La Grande Muraille de Chine
Pendant la traversée, la souris eut soudain l'irrésistible envie de prendre la première place.
Elle considéra dès lors son ami le chat comme un rival.
Verse un peu d’eau bouillante dans une petite théière pour la rincer et la réchauffer, puis vide toute l’eau. Mets une pincée de feuilles de thé par personne dans la théière, verse de nouveau de l’eau bouillante pour rincer les feuilles, puis vide aussitôt. Remplis toute la théière d’eau bouillante, puis couvre-la. Laisse infuser trente secondes, et c’est prêt ! Verse un peu d’eau bouillante dans les tasses pour les réchauffer, puis vide-les avant de servir. Tu peux répéter ces étapes plusieurs fois avec les mêmes feuilles de thé.
Il a plein de défauts, Léo,
mais on l'aime quand même.
Chaque fois que l'on rentre à la maison, il aboie très fort.
Il remue la queue comme un ventilateur parce qu'il est content.
Sur l’air Yugezi
Un vol d’aigrettes passe devant le mont Xisai.
Les fleurs de pêcher s’épanouissent, et dans l’eau,
les dragonnets sont resplendissants.
Avec son chapeau bleu de bambou tressé,
et son manteau vert en écorce de palmier,
le pêcheur heureux dans le vent et la pluie,
en oublie de rentrer.
// Zhange Zhibe
/ Traduction Guillaume Olive & He Zhihong
Le pavillon des bambous
Seul, assis dans le jardin de bambous,
Jouant de la cithare, je siffle longuement.
Dans la forêt profonde, ignoré de tous,
La clarté de la lune est venue m'éclairer.
Wang Wei (701-761)
Tandis qu'il observait les nuages défiler dans le ciel, les recommandations de se parents résonnaient dans son esprit.
Il se demandait si l'on viendrait vraiment le secourir à la venue du loup.
Pour le paysan
Sarclant les pousses de céréales, à midi, en plein soleil,
Les gouttes de sueur s'écoulent le long des tiges et pénètrent la terre.
Qui se souvient que le repas de chaque assiette,
Est le produit de tant de labeur ?
Li Shen (772-846)
Aube printanière
Sommeil profond du printemps, le jour s'est déjà levé.
Les oiseaux chantent de tous côtés.
Pendant la nuit, le bruit du vent et de la pluie n'a pas cessé.
Qui sait combien de fleurs ont pu tomber ?
Meng Haoran (689-740)
Escale nocturne au pont d’érable
la lune décline, les corbeaux croassent, le givre emplit
le ciel.
Face aux érables qui bordent le fleuve, et aux lanternes
des bateaux de pêche, je ne trouve pas le sommeil.
À la lisière de Suzhou se dresse le temple Hanshan,
Au cœur de la nuit, le tintement de sa cloche retentit
jusqu’à ma barque.
//(Zhang Ji
/ Traduction Guillaume Olive & He Zhihong
Le petit berger s’enfuit tandis que le loup dévorait son troupeau, payant ainsi le prix de sa tromperie pour avoir trop menti.