Dans les villages, aux veillées, on parlait à voix basse en regardant mourir le feu de « forces importantes et bien armées, entraînées par des parachutistes américains et anglais, massées dans la forêt de Cublac ». On en parlait comme on parle des choses lorsqu’on veut qu’elles arrivent : avec une ferveur d’autant plus forte qu’elle ne repose sur aucune réalité.