Il se passait plus de choses là-haut dans le ciel qu'en bas sur la terre, mais il fallait s'arracher à la ville pour s'en rendre compte. La ville et ses foutues verticales qui vous bloquaient la vue, ses canalisations, ses câbles et tout le reste qui couraient sous vos pieds, vous enfermant, rompant les flux.
Le désert en revanche, personne n'y avait touché. C'était une terre qui vous laissait en paix.