Le problème était de trouver le dosage adéquat.
Si ma belle amante n’était pas ivre, la thèse de l’accident perdait en crédibilité. Le doute pouvait s’emparer du binôme de flics en charge de l’affaire. Je ne pouvais pas me le permettre. Si, au contraire, elle se trouvait à la limite du coma éthylique, les enquêteurs auraient du mal à croire qu’elle ait pu se rendre seule jusqu’à l’escalier pour en dégringoler les marches. Enfin, je devais coucher avec elle avant son décès.