AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Guy Haley (32)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Aube de feu, tome 4 : Le trône de lumière

Quatrième opus de la saga Aube de Feu, écrit par le même auteur que le premier tome. On y retrouve avec plaisirs les protagonistes mis en place dans le premier tome, notamment l'inquisiteur Rostov et son attachante killteam.

Le récit est plutôt fluide et comporte moins de longueur que le premier tome, rédigé par le même auteur.

L'histoire nous tient en lecture et nous mène très facilement jusqu'à la conclusion, ouvrant sur une potentielle suite.

J'ai du le plaisir d'apprécier pas mal de scène de vie assez normales qui s'opposent eux batailles permanentes de W40K.

Pour l'instant il s'agit du livre que j'ai le plus apprécié dans la série Aube de Feu.
Commenter  J’apprécie          00
Aube de feu, tome 1 : Le fils vengeur

Premier tome d'une toute nouvelle saga qui se veut le digne successeur de l'Heresie Horus, au quarante deuxième millénaire.

Pari risqué si l'en est, au vu de la qualité de certains ouvrages de l'HH et de la richesse du sujet abordé.



Le livre est assez conséquent et avoisine les 500 pages et nous jette dans ce nouveau millénaire après deux événements majeurs, l'ouverture de la Cicatrix Maledictum et le retour du primarque Reboute Guilliman.

Le lecteur va se retrouver dans le grand bain avec des références faite a une attaque sur Terra, le retour d'un primarque supposé mort depuis des millénaires, la perte de l'Imperium Nihilus...



Je conseille fortement de lire les nouvelles en anglais ou en français qui sont sortis dans les hors série, concernant le retour a la vie de Guilliman, sinon il est aisé de se sentir largué.



Passé ce petit bémol, on se retrouve a suivre plusieurs personnages assez charismatiques et on découvre l'origine des Space Marines Primaris, ainsi qu'une scribe dont l'histoire apparaît au final, sans grand intérêt.

On a du mal a comprendre pourquoi ce livre fait autant de pages, sachant que la finalité est juste d'expliquer la création de la croisade Indomitus et des Primaris.



Les passages sont parfois longs et sans intérêt et l'ouvrage aurait pu être réduit a 250 pages sans difficultés.

Une introduction a une nouvelle saga qui me laisse perplexe quant à sa qualité d'écriture, sans pour autant être un navet.
Commenter  J’apprécie          00
L'hérésie d'Horus, tome 33 : La Guerre Eterne..

Ce trente-troisième tome de la collection Horus Heresy est un recueil de nouvelles comprenant une petite vingtaine d'histoires toutes assez intéressantes. On y retrouve énormément de personnages issus des tomes précédents, qui se croisent dans des histoires situées entre les volumes écoulés et à venir.



La diversité des nouvelles ne se fait pas au détriment des qualités de chacune, même si toutes ne sont pas égales. Toutes sont cependant agréables à lire et apportent quelque chose à la grande toile de fond qu'est la saga de l'hérésie d'Horus. Elles ne sont néanmoins pas, à mon avis, indispensables à lire pour la compréhension des divers fils scénaristiques en cours à ce niveau de la collection. Certaines histoires ont monté d'un cran le "grimdark" par rapport à certains volumes précédents, sans tomber dans le cliché trop facile du gore caricatural. Sur ce dernier point, et bien qu'elle soit tout à fait réussie, la nouvelle Chirurgeon, mettant en scène Fabius Bile, pourrait tout de même décontenancer des lecteurs sensibles (est-ce qu'il y en a, seulement?), en raison de ses descriptions détaillées et très évocatrices de dissection...



Un volume réussi, qui se lit très agréablement, et offre un choix assez large de personnages et de légions impliquées qui satisfera aisément ses lecteurs.
Commenter  J’apprécie          10
L'hérésie d'Horus, tome 34 - Pharos : Une lum..

N'étant pas un grand fan des Night Lords jai trouvé ce roman plutôt moyen.



Je pense que je suis arrivé à un stade où je veux revoir des personnage que j'ai quitté dans les autres livres. Toute l'unité de Sotha, humain comme semi astartes, suit ces péripéties et influe plus ou moins le cours de la Bataille mais le résultat de celle-ci ne dépendra que d'un groupe qu'on nous annonce et qui, du coup , rend prévisible le déroulé des événements.



J'ai donc lu rapidement toutes les parties ne concernant pas Dantioch, Polux ou Ultramar.



J'ai trouvé Guilliman mal géré, il est assez effacé de l'histoire et n'apparaît que pour s'énerver très vite.



D'ailleurs, cela vient sûrement d'une nouvelle ou d'un détail que je nai pas lu ou oublié mais je ne comprends pas pourquoi Sanguinus et Guilliman sont convaincu de la mort de l'empereur (ils y font référence tous les deux et Sanguinus l'exprime clairement). Ils arrivent à penser l'impossible dans les capacités de Cruze mais prenne pour acquis le fait le plus important de l'univers alors qu'ils savent qu'ils ne peuvent avoir confiance en rien.



Le chapitre avec Curze était 5/5, il me semble que l'auteur voulait écrire ce roman pour ce chapitre.



Il reste important pour l'histoire de Imperium Secondus, donc un must read DE l'hérésie d'horus.
Commenter  J’apprécie          00
L'hérésie d'Horus, tome 35 : L'Oeil de Terra

Ce recueil de nouvelles est plutôt bon sans être incroyable.

La nouvelle sur Lorgar, selon quelqu'un qui mis top 4 "Le premier Hérétique", est la meilleur et a toute l'allure de scènes coupées du 14eme roman.



Le thème de la remise en question de la loyauté est toujours bien présent.



Big up aux 2 nouvelles de Nick Kyme sur Thiel qui pour une fois ne déçoit pas !
Commenter  J’apprécie          10
L'Hérésie d'Horus - Le siège de Terra, tome 2 :..

Bombardements, attente, le manque de preparation des soldats, l'angoisse. La guerre des tranchées, les combats aeriens, les bombes de gaz. Nous sommes pas en 14-18 mais bel et bien au 31 millénaire. Et sur terre également. Un autre conflit mais des descriptions similaires à la littérature de la grande guerre.

J'ai trouve cet opus bien meilleur que le premier du siège de terra. On est enfin dans le vif du sujet. L'écriture est plus claire et direct. On comprend les enjeux et on ne perd pas de temps en symbolisme inutile.

Dans l'enfer du 31 millenaire, il n'y a que la guerre.

Commenter  J’apprécie          40
L'hérésie d'Horus, tome 31 : L'Héritage de la t..

Un recueil de nouvelles et novelas à la qualité inégale, comme souvent avec ce genre de publication. La première nouvelle qui sert d'introduction au roman Scars, est particulièrement laborieuse avec ses 140 pages qui n'apportent pas grand chose si ce n'est "compléter" l'histoire déjà racontée dans le 28e roman de l'Hérésie d'Horus.

Le reste est un ensemble de nouvelles et de novelas qui servent plus d'histoires d'ambiance qu'à faire progresser la trame générale. Beaucoup sont issues des audiodrama de la Black Library, et la plupart sont sympathiques à lire.

Un volume pas forcément indispensable, qui n'apporte pas grand chose mais se laisse lire sans aucun problème une fois passé le premier quart.
Commenter  J’apprécie          00
L'hérésie d'Horus, tome 49 - Le fléau du loup :..

Les Spaces Wolves ont été mon premier amour dans l'univers 40K. Cette furie au service de la justice, ces soldats sans-pitié qui sont frères et conteurs.

Mon imaginaire avait voyagé avec eux.

Ils apparaissent peu dans cette saga de l'hérésie d'Horus mais toujours avec singularité. On les avait suivi lorsqu'ils avaient détruit les Thousands Sons. Puis ils étaient apparus en piteux état après leurs rencontres avec les flottes de la XXème légion.

C'est ici une la saga d'une vengeance coup d'aiguille qui nous est conté. Leman Russ refuse de suivre Dorn dans la défense de Terra et part tuer de ses propres mains Horus, après avoir consulté les puissances de sa planète natale, Fenris.

Quelle épopée pour qui aime ce chapitre et ce primarque.

Quelques défauts sur le rythme et la répartition de l'action comme toujours mais on en fait fi, on est habitué maintenant à ces problèmes récurrents chez les auteurs Warhammer. Mais que d'actions. Dommage que le final soit aussi vite expédié.
Commenter  J’apprécie          40
L'hérésie d'Horus, tome 53 - La mort des Tita..

Un tome agréable dans une des dernières étapes avant l'arrivée du conflit sur Terra. Le système Beta Garmon est essentiel pour Horus. Il lui faut dominer ces diverses planètes pour ensuite aller vers le système solaire. Pour l'Impérium, c'est l'opportunité de l'affaiblir au maximum avec l'affrontement final.

Ici, notre thème sont les Titans. On suit deux deux légios: l'une loyaliste, la légio Solaria, résolument féminine,rapide et coordonnée et la légio Vulpa, renégate, sadique et belliqueuse. Deux styles différents qui vont se perdre dans ce conflit jusqu'à la fin.

Le plus de la légio Vulpa est de voir sa déchéance et sa chute vers Khorne, dieu du Sang et du massacre, ce qui était prédestiné à la légio. Une chute bien présentée qui nous amène à comprendre comment ces dieux du chaos attirent humains dans cette folie.

Sanguinius et le Khan apparaissent pour coordonner les efforts de l'impérium. Mention à Sanguinius qui a d'ailleurs une très belle scène contre un titan.

Mais toujours ces problèmes de rythme dans le récit. Beaucoup de passages techniques qui ne sont pas des plus intéressants ou bien sur la psychologie de personnages qui sont au final dans la saga pas très importants car ils ne vont réapparaître.

Bref, maintenant, place à Terra.
Commenter  J’apprécie          50
Space Marine Battles 13 : La mort d'Integrity

Deux chapitres de Space Marines se réunissent pour détruire un Space Hulk monstrueux et infesté de Genestealers. Le Mechanicum s'en mêle, et s'ensuit une terrible bataille...



Crevons l'abcès tout de suite: ce bouquin est très mal écrit, et encore plus mal traduit. Le début peine à se mettre en route, surtout avec ces Novamarines aussi fades qu'un plat de pâtes instantanées sans le sachet d'épices, et la lecture en est vraiment pénible. Heureusement passé le premier tiers, ça s'améliore (ou on s'habitue) et on parvient à se laisser couler dans l'histoire malgré la platitude des scènes de combat contre les genestealers.

Le bouquin vaut surtout pour son introduction du chapitre des Blood Drinkers (à ne pas confondre avec les Soul Drinkers d'une autre série), un chapitre descendant des Blood Angels qui a réussi à trouver un moyen de "vaincre" la Rage Noire. On découvre comment et quel est le prix à payer, et ma foi, c'est plutôt intéressant.

En ce qui concerne les Novamarines, par contre, leur transparence et leur manque de relief est presque gênante.

Quant aux technoprêtres de l'Adeptus Mechanicus, c'est encore pire, puisqu'ils sont à peine décrits et s'expriment tout à fait normalement, sans toute cette bizarrerie obsessive et mathématique que l'on peut rencontrer dans d'autres ouvrages: aucun dépaysement, aucune étrangeté, on aurait affaire à des mécanos d'un peloton mécanisé de la Garde Impériale que ça n'y changerait rien.



Au final, c'est honnêtement un mauvais livre, malgré de très bons éléments scénaristiques. La séquence finale [spoiler] à bord du Spirit of Eternity[/spoiler] ne présente elle-même que très peu d'intérêt et en est absolument décevante, et au final seuls les développements autour des Blood Drinkers intéresseront les fans les plus hardcore.

Commenter  J’apprécie          10
The Horus Heresy - Primarchs : Scions of th..

Un recueil de nouvelles qui ne déçoit pas! Je dois avouer que je suis très agréablement surpris par la qualité des textes qui composent ce recueil, et de façon générale, toute la série "Primarchs" et ses dérivés, qui ne m'a jusqu'ici pas déçu (hormis Fulgrim, dont l'histoire n'apportait rien au puzzle).



Ici, ce sont donc huit nouvelles qui abordent tour à tour l'un des primarques et ses relations avec les autres et leurs légions. Je les ai toutes appréciées, ce qui est rare sur un recueil, et ceci d'autant plus que je n'apprécie pas certains primarques, comme Jaghataï ou Roboute.



Le recueil se paie même le luxe devenu rare ces derniers temps de mentionner explicitement les IIe et XIe légions, dans la nouvelle consacrée à Rogal Dorn, et de nous en révéler un peu plus sur la Damnatio Memoriae qui les frappe.



Bref, une belle réussite, et un bon divertissement pour quiconque apprécie l'univers de l'Hérésie d'Horus.
Commenter  J’apprécie          20
Black Library Celebration 2019

Une bonne lecture qui peut se faire en plusieurs fois puisqu'il s'agit de nouvelles. Parfois courtes ou plus longues, elles permettent de nous immerger dans des univers différents de la licence Warhammer. J'ai eu du mal avec quelques unes pour lesquelles l'univers m'attirait moins mais j'ai dans l'ensemble apprécié cette lecture simple et rapide. Elle nous donne envie d'approfondir nos connaissances des univers et c'est assez plaisant.
Commenter  J’apprécie          00
Les Primarques, tome 12 : Konrad Curze hant..

Commenter  J’apprécie          10
Warhammer 40.000 - Imperial Guard, tome 2 :..

Après le Baneblade, un autre char super-lourd sur une autre planète pour une autre mission. Mais on garde l’équipage du premier tome.



On retrouve l’atmosphère de l’opus précédent. Et sincèrement, je préfère la garde impériale (des hommes) aux Surhommes Space Marine, toujours un peu trop dévots et faussement parfaits à mon avis.

Bon dans ce volume, on a la totale, du garde, du space marine, du char, du titan, du chaos et leurs astartes et machines renégats. Manquait plus que les ET (mais on les a eus dans le premier tome).



Moins immersif que Baneblade, mais les recettes sont désormais éprouvées et efficaces, et cela fonctionne. Une bonne lecture dans l’univers Wh40k. Guy Haley, un auteur à suivre pour cette licence.
Commenter  J’apprécie          400
Warhammer 40.000 - Belisarius Cawl : Le Gra..

Je remercie NetGalley et Black Library pour l’envoi de ce roman de science-fiction et de fantasy mêlée de Guy Haley, Belisarius Cawl : Le Grand Œuvre…

Cette fois, ma curiosité m’a entrainée dans un monde imaginaire et futuriste de high fantasy, très proche des jeux de rôles et des jeux vidéo dans lequel je crains fort de m’être à la fois fourvoyée et sans doute perdue.



Au fil de ma lecture, je me trouvais confrontée à un univers référentiel qui me faisait penser à un mélange de Star Wars, Matrix et Transformers…

Belisarius Cawl, Archimagos Dominus de l'Adeptus Mechanicus, est le plus brillant cerveau connu, une entité omnisciente mi-humaine, mi-androïde et mécanique dont les circuits mémoriels ont des possibilités infinies. Depuis 10 000 ans, il contribue à la cause du genre humain, en travaillant sous l'égide de l'Empereur et du Seigneur Commandant Roboute Guilliman pour entraver la progression inexorable des traîtres et des xenos. Il a créé une nouvelle génération de Space Marines, sorte de supers soldats…

Au bout de quelques chapitres, j’avais de plus en plus de mal à me repérer dans les espace-temps et à m’y retrouver parmi l’ensemble des personnages « augmentés » et leurs multiples connections.

Belisarius Cawl en vient à explorer le monde mort de Sotha, jadis la base des Scythes de l’empereur avant d’être dévasté par les Tyranides. Accompagné du tétrarque Félix et de ses guerriers d'élite, il croit y trouver la clef de son énigmatique Grande Œuvre. Mais c'est une recherche quasiment impossible, d'autant que l'Archimagos doit aussi lutter contre un mal ancien qui menace d'éteindre l'ultime espoir de l'humanité…



Plus j’avançais dans ma lecture, moins je m’y sentais à ma place même si certains passages parvenaient à me captiver et si quelques références me paraissaient à la fois originales et pertinentes. Je salue le travail de création d’un univers cohérent. Mais j’avoue avoir sauté quelques passages, une manière de jeter l’éponge sans doute.



Un roman pour amateurs du genre.

Je reconnais humblement que Warhammer 40 000 ne m’évoquait rien, mais alors rien du tout. Quelques rapides recherches m’ont confortée dans mon ressenti premier et mon inaptitude à publier un avis vraiment argumenté sur ce livre…





#BelisariusCawlLeGrandOEuvre #NetGalleyFrance



https://www.facebook.com/piratedespal/

https://www.instagram.com/la_pirate_des_pal/

Commenter  J’apprécie          50
L'hérésie d'Horus, tome 53 - La mort des Tita..

Ah on continue sur notre suite de bon roman, et lui, en terme de sf militaire, il est vraiment pas mal. En tant qu'avant dernier roman de l'hérésie, il nous montre une bataille assez dantesque. Chose qu'on attend quand on parle de titans. Les Titans, c'est des armes qui font la taille d'un monde ruche et qui peuvent renverser le cours d'une bataille en un rien de temps. Les titans sont organisés en Maison comme celle de Solaria ou de Vulpa. Ces maisons sont plus ou moins indépendantes de l'imperium et du Mechanicum. C'est le premier tome qui en quelque sorte, nous montre une véritable bataille de titans (environ 2000 étant donné qu'on parle de 20 Maisons contre un nombre qui doit être similaire)



Le système de Beta-Garmon a une grande importance logistique et industrielle. Logistique car elle possède un relais qui permet de coordonner les troupes dans l'amas de Garmon et industrielle car ce sont des mondes ruches. L'Imperium qui a trop de troupes sur Terra et qui préfère voir tout les titans se battre autre part que sur Terra a décidé d'organiser une forme de contre attaque chargé de gagner du temps jusqu'à l'arrivée des Ultramarines et des Dark Angels.



Ce roman de 400 pages peut se diviser comme ceci, suite de scène d'action entremêlée avec la vie dans la Legio Solarius puis grosse bataille finale. Et on peut tout dire mais le domaine de l'action, il est assez bien orchestré. Les stratégies sont surprenantes, claires et ne nuisent pas aux récits. Mais on remarque bien qu'il nous manque le côté transcendant de certains... Le surplus d'action ne gène pas ici mais il y a certaines scènes comme celle avec Sanguinus ou encore le manque du sentiment dernier carré qui me font dire que c'est loin d'être parfait.



Alors que d'un point de vue stratégique, on ressent une accumulation de traîtres et de loyalistes dans ce secteur. Notre Legio Solaria a son propre conflit contre Vulpa, un conflit personnel et amoureux. Pas d'inquiétude, c'est à la mode 40k... Chaque Legio a ces propres particularités, la legio Soaria est entièrement composé de femme et entretien une tactique, on frappe et on se repli. La legio Vulpa, c'est des têtes brûlées et on nous montre un assez beau changement vers Khorne, le dieu du Sang et de la Guerre.



On peut dire ce qu'on veut de ce roman mais on est assourdi sous la tonne d'informations. Et pourtant, malgré toutes ces coutumes et ces explications techniques ou géopolitiques. On ressent une forme d'équilibre. Le problème vient surtout de l'échelle, très rapidement ce système solaire devient capital et accueille notre cher Sanguinus et Jagathai Khan. Mais le problème, c'est que ça manque de belles scènes avec ces primarques et l'utilisation du Khan aurait pu être meilleure. L'autre problème, c'est qu'on nous parle de la situation de l'amas comme si elle allait être développée autre part. Mais elle ne l'est pas, on nous ramène des Blood Angels mais ils ne servent pas à grand-chose.



Ce roman aurait dû s'arrêter au titans, on nous développe de tel chose au 3/5eme du livre seulement. Les personnages, à part Esha Ani Mohana et Harrtek et leur antagonisme. Le lien entre tous ceux de la legio Solaria n'est pas assez développé. Pareil pour la Vulpa étant donné qu'il y a trop d'informations. Et puis si on voulait donner plus d'envergure, on voit des Sons of Horus, des Irron Warriors, pourquoi pas des primarques félons. Et puis d'un point de vue spatial, on n'a pas leur point de vue. Pourtant entre Sanguinus, sa flotte et celle des 20 Maisons ou Legio, ça doit faire pas mal. Le statu quo aurait pu être rompu. Ce que Haley voulait faire ne pouvait se faire en 400 pages tout simplement.



Je pourrais aussi continuer avec l'utilisation bien pauvre du Warp mais ce que j'ai retenu, c'est bien ces quelques scènes de bonne sf militaire. Mais à vouloir faire trop, notre cher Haley en a perdu en sentiment d'euphorie. Je ne me suis pas ennuyé mais à aucun moment je n'ai ressenti un épique magistral, à aucun moment j'ai eu peur pour ces personnages. L'échelle nous fait rêver mais la structure est bien légère...
Commenter  J’apprécie          40
L'hérésie d'Horus, tome 49 - Le fléau du loup :..

Ah enfin un bon roman 40k, parce que la, ma volonté commençait à faillir. Après une suite de mauvais roman, nous revoilà avec Leman Russ que nous avions laissé au tome 14 après la destruction de Tizca, le domaine de Magnus. Ce roman est plutôt bien construit, tout est dans la fatalité, un thème récurrent dans l'hérésie d'Horus. La philosophie de Russ ne pouvait le pousser qu'à une telle décision. Le Chien de garde de Terra est parti à la chasse de son félon de frère. La symbolique de la première scène est juste dantesque, deux loups vont s'affronter mais un seul ne pourra être gagnant. Et nous en tant que lecteur, savons déjà qui va vaincre.



Au final, c'est la grande difficulté de cette saga, nous connaissons déjà la conclusion. Seul le récit qui va nous y amener est utile. Dans cette saga, je recherche l'émerveillement du coté martial et dantesque de l'univers 40k mais aussi le côté peu utilisé de la lovecrafterie qu'est le Warp. Ce qui est franchement dommage. Nous suivons donc Russ dans son périple vers son frère.



Au moins, on peut enfin dire que les choses bougent dans 40k. Le maître de guerre est proche de Terra. le Vengeful Spirit porte la marque qui a été posé par Gavriel Loken, le bourreau de l'empereur peut enfin sortir de sa tanière. Mais avant, il doit aller consulter une forme d'oracle sur Fenris. Beaucoup de choses sont dites, ce livre est rempli de symbolique sur la transformation de l'imperium. Sur le rêve brisé de l'empereur mais aussi sur ces échecs. Haley a essayé de faire disparaître les incohérences de l'hérésie. Chose complexe mais pas forcément réussie....



Sur la question des psychers par exemple, l'argument du on connaît les limites est peu convaincant. Magnus et sa légion en connaissait assez sur le Warp. On essaye de tout expliquer par la faillibilité de l'empereur. Il est bien d'aborder ces questions casse gueule mais la c'est mitigé. Cela méritait approfondissement... La grande réunion des primarques était intéressante mais démontre aussi que ce sont les seuls personnages intéressants dans l'hérésie, les seuls qui nous font réellement vibrer.



Les scènes de géopolitique qu'on attendait temps sont aussi présentes mais manque d'approfondissement. Et puis on remarque bien qu'on a un début, une fin mais pas de milieu. Un manque flagrant d'évolution dans la galaxie. Il manque des pans entiers de conquête chez les traîtres. L'Imperium secondus c'est bien mais on voudrait aussi le développement de la guerre civile dans sa globalité. La galaxie, c'est très grand...



On a de la mythologie nordique et on approfondit les coutumes de cette légion de manière intéressante. Mais après ceci, la seule chose recherchée et le combat entre le Horus et Russ. Et la, on a un gros problème, tout ce que l'on voit de cette confrontation. C'est par le point de vue de Russ et uniquement lui. Dans Prétorien de Dorn, on avait un lien via flashback. Ici on l'a juste grâce à notre connaissance passé de qui est Horus et l'introduction. Cela manque de comparaison, de contraste, le lien entre les deux n'est pas étoffé.



Et puis, on arrive à la bataille finale est la, on arrive pas à faire le choix entre un duel entre les deux qui malheureusement est impossible ou une bataille à grande échelle. On nous mixe les deux dans une pornographie militaire grandiose mais cela manque d'hystérie, de grandiose. Et puis Russ, c'est le personnage inventé pour tuer un primarque si il trahit l'empereur. le faire hésiter et échouer, c'est comme si Guilliman perdait une bataille parce qu'il ne tenait pas compte de la logistique. Le final fait trop artificiel, c'est le problème du à la licence. Mais des gens comme Mcneil ou Abnett arrivent à l'éviter, c'est en cela qu'ils sont meilleurs...



Et il existe un dernier problème, Cawl ici fait trop fan fiction. Il n'a rien à faire ici. Il appartient à l'univers de 40k, je veux bien qu'on essaye de symboliser le changement mais la. Ça ne fait que participer au sentiment de trop artificiel. Chose étrange, le monde du mechanicum est mieux écrit et représenté par cet auteur que Mcneil. Et puis, il y a l'importance de cette trame dans l'intrigue qui est bien trop faible. Nouvelle à part oui, l'insérer ici, il aurait fallu lui donner de la consistance dans la bataille finale. Mais cela n'aurait pas changé la nature du problème.



On dirais que mon sentiment est mitigé mais ce n'est pas le cas. Je l'ai apprécié mais il manque bien des choses, il est plaisant mais il possède beaucoup trop de défauts pour que je ferme les yeux dessus... Les scènes de combats d'ailleurs manquent aussi de ce sentiment d'émerveillement. Il n'a pas l'écriture évocatrice de certains... que ce soit dans le style ou dans le scénario. Un bon départ mais une finalité bien pauvre.
Commenter  J’apprécie          40
L'hérésie d'Horus, tome 43 : Les légions brisées

Un nouveau recueil qui, comme tous les recueils de la Black Library, est très inégal. Lui se focalise sur ce qu'est devenu les Iron Hands après le massacre d'Itsvann V. Dans chaque nouvelle, on va suivre comment va se remodeler cette légion brisé pour redevenir une arme. Au moins ce recueil aura l'obligeance de nous fournir un bon début et une fin prometteuse, cette fois ci, les auteurs apprennent de nos critiques sur ce genre de forme. Mais bon, il leur aura fallu plus d'une dizaine d'années pour comprendre comment fonctionnait un recueil. Mais par contre, ils n'ont toujours pas compris le concept d'avancer dans une saga. Littéralement, ce tome peut se lire après le 5eme.



Et comme toujours, on a nos deux types d'auteurs, les bons et les mauvais. Et malheureusement, la seconde catégorie n'apprend pas beaucoup des critiques. Les premières nouvelles commencent bien, on nous présente une situation bien sombre. Le sentiment accablant de désespoir, de perte et de colère se manifeste tout au long de ces histoires. Personne ne sait à qui faire confiance. Personne ne sait quelles légions sont dignes de confiance. On veut se rebâtir mais on se heurte aux égaux des autres. Dan Abnett nous offre un bon début et on comprends bien la difficulté des personnages.



Les Iron Hands sont dans le meilleur des cas difficiles à aimer. Ils prennent un besoin psychopathe de soulager la chair «faible» avec un fer sombre et implacable. Cela les conduit vers une logique brutale pour ne pas dire inhumaine. Ils sont froids, implacables et feront tout ce qui est nécessaire pour atteindre leurs objectifs. Il est facile d'en faire des personnages ennuyeux et antipathiques tout comme plutôt complexes. Tout dépend malheureusement de l'auteur derrière la tache.



On retiendra surtout de cette anthologie une nouvelle très marquante, celle du septième serpent. Une infiltration au rebondissement très tragique et inhumain. Cette équipe de choc (car déjà vu dans Ange Exterminatus) chargé de tuer le Primarque Alpharius donne cependant plutôt l'intérêt à l'Alpha Légion. D'une certaine manière, c'est dommage pour une anthologie sur les Iron Hands. Une scène finale plutôt magistrale...



La dernière nouvelle aurait dû être conté par Aaron Dembski-Bowden. Graham McNeill n'arrive pas à écrire de scène frappante chez nos méchants favoris. Et pourtant, il y avait quelques belles possibilités. Ce que je retiendrai de cette anthologie est malheureusement le fait qu'elle n'a rien de bien marquant sur les Iron Hands. Le plus triste dans ce genre d'anthologie, c'est qu'on nous parle de chose anecdotique. On parle de grosse bataille et de situation géopolitique intéressante mais comme si elle appartenait à un autre roman. Un roman qui n'existe pas, le dernier défaut à lui mettre, et pas des moindres, c'est de n'avoir aucune importance dans la trame...
Commenter  J’apprécie          30
L'hérésie d'Horus, tome 53 - La mort des Tita..

» Tome 53 de la saga « L’hérésie d’Horus » dans l’univers de Warhammer 40K . Horus le maître de guerre félon , se rue vers Terra afin de mettre un point final à sa trahison. Mais il doit affronter toute la puissance de l'Imperium le système de Beta-Garmon: l'Armée Impériale, presque infinie, mais aussi tous ses titans, prêts à défier la puissance militaire du Maître de Guerre. Dans un conflit apocalyptique les titans loyalistes affrontent les machines divines renégates.
Commenter  J’apprécie          10
L'hérésie d'Horus, tome 31 : L'Héritage de la t..

» 17 nouvelles dans l’univers Warhammer 40K . Elles se situent à des moments divers de la saga « L’hérésie d’Horus » et concerne divers épisodes survenus après la trahison . Certains en sont très proches (Veritas Ferrum/Frapper et disparaître/) et directement liés à Isstvan , d’autres beaucoup plus lointains et périphériques , voire anecdotiques. Les chapitres concerné sont variés White Scars (La confrérie de l’orage),Iron Hands (Veritas Ferrum/Tiraillé/) Salamander (Veritas Ferrum/Frapper et disparaître/)Ultramarine (Honneur aux morts/La marque d’infamie ) World Eaters.(Les clous du Boucher/ Le chemin à huit branches) Word Bearers.(Les clous du Boucher/La marque d’infamie)Space Wolwes(La Griffe du Loup/Loup solitaire) Thousand Sons(Les voleurs de révélation) Emperor's Children(Lucius la lame éternelle) .A remarquer un nouvelle avec Horus comme seul personnage (Maître de guerre) .Pas désagréable mais inégal.
Commenter  J’apprécie          40




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Guy Haley (114)Voir plus

Quiz Voir plus

Encore des pastiches mais avec des titres !

Le petit pet sournois et autres brèves satisfactions malsaines

Bernard Werber
Jean-Paul Dubois
Philippe Delerm
Jean Teulé

10 questions
25 lecteurs ont répondu
Thèmes : pastiche , titres , humourCréer un quiz sur cet auteur

{* *}