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3.52/5 (sur 33 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Ocala, Floride , le 04/02/1916
Mort(e) le : 11/06/1989
Biographie :

Harry Whittington était un auteur de romans sentimentaux, de récits policiers et de westerns. - Il a publié un grand nombre de nouvelles sous de multiples pseudonymes et plus de 150 romans.

Quelques pseudonymes : Ashley Carter, Tabor Evans, Whit Harrison, Hallam Whitney, Blaine Stevens, Harriet Kathryn Myers, Harry White, Hondo Wells, Clay Stuart, Kel Holland

En 1936, il est rédacteur en chef de la publication alternative Advocate.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, il sert brièvement dans la US Navy et, peu après son retour à la vie civile, en 1947, devient écrivain professionnel.

Il est surtout connu pour ses quelques 85 romans noirs qui le placent aux côtés de Jim Thompson et William P. McGivern parmi les représentants américains de la deuxième génération du genre.

Un poignée de ses romans ou nouvelles ont été adaptés au cinéma et, en collaboration avec d'autres auteurs, il a écrit plusieurs novelisations de la série télévisée "Des agents très spéciaux" (1964-1968) sous le pseudonyme maison de Robert Hart-Davis.

Il cesse d'écrire entre 1968 et 1974 pour occuper un poste de rédacteur au département de l'électrification rurale à Washington. Quand il reprend la plume, c'est essentiellement pour signer des westerns sous les pseudonymes de Ashley Carter, Tabor Evans ou Blaine Stevens.

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Source : Wikipedia
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Bibliographie de Harry Whittington   (19)Voir plus

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Citations et extraits (10) Ajouter une citation
Il n'est rien de plus sombre que l'intérieur d'une maison abandonnée.
Celle-ci l'était depuis si longtemps qu'elle avait du oublier les bruits humains.
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Harry Whittington
Pour moi, le héros Whittingtonien est le dernier des chevaliers. Un preux qui sait que sa cause et son armure sont rouillées ; qui sait que le Duc pour lequel il se bat, est un vrai salaud, et que c'est contre le Duc, et non contre le Dragon, qu'il va retourner son épée émoussée.
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Bernice examina le policier.

Elle le détestait. Elle commença à parler, lui racontant mensonges sur mensonges. Mais, en elle-même, derrière la protection de ses épaisses lunettes, Bernice pensait amèrement : « Comment
est-ce que cela a commencé, Mr Findlay ? Cela a dû commencer dans le ventre de ma mère. Seriez-vous choqué, Mr Findlay, si je le disais à voix haute ? Naturellement, cela a commencé ainsi. Si vous
vous y connaissiez en génétique, vous le sauriez. Vous sauriez que deux personnes laides peuvent donner naissance à un bel enfant, leurs traits se confondant en un ensemble plaisant. Ou cela peut se passer de façon inverse. Deux
parents très beaux. Vivant dans le Bronx. Travaillant dur. La femme allant à l’église tous les dimanches, et médisant de ses voisins le reste de la semaine. Une femme ordinaire. Le mari, buvant modérément, regardant avec envie les femmes plus jeunes et plus jolies. Leur enfant est né. Les premières années, elle
attrape la scarlatine et la rougeole. Puis, au jardin d’enfants, à l’âge de cinq ans, on découvre qu’elle est astigmate. On lui met des lunettes. Bien sûr,
voilà comment cela a commencé, Mr Findlay.
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La porte de la bibliothèque s’ouvrit et un homme entra. On aurait dit une ombre grise. Tout d’abord, Bernice pensa à une
illusion optique créée par les reflets de la lumière sur ses lunettes. Ce n’était pas la première fois que cela lui arrivait, pensa-t-elle amèrement.
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Findlay vint se placer devant elle. Elle
put l’examiner en détail. Son visage était gris, couleur de granit. Même les
rides semblaient tailladées dans son visage rocailleux. Ses yeux gris étaient
froids et dépourvus de tout humour. Quand il parlait, c’est à peine si ses
lèvres pâles laissaient voir des dents jaunies. Bernice avait peur de lui. Elle
n’avait jamais autant été effrayée par un être humain. Elle avait peur de
rester seule dans la pièce avec lui.
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— Je fais mon boulot, Miss Harper. Cela
fait des années que je le fais. Je ne suis pas marié. Un homme de mon âge doit
se raccrocher à quelque chose. J’ai mon travail. J’en connais toutes les ficelles, Miss Harper – Il soupira – Tout comme je connais toutes les ruses, toutes les excuses ou tous les mensonges et on ne me la fait pas.
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Bernice ferma la bouche. Ses mains agrippées au bureau étaient moites. Elle regarda l’homme gris et s’aperçut qu’elle
le haïssait. Elle le haïssait de toute son âme. Elle dut contrôler sa respiration pour lui répondre. Elle était sûre qu’il entendait les battements de son cœur.
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Pure routine. Naturellement, la police voudra savoir ce qui s’est
passé. Comme vous êtes le seul témoin, il faudra bien leur expliquer. Ne vous inquiétez
pas. Dès que le policier en aura terminé, commencez donc à appeler les
différentes personnes.
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tout homme espère rencontrer un jour une femme qui lui être spécialement destinée
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l'amour vous rend meilleur!
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