L’obscurité n’était jamais complète là où les discothèques, les bars, les hôtels et les motels appelaient la clientèle de leurs néons. Mais à l’écart de l’urbanisation, là où la nature régnait, la nuit était aussi noire que le Styx, impénétrable, aussi effrayante qu’un enfer peuplé de créatures avides de chair et d’âmes humaines.