On ne pouvait guère se le dissimuler, cela transperçait sous la couche de hâle de son teint, cela, à tout instant, crevait sa peau, ce n’était plus le Breton honnête et fier, le pêcheur camaretois comme Corentin Garrec ; c’était le coureur d’aventure, et s’il lui restait quelques-unes des qualités de sa race, il devait surtout avoir les vices, les violences des gens avec lesquels il était si longtemps resté, en Australie ou ailleurs.