AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

4/5 (sur 1 notes)

Né(e) à : Liège (Belgique) , le 3/3/1819
Mort(e) : 1912
Biographie :

Gérard Minart : Né en 1819, mort en 1912, journaliste et économiste, auteur d’une soixantaine d’ouvrages, Gustave de Molinari est le grand oublié de notre histoire économique. Sauf aux États-Unis. En effet, il partage avec Jean-Baptiste Say, qu’il considérait comme l’un de ses maîtres, et avec Frédéric Bastiat, qui était son ami, cette singularité d’être plus connu, plus étudié, plus apprécié en Amérique qu’en France. C’est toujours le cas.

Né à Liège le 3 mars 1819, Gustave de Molinari est arrivé à Paris au début des années 1840. Il n’a pas tardé à s’imposer, très jeune, dans le journalisme économique.

Après le coup d’État de Louis Napoléon Bonaparte en décembre 1851, il décide de retourner en Belgique pour rester libre de parler et d’écrire. Il devient professeur d’économie politique à Bruxelles et à Anvers et fonde L’Économiste belge, un périodique qui paraîtra de 1855 à 1868.

De retour en France, Molinari appartient à une génération d’économistes qui vont marquer le XIXe siècle d’une forte empreinte libérale et qui constitueront une véritable école regroupée autour d’un libraire-éditeur – Gilbert-Urbain Guillaumin – d’une revue, le Journal des économistes, et d’une société de pensée, la Société française d’économie politique. Molinari sera l’une des principales planètes de cette constellation : il sera rédacteur en chef du Journal des économistes pendant vingt-huit ans, de 1881 à 1909, après l’avoir été du prestigieux Journal des Débats de 1871 à 1876.
+ Voir plus
Source : contrepoints.org
Ajouter des informations
Bibliographie de Gustave de Molinari   (5)Voir plus

étiquettes


Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Gustave de Molinari (3)Voir plus

Quiz Voir plus

Ils ont écrit sur des écrivains....

Ronsard a écrit trois volumes de vers pour trois femmes différentes. La première et la dernière, Cassandre et Hélène, ne l’approchèrent point ; l’une parce qu’elle était trop belle et l’autre parce qu’elle était hideuse. C’est du moins ce qu’en disent ceux qui les ont connues ; mais Ronsard, ne voulait rien d’elles que leurs noms à mettre en sonnets, fit Cassandre plus belle encore que Cassandre, et daigna donner à Hélène tout ce que Dieu lui avait refusé. Aussi nous les voyons toutes deux incomparables.

Emile Zola
Jules Barbey d’Aurevilly
Pierre Louÿs
Charles Baudelaire
Victor Hugo

10 questions
17 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *}