Ce n’est pas la perfection qu’on doit viser dans la vie, mais le perfectionnement. Sur notre Grande Route, ainsi, ce n’edt Pas la destination finale qui est l’objectif, mais bien la voie qui y conduit. Surtout parce qu’il est une perpétuelle remise en question. Surtout parce qu’il est une prise de risque permanente. Le pèlerin n’est jamais sur de repartir le lendemain. Une plaie mal soignée, une entorse sur un caillou et c’est le rapatriement, la défaite, la déroute totale! Si on croit avoir atteint la vérité, nous voilà sortis de la voie du doute. Et sans doute, nul perfectionnement et foison d’arrigance!