Un grand merci aux éditions La Découvrance pour m'avoir permis de découvrir ce livre ; merci à Babelio avec mes excuses pour le retard apporté dans les délais de Masse critique. Harry Pidgeon a construit seul son bateau qui lui a permis de faire le tour du monde. C'est un sacré marin ! Son principal défaut me semble être la modestie car son récit est truffé d'aventures pour naviguer et accoster dans toutes les îles de son trajet. A aucun moment, il ne se vante des efforts considérables qu'il a déployés en mer comme à terre pour entretenir et réparer Islander.
Le récit nous entraîne dans le sillage de Slocum et de Stevenson et nous fait découvrir les différents peuples rencontrés. L'accueil qu'il a reçu partout témoigne d'une époque révolue où le marin étranger était honoré et admiré .
De nombreux termes techniques émaillent chaque page mais les notes précises du traducteur Olivier Merbeau apporte un intérêt supplémentaire à la lecture. Ce récit enthousiasmera les passionnés de voile mais aussi les amateurs de beaux récits de voyage.
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Un livre, c'est comme une navigation, ce n'est jamais bon signe quand on ne le termine pas. Je suis tout de même allée jusqu'au bout.
Si je suis ravie d'avoir fait la découverte de cet homme des mers que je ne connaissais pas, je n'ai pas du tout été charmée par ses écrits. Aucun plaisir littéraire à accompagner Pidgeon autour du monde.
La traduction y est peut-être en partie pour quelque chose. Je n'ai pas trouvé les notes de bas de page toujours utiles.
Cependant, cet ouvrage m'a donné envie de découvrir les clichés de ce marin photographe.
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Le récit intéressant d'une aventure humaine singulière, mais qui aurait pu bénéficier d'une narration plus élégante. La traduction est-elle à mettre en cause ? Ou bien la technicité des termes de marine ?
Une histoire de voyage cependant passionnante pour les mordus de voile, et un livre à mettre entre leurs mains !
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