« Boaz avait toujours été une douleur sourde dans ma poitrine, un deuxième battement que je ressentais depuis qu’on était enfants. Linus s’apparentait plus à une saveur addictive dont je commençais à être avide, et je ne parlais pas de son sang. Je parlais de lui. Ses regards tendres, ses touchers délicats, ses mots doux. Tout ça. Tout lui. »