Depuis la veille, j'écrivais avec frénésie, les pages se noircissaient toutes seules. Je ne savais pas si ce que j'écrivais valait quelque chose, mais je savais que le destin m'avait mis sur la route d'une histoire que quelqu'un devait raconter. Une histoire réelle plus forte que la fiction et qui, je le pressentais, n'en était qu'à ses prémices.