer des mauvais tours à a Brigade Temporelle ou l'androïde couplé à un superordinateur a-t-il un plan plus subtil en tête ???
Les auteurs nous refont toute la saga "Retour vers le futur" en 1 seul tome : le rythme et le suspens sont super bien gérés et l'alchimie est parfaite entre la grosse déconne et l'epicness to the max ! Mieux on arrive à prendre le temps de tirer à boulet rouges sur toutes les conneries yankees amenées et imposées au mondes entier ces dernières années par ces gros connards de Jack Welch, Donald Trump et tutti quanti pour tous nous amener et dans les ténèbres nous lier... Tout est bien qui finit bien (enfin pas pour tout le monde), et en congé la Team Mattéo croise la route de la Team Visiteur du Future dans un bistrot parisien ^^
Pourquoi Guillaume Lapeyre qui enchaîne les séries très très cool et très très fun se cantonne à d'aussi courts feuilletons ? C'est un mystère et une véritable frustration, mais c'est peut-être une solution pour éviter de tomber dans le chaudron de malédiction des shonens mainstream à rallonge des années 2000...
Les auteurs nous refont toute la saga "Retour vers le futur" en 1 seul tome : le rythme et le suspens sont super bien gérés et l'alchimie est parfaite entre la grosse déconne et l'epicness to the max ! Mieux on arrive à prendre le temps de tirer à boulet rouges sur toutes les conneries yankees amenées et imposées au mondes entier ces dernières années par ces gros connards de Jack Welch, Donald Trump et tutti quanti pour tous nous amener et dans les ténèbres nous lier... Tout est bien qui finit bien (enfin pas pour tout le monde), et en congé la Team Mattéo croise la route de la Team Visiteur du Future dans un bistrot parisien ^^
Pourquoi Guillaume Lapeyre qui enchaîne les séries très très cool et très très fun se cantonne à d'aussi courts feuilletons ? C'est un mystère et une véritable frustration, mais c'est peut-être une solution pour éviter de tomber dans le chaudron de malédiction des shonens mainstream à rallonge des années 2000...
Dans l'Histoire du manga, il y a désormais un avant et un après "City Hall" car le scénariste Rémi Guérin et le dessinateur Guillaume Lapeyre ont prouvé que des Français pouvaient faire aussi bien voire mieux que les Japonais. Mais les pauvres n'officient pas dans le bon pays, ce qui nous prive d'une série pérenne, d'une adaptation à la télévision qui aurait déchiré dans le Club Dorothée, de films, de jeux vidéo et de pelletés de produits dérivés. Car oui nous sommes en France, le 2e pays consommateurs de mangas et le 3e pays producteurs d'animation certes, mais qui s'avère trop souvent incapable de suivre d'autres voies que celles de la Disney Corporation…
La saison 2 démarre des chapeaux de roue ^^
Grâce à la magie du kirigami, Lord Black Fowl parvient à devenir le doppelgänger de Pierre Verne tandis que ses complices échappent à leur juste châtiment et poursuivent leurs plans… Dans l’impossibilité de distinguer l’un de l’autre, la Reine Victoria II les condamne tous deux à mort !
Pour la team Verne, la seule solution est de retrouver avant les complices du super-vilain l’artefact auquel il doit la vie… Les deux Pierre Verne ayant chacun nommé Paris mais donné des adresses différentes, les voici repartis à l’aventure dans la Ville Lumière où les attendent de nouveaux alliés et de nouveaux ennemis… Jules Verne est de plus en plus coléreux et de plus en plus impétueux, et ses amis s’inquiètent de le voir lentement envahi par le Côté Obscur : un être de chair peut-il vaincre un être de fiction ? Le cliffhanger de fin offert par Victor Hugo est encore une fois terrible…
Un tome très steampunk avec pas mal de références à la proto-sf, c’est cool. Paris la ville lumière plongée dans les ténèbres de la pollution cherchant désespérément un moyen de sortir du cercle vicieux du productivisme, c’est bien vu. Par contre nos héros sont encore plus shonenisés qu’ils ne l’étaient déjà, et j’ai envie de dire attention de ne pas trop jouer à la poupée Barbie avec Amélia pour ne pas tomber par le fanservice des familles… Et puis c’est dommage de lancer plein de trucs avec le kirigami et les complots de ceux qui le pratiquent pour quasiment les laisser de côté par la suite…
La saison 2 démarre des chapeaux de roue ^^
Grâce à la magie du kirigami, Lord Black Fowl parvient à devenir le doppelgänger de Pierre Verne tandis que ses complices échappent à leur juste châtiment et poursuivent leurs plans… Dans l’impossibilité de distinguer l’un de l’autre, la Reine Victoria II les condamne tous deux à mort !
Pour la team Verne, la seule solution est de retrouver avant les complices du super-vilain l’artefact auquel il doit la vie… Les deux Pierre Verne ayant chacun nommé Paris mais donné des adresses différentes, les voici repartis à l’aventure dans la Ville Lumière où les attendent de nouveaux alliés et de nouveaux ennemis… Jules Verne est de plus en plus coléreux et de plus en plus impétueux, et ses amis s’inquiètent de le voir lentement envahi par le Côté Obscur : un être de chair peut-il vaincre un être de fiction ? Le cliffhanger de fin offert par Victor Hugo est encore une fois terrible…
Un tome très steampunk avec pas mal de références à la proto-sf, c’est cool. Paris la ville lumière plongée dans les ténèbres de la pollution cherchant désespérément un moyen de sortir du cercle vicieux du productivisme, c’est bien vu. Par contre nos héros sont encore plus shonenisés qu’ils ne l’étaient déjà, et j’ai envie de dire attention de ne pas trop jouer à la poupée Barbie avec Amélia pour ne pas tomber par le fanservice des familles… Et puis c’est dommage de lancer plein de trucs avec le kirigami et les complots de ceux qui le pratiquent pour quasiment les laisser de côté par la suite…
Les aventures de Jules Verne, Conan Doyle et Amelia Earhart continuent. Ils sont toujours à la recherche de Lord Black Flow .
Dans cet épisode trois nouveaux personnages font leur apparition : Houdini, Joseph Bell et Mary Shelley.
j'apprécie de plus en plus ce manga, aussi bien par sa qualité de scénario mais également par les graphismes... Amelia et Mary sont incroyablement sexy . Sans compter sur la touche d'humour qui fait du bien.
Néanmoins ce qui m'a le plus impressionné ce sont les finitions : les petites citations a chaque début de chapitre mais également les explications sur les personnages ou les lieux... j'ai trouvé ça bien pensé et surtout utile au plus jeune.
Un vrai coup de coeur pour ce petit manga créé dans l'hexagone
Dans cet épisode trois nouveaux personnages font leur apparition : Houdini, Joseph Bell et Mary Shelley.
j'apprécie de plus en plus ce manga, aussi bien par sa qualité de scénario mais également par les graphismes... Amelia et Mary sont incroyablement sexy . Sans compter sur la touche d'humour qui fait du bien.
Néanmoins ce qui m'a le plus impressionné ce sont les finitions : les petites citations a chaque début de chapitre mais également les explications sur les personnages ou les lieux... j'ai trouvé ça bien pensé et surtout utile au plus jeune.
Un vrai coup de coeur pour ce petit manga créé dans l'hexagone
J'avais repéré ce titre depuis quelques temps déjà à cause de sa couverture très colorée et dont le personnage principal semblait être une femme. Il y a peu j'ai pu l'acheter et je ne le regrette pas car le graphisme est superbe, dans un style différent de mes précédentes lectures mais néanmoins très agréable. Les dessins sont très colorés quelque soit les situations et ils sont bien travaillés que ce soit pour les personnages, l'univers ou pour la faune et la flore de cette planète.
Dès le départ, j'ai bien apprécié Gamih, le personnage principal, une femme comme je les aime qui ne se laisse pas dicter ses mouvements par un homme, forte tête à souhait. Le second personnage principal est Edraar, son mentor, car elle a de la magie en elle mais ne sait pas l'utiliser correctement ni à bon escient.
L'histoire alterne entre passé d'Edraar et présent où il revit un fléau de son enfance sur sa nouvelle planète. Il s'agit d'envahisseurs plutôt dévastateurs envers les précédentes populations. Il aura, je pense, besoin de toute l'aide disponible pour sauver cette planète. À voir donc dans le tome 2 si j'ai bien tout compris !!
Comme vous l'aurez compris, ce tome a été une bonne découverte pour ma part et je compte bien lire sous peu le tome 2. Malgré des dessins très colorés, l'histoire est plus compliquée qu'elle en a l'air au premier abord et elle est donc très intéressante à suivre. On veut connaître le dénouement de l'histoire même si ce thème est plutôt bateau en BD. Les dessins étant superbes, on a quand même envie d'en savoir plus sur Edraar et la magie dont est porteuse Gamih. Par ailleurs, je pense que je continuerais à suivre Nicolas Jarry (le scénariste) et Guillaume Lapeyre (le dessinateur).
Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
Dès le départ, j'ai bien apprécié Gamih, le personnage principal, une femme comme je les aime qui ne se laisse pas dicter ses mouvements par un homme, forte tête à souhait. Le second personnage principal est Edraar, son mentor, car elle a de la magie en elle mais ne sait pas l'utiliser correctement ni à bon escient.
L'histoire alterne entre passé d'Edraar et présent où il revit un fléau de son enfance sur sa nouvelle planète. Il s'agit d'envahisseurs plutôt dévastateurs envers les précédentes populations. Il aura, je pense, besoin de toute l'aide disponible pour sauver cette planète. À voir donc dans le tome 2 si j'ai bien tout compris !!
Comme vous l'aurez compris, ce tome a été une bonne découverte pour ma part et je compte bien lire sous peu le tome 2. Malgré des dessins très colorés, l'histoire est plus compliquée qu'elle en a l'air au premier abord et elle est donc très intéressante à suivre. On veut connaître le dénouement de l'histoire même si ce thème est plutôt bateau en BD. Les dessins étant superbes, on a quand même envie d'en savoir plus sur Edraar et la magie dont est porteuse Gamih. Par ailleurs, je pense que je continuerais à suivre Nicolas Jarry (le scénariste) et Guillaume Lapeyre (le dessinateur).
Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
Un tome 5 très littéraire puisque la team Verne rencontre le ligue des gentlemen extraordinaires qui doit statuer sur son sort : la vie ou la mort pour ceux qui ont découvert les secrets des écrivains magiciens et des résistants de l'imaginaire… (le duel à la "JoJo's Bizarre Adventure" entre Jules Verne et Guy de Maupassant est très très cool ! ^^)
Pendant ce temps, dans le monde réel les méchants font avancer leurs plans, et dans le monde à l'envers Houdini est confronté à sa Némésis et au Chat du Cheshire ! Pour nos héros seul l'Auryn (remember "L'Histoire sans fin" de Michael Ende) permet de savoir de qui se passe de l'autre côté du miroir, dans l'univers autonome en perpétuel évolution créé par Lewis Carroll, et qui pour se protéger a scellé le portail entre les mondes... La magie étant désormais inopérante, pour faire aboutir sa quête la team Verne se tourne vers la science et Nikola Tesla… Qui fera éclater en premier la vérité qui va changer le monde ? La team Verne ou la team Black Fowl ? Vite la suite !
Pendant ce temps, dans le monde réel les méchants font avancer leurs plans, et dans le monde à l'envers Houdini est confronté à sa Némésis et au Chat du Cheshire ! Pour nos héros seul l'Auryn (remember "L'Histoire sans fin" de Michael Ende) permet de savoir de qui se passe de l'autre côté du miroir, dans l'univers autonome en perpétuel évolution créé par Lewis Carroll, et qui pour se protéger a scellé le portail entre les mondes... La magie étant désormais inopérante, pour faire aboutir sa quête la team Verne se tourne vers la science et Nikola Tesla… Qui fera éclater en premier la vérité qui va changer le monde ? La team Verne ou la team Black Fowl ? Vite la suite !
Argh j'ai juste pas envie de dire un mot sur le scénario de ce manga.. parce que pour moi il est tellement top que dévoiler ne serais-ce qu'une once serait une hérésie pour ceux qui plongeront le nez dedans.
Je suis complètement sous le charme des graphismes; même si parfois ils sont un chouia trop riches pour moi et peuvent donc donner un sentiment de perdition.
Mais en plus le scénario est juste une tuerie.
J'avoue être très étonnée qu'un manga français soit aussi bon.. je vais faire pousser les hauts cris à certains mais je le trouve même au dessus de bons nombres de mangas japonais... déjà rien qu'avec la qualité des graphismes.
Je ne m'étalerais pas plus.. je suis envoutée et complètement sous le charme
Je suis complètement sous le charme des graphismes; même si parfois ils sont un chouia trop riches pour moi et peuvent donc donner un sentiment de perdition.
Mais en plus le scénario est juste une tuerie.
J'avoue être très étonnée qu'un manga français soit aussi bon.. je vais faire pousser les hauts cris à certains mais je le trouve même au dessus de bons nombres de mangas japonais... déjà rien qu'avec la qualité des graphismes.
Je ne m'étalerais pas plus.. je suis envoutée et complètement sous le charme
Okhéania est une planète entièrement recouverte par la végétation. A Okhéania, on vit sur d'immenses vaisseaux semblables à des villes flottantes et errantes. Ces lieux de vie s'avèrent plutôt ennuyeux pour les plus jeunes qui ne rêvent que d'une chose : transgresser les interdits et surfer sur les vagues de cet océan vert mû par le vent et les courants.
Jasper et Jon, habitants du "Vagabond" sont de ceux-là ; pour échapper à la routine, ils passent beaucoup de temps à pratiquer le surf'ace. .
Un jour, malheureusement, un tsunami les surprend. Jasper se retrouve à bord d'un vaisseau en mission commanditée par l'imperator. Quant à Jon, il a tout simplement disparu, avalé par le feuillage dense d'Okhéania...
Voilà un premier tome fort attrayant ! le décor très verdoyant et les vaisseaux qui semblent tout droit sorti de l'imagination de Jules Verne font rêver. Sans trop en dire, on a même l'impression que les auteurs se sont parfois inspirés de l'univers d'Avatar et pourtant la Bd est parue en 2008 alors que le film n'est sorti qu'en 2009.
Si le scénario et les dialogues restent un peu en surface, on passe tout de même un bon moment de lecture.
Je lirai la suite avec plaisir, en espérant, néanmoins, que les personnages et la vie sociale, politique et culturelle qui règne sur Okhéania soient un peu plus développés.
Jasper et Jon, habitants du "Vagabond" sont de ceux-là ; pour échapper à la routine, ils passent beaucoup de temps à pratiquer le surf'ace. .
Un jour, malheureusement, un tsunami les surprend. Jasper se retrouve à bord d'un vaisseau en mission commanditée par l'imperator. Quant à Jon, il a tout simplement disparu, avalé par le feuillage dense d'Okhéania...
Voilà un premier tome fort attrayant ! le décor très verdoyant et les vaisseaux qui semblent tout droit sorti de l'imagination de Jules Verne font rêver. Sans trop en dire, on a même l'impression que les auteurs se sont parfois inspirés de l'univers d'Avatar et pourtant la Bd est parue en 2008 alors que le film n'est sorti qu'en 2009.
Si le scénario et les dialogues restent un peu en surface, on passe tout de même un bon moment de lecture.
Je lirai la suite avec plaisir, en espérant, néanmoins, que les personnages et la vie sociale, politique et culturelle qui règne sur Okhéania soient un peu plus développés.
Dans ce tome 2, sous la houlette de Constance les membres de la Brigade Temporelle composée de Mattéo, Michel, Richard, Benjamin, le Docteur Castafolte et les rookies Louise et Jessica combattent sur deux fronts :
- elle doit réparer les bourdes commises par des clochards de Néoversailles qui en en empruntant des passages spatio-temporels menacent la stabilité du continuum espace-temps (Révolution Française, Deuxième Guerre Mondiale)...
- elle doit stopper les agissement du Métronome, et à Paris en 2135 elle participe aux castings qu'il organise pour pouvoir le rencontrer... Toute la fine équipe est persuadée qu'il s'agit d'un échangiste qui cherche à pécho, alors que pas du tout en fait donc on passe au Plan B et c'est parti pour l'opération commando menée par Mattéo ! Le métronome est-il comme il le prétend un gentil organisateur de voyages touristiques temporels, ou un véritable génie du mal qui s'est laissé capturé car il a un plan vachement chiadé ? To Be Continued ! ^^
On continue de dézinguer Paris, la Seine-Saint-Denis et je ne sais pas ce que Français Descraques a contre Toulouse... Toujours est-il qu'avec un humour de plus en plus en-dessous de la ceinture on quitte les terres du shonen pour celles du seinen, et on se retrouve plus proche de "Lastman" que du "Doctor Who" ^^
PS: critique repostée pour cause d'association malheureuse mais impossible à annuler de la part des modos de babelio... (refrain connu)
- elle doit réparer les bourdes commises par des clochards de Néoversailles qui en en empruntant des passages spatio-temporels menacent la stabilité du continuum espace-temps (Révolution Française, Deuxième Guerre Mondiale)...
- elle doit stopper les agissement du Métronome, et à Paris en 2135 elle participe aux castings qu'il organise pour pouvoir le rencontrer... Toute la fine équipe est persuadée qu'il s'agit d'un échangiste qui cherche à pécho, alors que pas du tout en fait donc on passe au Plan B et c'est parti pour l'opération commando menée par Mattéo ! Le métronome est-il comme il le prétend un gentil organisateur de voyages touristiques temporels, ou un véritable génie du mal qui s'est laissé capturé car il a un plan vachement chiadé ? To Be Continued ! ^^
On continue de dézinguer Paris, la Seine-Saint-Denis et je ne sais pas ce que Français Descraques a contre Toulouse... Toujours est-il qu'avec un humour de plus en plus en-dessous de la ceinture on quitte les terres du shonen pour celles du seinen, et on se retrouve plus proche de "Lastman" que du "Doctor Who" ^^
PS: critique repostée pour cause d'association malheureuse mais impossible à annuler de la part des modos de babelio... (refrain connu)
Toujour aussi fan de ce tome 3, qui est construit de façon magistrale.
De plus de nouveaux personnages apparaissent et entre autre H.P Lovecraft.
J'aime beaucoup, la façon dont ces personnages sont tournés.. loin de la réalité parfois, mais cela leur donne un certain pouvoir voir un certain charme. Et va certainement pousser certains lecteurs a se renseigner plus loin sur leur compte.
C'est aussi l'occassion d'avoir l'épilogue et de savoir qui est Lord Black Fowl.. d'ailleurs quelques indices nous guidaient sur la bonne voie.
Et je rappelle que je craque littéralement sur les graphismes
De plus de nouveaux personnages apparaissent et entre autre H.P Lovecraft.
J'aime beaucoup, la façon dont ces personnages sont tournés.. loin de la réalité parfois, mais cela leur donne un certain pouvoir voir un certain charme. Et va certainement pousser certains lecteurs a se renseigner plus loin sur leur compte.
C'est aussi l'occassion d'avoir l'épilogue et de savoir qui est Lord Black Fowl.. d'ailleurs quelques indices nous guidaient sur la bonne voie.
Et je rappelle que je craque littéralement sur les graphismes
Dans l'Histoire du manga, il y a désormais un avant et un après "City Hall" car le scénariste Rémi Guérin et le dessinateur Guillaume Lapeyre ont prouvé que des Français pouvaient faire aussi bien voire mieux que les Japonais. Mais les pauvres n'officient pas dans le bon pays, ce qui nous prive d'une série pérenne, d'une adaptation à la télévision qui aurait déchiré dans le Club Dorothée, de films, de jeux vidéo et de pelletés de produits dérivés. Car oui nous sommes en France, le 2e pays consommateurs de mangas et le 3e pays producteurs d'animation certes, mais qui s'avère trop souvent incapable de suivre d'autres voies que celles de la Disney Corporation…
Cools personnages !
Cool univers !
Cools thèmes !
Le rythme est trépidant, le scénario est touffu, soigné et inspiré, multipliant les dialogues bien troussés riches en citations littéraires, références populaires et private jokes (mais la formule a aussi ses défauts : quantité d'éléments aurait pu être développé ou à défauts mieux explicités). Les graphismes ne sont pas en reste : les dessins sont impeccables, les planches riches en détail et magnifiés par un découpage très dynamique donc très efficace. Les paysages urbains de Londres, Paris et New York ou les paysages psychédéliques du Monde à l'Envers de Lewis Caroll sont magnifiquement dessinés (on a plus vu ça depuis Katsuhiro Ôtomo et Masamune Shirow !), mais la grande force du manga vient sans doute de ses combats homériques : les affrontements entre Lord Black Fowl qui invoque des kaijûs à la "Evangelion" et Jules Vernes qui invoque des mechas à la "Sakura Wars" sont géniaux ! Et je ne vous parle même pas de H.P. Lovecraft qui se téléporte d'une dimension à l'autre avant d'invoquer des trous noirs ou des horreurs blasphématoires, ou Guy de Maupassant qui se sert de son Horla comme d'un stand à la "JoJo's Bizarre Adventure"… Rhââ lovey comme on dit ! Mais pourquoi cela n'existe pas en animation ? POURQUOI ??? VDM
En raison des délais impartis, il y a une toute petite baisse de régime dans la saison 2 où Amelia change de charadesign et de garde-robe : elle est sans doute la 1ère héroïne de shonen dont le tour de poitrine diminue au fil des tomes… ^^
A plusieurs niveaux les habitués de la Planètes Manga sentiront l'héritage de "Deathnote", mais personnellement j'ai senti plus encore celui du Dreamnote de "Wingman" dont il est le détournement… blink
Tome 1 :
http://www.babelio.com/livres/Lapeyre-City-Hall-Tome-1/383379/critiques/1118341
Tome 2 :
http://www.babelio.com/livres/Lapeyre-City-Hall-Tome-2/420297/critiques/1118827
Tome 3 :
http://www.babelio.com/livres/Lapeyre-City-Hall-Tome-3/482210/critiques/1119288
Ces trois premiers tomes sont ici regroupés dans un sympathique coffret… Malgré des livres-objets réussis, accompagnés d’une page de garde intitulée « Oserez-vous la dédicace ? », pas sûr que les couvertures alternatives soient plus efficaces que les originales. A ces derniers a été ajouté un note book récapitulant citations et fiches personnages tout en étant truffé de goodies de bon aloi donc enjoy ! ^^
Cools personnages !
Cool univers !
Cools thèmes !
Le rythme est trépidant, le scénario est touffu, soigné et inspiré, multipliant les dialogues bien troussés riches en citations littéraires, références populaires et private jokes (mais la formule a aussi ses défauts : quantité d'éléments aurait pu être développé ou à défauts mieux explicités). Les graphismes ne sont pas en reste : les dessins sont impeccables, les planches riches en détail et magnifiés par un découpage très dynamique donc très efficace. Les paysages urbains de Londres, Paris et New York ou les paysages psychédéliques du Monde à l'Envers de Lewis Caroll sont magnifiquement dessinés (on a plus vu ça depuis Katsuhiro Ôtomo et Masamune Shirow !), mais la grande force du manga vient sans doute de ses combats homériques : les affrontements entre Lord Black Fowl qui invoque des kaijûs à la "Evangelion" et Jules Vernes qui invoque des mechas à la "Sakura Wars" sont géniaux ! Et je ne vous parle même pas de H.P. Lovecraft qui se téléporte d'une dimension à l'autre avant d'invoquer des trous noirs ou des horreurs blasphématoires, ou Guy de Maupassant qui se sert de son Horla comme d'un stand à la "JoJo's Bizarre Adventure"… Rhââ lovey comme on dit ! Mais pourquoi cela n'existe pas en animation ? POURQUOI ??? VDM
En raison des délais impartis, il y a une toute petite baisse de régime dans la saison 2 où Amelia change de charadesign et de garde-robe : elle est sans doute la 1ère héroïne de shonen dont le tour de poitrine diminue au fil des tomes… ^^
A plusieurs niveaux les habitués de la Planètes Manga sentiront l'héritage de "Deathnote", mais personnellement j'ai senti plus encore celui du Dreamnote de "Wingman" dont il est le détournement… blink
Tome 1 :
http://www.babelio.com/livres/Lapeyre-City-Hall-Tome-1/383379/critiques/1118341
Tome 2 :
http://www.babelio.com/livres/Lapeyre-City-Hall-Tome-2/420297/critiques/1118827
Tome 3 :
http://www.babelio.com/livres/Lapeyre-City-Hall-Tome-3/482210/critiques/1119288
Ces trois premiers tomes sont ici regroupés dans un sympathique coffret… Malgré des livres-objets réussis, accompagnés d’une page de garde intitulée « Oserez-vous la dédicace ? », pas sûr que les couvertures alternatives soient plus efficaces que les originales. A ces derniers a été ajouté un note book récapitulant citations et fiches personnages tout en étant truffé de goodies de bon aloi donc enjoy ! ^^
Je suis plus que sous le charme de ce manga français.. l'intrigue est prenante et palpitante d'autant qu'une ligue de justiciers littéraires fait son apparition .. avec quelques grands auteurs que j'aime beaucoup.
Graphiquement je me régale également et je suis comme une gamine devant certains dessins savamment imaginés.
Je trouve les auteurs d'une intelligence et d'une "malignité" rare et ce pour mon plus grand plaisir.
je n'ai qu'un conseil : a lire absolument
Graphiquement je me régale également et je suis comme une gamine devant certains dessins savamment imaginés.
Je trouve les auteurs d'une intelligence et d'une "malignité" rare et ce pour mon plus grand plaisir.
je n'ai qu'un conseil : a lire absolument
Dans l'Histoire du manga, il y a désormais un avant et un après "City Hall" car le scénariste Rémi Guérin et le dessinateur Guillaume Lapeyre ont prouvé que des Français pouvaient faire aussi bien voire mieux que les Japonais. Mais les pauvres n'officient pas dans le bon pays, ce qui nous prive d'une série pérenne, d'une adaptation à la télévision qui aurait déchiré dans le Club Dorothée, de films, de jeux vidéo et de pelletés de produits dérivés. Car oui nous sommes en France, le 2e pays consommateurs de mangas et le 3e pays producteurs d'animation certes, mais qui s'avère trop souvent incapable de suivre d'autres voies que celles de la Disney Corporation…
Face à l’inévitable confrontation, chaque camp renforce ses rangs : Mary Shelley et Frankenstein joignent leurs forces à celles de Lord Black Fowl tandis que la team Jules Vernes recours aux services d’Harry Houdini… Celui-ci doit faire un choix qui scellera son destin : de lui et de son double inversé Reverso il ne peut en rester qu’un !!!
D’un côté nous avons la team Jules Vernes qui face aux accusions de chef de Scotland Yard Lester et du professeur Joseph Bell doit entrer dans la clandestinité, et d’un autre côté nous avons Lord Black Fowl qui suit à la lettre l’agenda de V pour Vendetta… La supracooltitude est au rendez-vous, car à l’exposition universelle de Londres il compte bien dévoiler à toute l’humanité le secret qu’on a si longtemps voulu lui cacher…
Les bémols ?
On continue le festival de clins d’œil mais je crains que Ridley E. Ripley le commandant de l’unité Nostromo soit une goutte de trop d’autant qu’il soit très/trop éloigné des références steampunk/dieselpunk de l’ensemble de l’œuvre. On si explique que le secret du papier est bien gardé, juste après on nous montre moult trafiquants de papier travaillant pour ceux veulent user de son secret… On sent que moult protagonistes du drame on un passé commun, mais comme peu de chose sont véritablement développées à ce sujet on reste orphelin du pourquoi du comment… Tout cela atténue tous les effets du récit et c’est bien dommage, mais pour tout le reste j’adore et j’adhère ! Oh yeah !!!
Face à l’inévitable confrontation, chaque camp renforce ses rangs : Mary Shelley et Frankenstein joignent leurs forces à celles de Lord Black Fowl tandis que la team Jules Vernes recours aux services d’Harry Houdini… Celui-ci doit faire un choix qui scellera son destin : de lui et de son double inversé Reverso il ne peut en rester qu’un !!!
D’un côté nous avons la team Jules Vernes qui face aux accusions de chef de Scotland Yard Lester et du professeur Joseph Bell doit entrer dans la clandestinité, et d’un autre côté nous avons Lord Black Fowl qui suit à la lettre l’agenda de V pour Vendetta… La supracooltitude est au rendez-vous, car à l’exposition universelle de Londres il compte bien dévoiler à toute l’humanité le secret qu’on a si longtemps voulu lui cacher…
Les bémols ?
On continue le festival de clins d’œil mais je crains que Ridley E. Ripley le commandant de l’unité Nostromo soit une goutte de trop d’autant qu’il soit très/trop éloigné des références steampunk/dieselpunk de l’ensemble de l’œuvre. On si explique que le secret du papier est bien gardé, juste après on nous montre moult trafiquants de papier travaillant pour ceux veulent user de son secret… On sent que moult protagonistes du drame on un passé commun, mais comme peu de chose sont véritablement développées à ce sujet on reste orphelin du pourquoi du comment… Tout cela atténue tous les effets du récit et c’est bien dommage, mais pour tout le reste j’adore et j’adhère ! Oh yeah !!!
Boh ! Ça valait vraiment la peine de céder aux fans et de se lancer dans une suite ?
Ben carrément !
Rémi Guérin et Guillaume Lapeyre réussissent à relancer la machine. La porte était restée entrouverte et on sentait bien que la volaille noire n’avait pas dit son dernier mot. Il aurait limite orchestré son arrestation que je n’en serais pas plus surpris que ça. Black Fowl, c’est le Kasparov de la machination diabolique. Il a 25 coups d’avance et a prévu une riposte adaptée à chaque manœuvre de l’adversaire. Et ses alliés ne sont pas des manches non plus.
Notre ménage à trois de héros s’en va vaillamment à la recherche d’une lettre d’importance. Et leur humour est de retour pour ma plus grande joie. Jules verne est définitivement taré, Conan Doyle se fait très affuté dans ses déductions et toujours aussi guimauve devant la séduisante et dangereuse Amelia Earhart.
Et on a la joie d’aller se balader dans la Ville Lumière après un voyage en train-canon. Ah, Paris… ses monuments, ses usines, son atmosphère plus polluée que le cul d’un camion Diesel des années 1960. Sympa mais masque à gaz indispensable.
Et donc de nouveaux personnages bien frenchie se voient détournés de leur condition historique. Il y a du voleur gentleman et de l’écrivain républicain au menu.
Mais ça va nous mener où, tout ça ? Hein, dites.
Ben carrément !
Rémi Guérin et Guillaume Lapeyre réussissent à relancer la machine. La porte était restée entrouverte et on sentait bien que la volaille noire n’avait pas dit son dernier mot. Il aurait limite orchestré son arrestation que je n’en serais pas plus surpris que ça. Black Fowl, c’est le Kasparov de la machination diabolique. Il a 25 coups d’avance et a prévu une riposte adaptée à chaque manœuvre de l’adversaire. Et ses alliés ne sont pas des manches non plus.
Notre ménage à trois de héros s’en va vaillamment à la recherche d’une lettre d’importance. Et leur humour est de retour pour ma plus grande joie. Jules verne est définitivement taré, Conan Doyle se fait très affuté dans ses déductions et toujours aussi guimauve devant la séduisante et dangereuse Amelia Earhart.
Et on a la joie d’aller se balader dans la Ville Lumière après un voyage en train-canon. Ah, Paris… ses monuments, ses usines, son atmosphère plus polluée que le cul d’un camion Diesel des années 1960. Sympa mais masque à gaz indispensable.
Et donc de nouveaux personnages bien frenchie se voient détournés de leur condition historique. Il y a du voleur gentleman et de l’écrivain républicain au menu.
Mais ça va nous mener où, tout ça ? Hein, dites.
Je suis désolé pour mes potes babéliotes qui ont adoré, mais je rentre dans ce manga intrigué mais pas ébloui. Faut m’imaginer comme Spock quand il balance son fameux « fascinant ! » sans qu’une once d’émotions ne vienne troubler son visage (un sourcil plus haut que l’autre peut-être ?)
L’ambiance steampunk mode « Gentlemen extraordinaires » a une classe certaine et les dessins de la City assurent. L’idée de donner au papier les mêmes pouvoirs qu’au génie de la lampe (si on sait écrire) est très originale et Rémi Guérin va déjà loin pour un premier tome dans la formalisation de cette arme atomique.
Et évidemment, j’aime l’idée de choisir comme héros de l’histoire des grands noms bien célèbres.
Mais… (vous l’attendiez ce « mais » hein ?)
Ces grands noms m’ont fait l’effet de costumes élégants pour des caractères qui n’ont que peu de rapport avec les originaux (enfin, je l’espère). A la limite Arthur Conan Doyle est pourvu des capacités de son Sherlock et aussi de son Watson, mais ce bon vieux Jules Verne est un jeune gaillard prétentieux et plutôt irresponsable. Amélia Earhart est une sacrée aventurière (ça ok) mais qui balance ses seins à la face de tout un chacun. Jules et Arthur se comportent devant elle un peu comme Nicky Larson devant… toutes les filles et c’est pas très glorieux.
Bref on est vraiment dans un manga qui cligne de l’œil à la littérature tout en conservant les codes du fanservice. Inconsciemment je devais m’attendre à autre chose et il m’a fallu un moment pour me mettre au diapason.
J’ai un petit reproche à faire sur le dessin de Guillaume Lapeyre aussi. Les décors, les machines sont superbes mais je trouve qu’ils manquent de contraste. Les scènes d’action en particulier sont très floutées pour donner une sensation de vitesse et en deviennent souvent difficilement compréhensibles.
Malgré mes remarques j’ai été hameçonné par l’intrigue et il ne faudra pas longtemps pour que je cède au charme d’Amélia et au mystère de Lord Black Fowl. Je vais donc couper l’herbe sous le pied d’Alfaric et appliquer sa devise « il ne faut jamais juger une série manga à la seule aune de son tome 1 ».
L’ambiance steampunk mode « Gentlemen extraordinaires » a une classe certaine et les dessins de la City assurent. L’idée de donner au papier les mêmes pouvoirs qu’au génie de la lampe (si on sait écrire) est très originale et Rémi Guérin va déjà loin pour un premier tome dans la formalisation de cette arme atomique.
Et évidemment, j’aime l’idée de choisir comme héros de l’histoire des grands noms bien célèbres.
Mais… (vous l’attendiez ce « mais » hein ?)
Ces grands noms m’ont fait l’effet de costumes élégants pour des caractères qui n’ont que peu de rapport avec les originaux (enfin, je l’espère). A la limite Arthur Conan Doyle est pourvu des capacités de son Sherlock et aussi de son Watson, mais ce bon vieux Jules Verne est un jeune gaillard prétentieux et plutôt irresponsable. Amélia Earhart est une sacrée aventurière (ça ok) mais qui balance ses seins à la face de tout un chacun. Jules et Arthur se comportent devant elle un peu comme Nicky Larson devant… toutes les filles et c’est pas très glorieux.
Bref on est vraiment dans un manga qui cligne de l’œil à la littérature tout en conservant les codes du fanservice. Inconsciemment je devais m’attendre à autre chose et il m’a fallu un moment pour me mettre au diapason.
J’ai un petit reproche à faire sur le dessin de Guillaume Lapeyre aussi. Les décors, les machines sont superbes mais je trouve qu’ils manquent de contraste. Les scènes d’action en particulier sont très floutées pour donner une sensation de vitesse et en deviennent souvent difficilement compréhensibles.
Malgré mes remarques j’ai été hameçonné par l’intrigue et il ne faudra pas longtemps pour que je cède au charme d’Amélia et au mystère de Lord Black Fowl. Je vais donc couper l’herbe sous le pied d’Alfaric et appliquer sa devise « il ne faut jamais juger une série manga à la seule aune de son tome 1 ».
Suite des aventures de Gamih pour sauver son clan, sa planète et la population entière de celle-ci.
Dans ce tome, nous en apprenons plus sur le passé de Gamih et d'Edraar tout en les suivant dans leur recherche d'un vaisseau pour sauver leur clan de l'envahisseur. Gamih va ainsi de surprises en surprises concernant sa famille et son don si particulier.
Les graphismes sont toujours aussi bien réalisés, aussi bien pour les personnages, les décors que pour les envahisseurs. Tout un monde haut en couleur, dans tous les sens du terme. La mythologie mise en place est très intéressante et se complexifie au fur et à mesure que l'on avance dans l'histoire.
Par contre, contrairement à ce que j'avais cru au départ, cette série ne se termine pas en 2 tomes. La fin de celui-ci appelle une suite. A-t-elle été éditée ou a-t-elle été abandonnée faut de succès ? À voir donc !! J'aimerais néanmoins bien connaître la fin de celle-ci car l'histoire devient de plus en plus intéressante.
Comme vous l'aurez compris, cette série est une bonne découverte pour ma part et j'espère que la suite a été éditée. Ce tome est sorti en 2008 donc la suite va peut-être bientôt voir le jour. Je vous conseille néanmoins de découvrir cette petite série intéressante aux superbes graphismes et à la mythologie très élaborée.
Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
Dans ce tome, nous en apprenons plus sur le passé de Gamih et d'Edraar tout en les suivant dans leur recherche d'un vaisseau pour sauver leur clan de l'envahisseur. Gamih va ainsi de surprises en surprises concernant sa famille et son don si particulier.
Les graphismes sont toujours aussi bien réalisés, aussi bien pour les personnages, les décors que pour les envahisseurs. Tout un monde haut en couleur, dans tous les sens du terme. La mythologie mise en place est très intéressante et se complexifie au fur et à mesure que l'on avance dans l'histoire.
Par contre, contrairement à ce que j'avais cru au départ, cette série ne se termine pas en 2 tomes. La fin de celui-ci appelle une suite. A-t-elle été éditée ou a-t-elle été abandonnée faut de succès ? À voir donc !! J'aimerais néanmoins bien connaître la fin de celle-ci car l'histoire devient de plus en plus intéressante.
Comme vous l'aurez compris, cette série est une bonne découverte pour ma part et j'espère que la suite a été éditée. Ce tome est sorti en 2008 donc la suite va peut-être bientôt voir le jour. Je vous conseille néanmoins de découvrir cette petite série intéressante aux superbes graphismes et à la mythologie très élaborée.
Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
M’a fait passer de bons moments avant d’aller au dodo, celui-là aussi.
Je me suis vachement plus amusé à regarder évoluer la bande de personnages célèbres détournés pour coller à l’esprit du manga qu’à suivre l’histoire. Rémi Guérin et Guillaume Lapeyre savent y faire pour touiller une mixture moussante d’écrivains et de leurs créatures, cela étant permis par les règles qui règnent sur cette histoire.
Terminé l’apparition d’un personnage célèbre qu’on va exploiter en détail. Place à la fabrication industrielle ! Ils arrivent par paquets, l’envers de la médaille faisant qu’ils n’ont pas assez d’espace pour s’exprimer tous. Mais comment résister quand on vous offre Maupassant, Leblanc, Christie, etc. empaquetés dans une irrésistible offre promotionnelle ? Les auteurs (ceux du manga hein, on s’y perd) se permettent d’exploiter le plus dingue de tous : Lewis Carroll et son monde miroir à la fois logique et taré, qui représente un sacré challenge pour le roi de l’évasion Houdini.
Je suis le récit avec joie dans son déroulement instantanée, oubliant le fil rouge que suivent Verne, Doyle et Earhart tellement ça passe au second plan. Parmi les moments d’anthologie, un duel d’écrivains : on scribouille jusqu’au premier sang, les déductions efficaces de Doyle qui vaut bien son Holmes (je l’attends celui-là) et la reprise d’une citation de Doc dans Retour vers le Futur (je vous dirai pas laquelle) . En revanche je trouve toujours le style flouté « tout-va-trop-vite-pour-prendre-une-photo-nette » des scènes d’action trop réussi car la plupart du temps j’y comprends que tchi. Mais c’est pas grave.
Je sais pas où tout ça va nous mener mais je m’en fiche. Je descends pas en marche, c’est trop dangereux.
Tiens, ça me donne envie de lire un Lupin , moi.
Je me suis vachement plus amusé à regarder évoluer la bande de personnages célèbres détournés pour coller à l’esprit du manga qu’à suivre l’histoire. Rémi Guérin et Guillaume Lapeyre savent y faire pour touiller une mixture moussante d’écrivains et de leurs créatures, cela étant permis par les règles qui règnent sur cette histoire.
Terminé l’apparition d’un personnage célèbre qu’on va exploiter en détail. Place à la fabrication industrielle ! Ils arrivent par paquets, l’envers de la médaille faisant qu’ils n’ont pas assez d’espace pour s’exprimer tous. Mais comment résister quand on vous offre Maupassant, Leblanc, Christie, etc. empaquetés dans une irrésistible offre promotionnelle ? Les auteurs (ceux du manga hein, on s’y perd) se permettent d’exploiter le plus dingue de tous : Lewis Carroll et son monde miroir à la fois logique et taré, qui représente un sacré challenge pour le roi de l’évasion Houdini.
Je suis le récit avec joie dans son déroulement instantanée, oubliant le fil rouge que suivent Verne, Doyle et Earhart tellement ça passe au second plan. Parmi les moments d’anthologie, un duel d’écrivains : on scribouille jusqu’au premier sang, les déductions efficaces de Doyle qui vaut bien son Holmes (je l’attends celui-là) et la reprise d’une citation de Doc dans Retour vers le Futur (je vous dirai pas laquelle) . En revanche je trouve toujours le style flouté « tout-va-trop-vite-pour-prendre-une-photo-nette » des scènes d’action trop réussi car la plupart du temps j’y comprends que tchi. Mais c’est pas grave.
Je sais pas où tout ça va nous mener mais je m’en fiche. Je descends pas en marche, c’est trop dangereux.
Tiens, ça me donne envie de lire un Lupin , moi.
Du bon-Heur ! Je me suis régalée avec ce manga. Pour les experts de ce genre, je vous conseille la critique d'Alfaric, excellente. Il y a quelques mots que je ne connais pas mais je progresse petit à petit. Faut dire que j'essaie déjà d'apprendre un mot de français par jour... Hier, le mot nouveau était « dulcifier ». Impossible de le caser de la journée, alors imaginez si je devais en plus tenter « nekketsu »... pas facile.
Mais il reste que cette bande dessinée (?! ...je blaaaguee) et ben elle est top ! Déjà parce que le Loup-y-es-tu (vous vous souvenez ?) il a de la gueule celui-ci (pas celui qu'on refile aux mioches pour les faire flipper avant de dormir. Non non, celui-ci est beau et aérodynamique, avec jambières). Alors si vous arrivez à visualiser le loup, avec effet foudroyant dans le pic du poil, je vous dis pas les jambes du Petit Chaperon Rouge ou mieux celles de Lady Rowena... Pourquoi je vous parle de la série des personnages des contes de Perrault ? J'aurais pu aussi évoquer le Magicien d'Oz ou Renart le Goupil...C'est justement le kiff dans ce manga : non seulement les protagonistes ont des pouvoirs magiques (et ça j'adore) mais en plus, leurs pouvoirs, ce sont les héros de romans ou de contes ! Donc, double joie lors de cette lecture. Et le scénario tient rudement bien la route (pas les voitures).
Alors oui, c'est un bon manga et ça se lit en commençant de la fin vers le début. Après trois tomes consécutifs de Tsuitsui, je commençais justement à bien maîtriser le sens. Et patatra ! Celui-ci se lit en commençant du début. Le début n’est pas la fin. Faut dire que les auteurs n'ont pas l'air d'être nippons, ni mauvais. Sont mêmes excellents !!! Hâte de lire la suite avec le tome 2 vu que c’est ...le début :)
Mais il reste que cette bande dessinée (?! ...je blaaaguee) et ben elle est top ! Déjà parce que le Loup-y-es-tu (vous vous souvenez ?) il a de la gueule celui-ci (pas celui qu'on refile aux mioches pour les faire flipper avant de dormir. Non non, celui-ci est beau et aérodynamique, avec jambières). Alors si vous arrivez à visualiser le loup, avec effet foudroyant dans le pic du poil, je vous dis pas les jambes du Petit Chaperon Rouge ou mieux celles de Lady Rowena... Pourquoi je vous parle de la série des personnages des contes de Perrault ? J'aurais pu aussi évoquer le Magicien d'Oz ou Renart le Goupil...C'est justement le kiff dans ce manga : non seulement les protagonistes ont des pouvoirs magiques (et ça j'adore) mais en plus, leurs pouvoirs, ce sont les héros de romans ou de contes ! Donc, double joie lors de cette lecture. Et le scénario tient rudement bien la route (pas les voitures).
Alors oui, c'est un bon manga et ça se lit en commençant de la fin vers le début. Après trois tomes consécutifs de Tsuitsui, je commençais justement à bien maîtriser le sens. Et patatra ! Celui-ci se lit en commençant du début. Le début n’est pas la fin. Faut dire que les auteurs n'ont pas l'air d'être nippons, ni mauvais. Sont mêmes excellents !!! Hâte de lire la suite avec le tome 2 vu que c’est ...le début :)
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Quand elle est petite, Jalil parle à Mariam d'un lieu où est enterré le grand poète Jami. Il s'agit :
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Khaled HosseiniCréer un quiz sur cet auteur117 lecteurs ont répondu