Les garçons jouent à la guerre et s'y montrent comme des hommes. A la guerre, la vraie, la terreur les transformera à nouveau en enfants.
Les drones-chantres reprenaient un refrain qui montait en crescendo. D’énormes chaînes raclaient le sol, traînées par une multitude d’humains, torses nus, leurs crânes chauves, sur lesquels des chiffres avaient été tracés à chaud, et leurs maillons renvoyaient la lueur dansante des fournaises.
C'est désertique, il n'y a même pas assez d'humidité pour se faire une tasse de caféine dans les 4 kilomètres cubes de son atmosphère .
En temps de guerre, mieux vaut considérer ceci : qu'est-ce qui a le plus de valeur ? Un homme dont la mort servira l'Empereur, ou bien un autre qui restera en vie, mais qui ne servira à rien ? Nous sommes devant une éternité de combats. Quiconque ne donnera pas sa vie fera preuve de trahison à l'encontre de toute l'humanité.
Un millier de milliers de tètes de maillets sonna la naissance du fils de la guerre, le pourvoyeur de ruine, le plus redoutable tank de la galaxie : le Baneblade .
Chaque fois que nous ne combattons pas, nous offrons la victoire à nos ennemis, même si combattre en oubliant ce qui nous rend meilleurs que ces créatures maléfiques serait pire que la défaite. Les humains sont humains parce qu'ils sont prêts à risquer leur propre existence pour en sauver une autre, c'est comme cela que nous sommes arrivés à conquérir les étoiles. Nous nous préoccupons de nos semblables. S'il est possible de ne sauver qu'une seule vie, il faut le faire. Chaque homme portant un fusil est une cartouche dans l'arsenal de l'Empereur. Chaque homme compte !
On ne se protège pas de la pluie en se jetant à l'eau.
La foi s'étend bien au-delà de la cécité ,mon fils .
ainsi de suite jusqu'à ce que l'œil humain se perde dans l'immensité de l'usine, si grande qu'elle suivait la courbure de la planète.
Plus le raisonnement de quelqu’un qui cherche à se remplir les poches a l’air de tenir la route, plus tu dois te méfier.