VANCOUVER
Les nuits d'hiver
Quand je t'entends
Pleurer le temps
A mots couverts
Le temps fuyeur
D'entre nos doigts
Et qui ondoie
Au gré des heures
Je pense au vent
Courant la laisse
De nos jeunesses
Puis s'ensauvant
Les nuits d'hiver
J'entends le vent
De nos « avant »
A Vancouver.
p.38