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Citations de Heather Webber (17)


An hour later, Avery still had a look of shock haunting her eyes. (...) We'd explained everything to her the best we could. The hows and whys of being able to see the ghosts.
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— Excuse-moi... Je n'ai pas...
— Tu ne faisais que répondre à une question.
— Je sais, mais... Je... Oh, et puis merde !
Soudain, il se mit à rire.
— Qu'est-ce qu'il y a de si drôle ?
— Toi. Tu es adorable quand tu jures comme un charretier.
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-Il faut que vous me fassiez confiance. Vous me l’aviez promis.
- La confiance a ses limites, Lucy. Et elle est valable dans les deux sens. J’exige la vérité.
Je fermai les yeux. Oserais-je là lui avouer? Je l’avais placé dans une situation délicate, mais ma famille avait toujours gardé le secret sur nos visions.
- Lucy, insista-t-il en me prenant la main.
Je fus prise d’un vertige. Des visions vinrent me tourmenter délicieusement. Nous étions au lit, peau contre peau, enlacés. Sean m’embrassait les lèvres, le cou, les seins… Je dégageai vivement ma main. Il eut un mouvement de recul, comme s’il s’était brûlé.
- Qu’est ce qui se passe? demanda-t-il en se massant la paume. C’est la deuxième fois que cela se produit.
- Co…Comment?
- Quand je vous touche la main, je reçois une décharge, répondit-il en me dévisageant. C’est de l’électricité statique?
- Oui, c’est ça, de l’électricité statique, répondis-je dans un soupir.
Mon vertige se dissipait, mais les images sensuelles persistaient. mon corps était en feu et implorait Sean de le toucher.
- Regarde-moi Lucy, reprit-il, plus familier.
J’en étais incapable, car il lirait le désir dans mes yeux. Il avait une petite amie, enfin presque. Et je devais tenir compte de la malédiction de Cupidon. Il ne pourrait jamais rien y avoir entre nous.
- très bien, concéda-t-il en démarrant. Dis moi juste une chose, alors.
- Laquelle?
- As tu quelque chose à voir avec la présence de ce squelette dans les bois?
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j'avais une certitude, cet homme m'avait volé mon cœur dès le premier jour. J'en avais assez de laisser la peur entraver notre histoire. J'en voulais davantage. Je voulais Sean, et j'allais le prendre. Je finirais par subir les conséquences de ma décision mais, pour l'heure... j'étais décidée à m'accrocher coûte que coûte et à ne pas laisser filer cet amour.
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— Mes parents ne me parlent plus. Mon mariage est annulé. Je n'ai pas de boulot, pas de logement. Je ne peux même pas revendre ma robe de mariée parce que je l'ai bousillée.
— Tu es vraiment trop nulle, railla Marisol.
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— C'est quoi cette histoire de caleçon ?
— Et alors ? Chacun sait que les sous-vêtements en disent long sur la personnalité de celui qui les porte. Toi, par exemple, je suis prête à parier que tu es du genre grandes culottes en coton bien couvrantes.
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— Qu'est-ce que tu vois, au juste, quand tu me touches ?
— R... Rien.
Ses lèvres sensuelles m'attiraient de façon irrésistible.
— Menteuse, murmura-t-il en se penchant vers moi. Qu'est-ce que tu vois, Lucy ?
Dès que ses doigts effleurèrent ma paume, je ne pus réprimer un sursaut.
— Rien, persistai-je, les yeux fermés.
— Rien, tu es sûre ?
Il caressa ma paume.
Nos bouches qui se trouvent, nos mains qui explorent, un torse nu, un regard brûlant...
Je rouvris les yeux et dégageai vivement ma main en la cachant sous mon bras. La pluie redoubla d'intensité. Troublée, je ne voulais pas regarder Sean. Il me prit par le menton et m'y obligea. Lorsqu'il effleura ma lèvre inférieure de son pouce, je gémis.
— Je ne « vois » pas, Lucy, murmura-t-il, mais je sens.
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Il se mit à rire.
— Qu'y a-t-il de si drôle ?
— Tu es en colère contre moi ?
— Oui.
Il grimaça.
— Et contre mes parents, aussi. Et contre Preston Bailey, Michael Lafferty... sans oublier les chiffres trois et neuf.
Il se tourna vers moi sans se soucier de la route.
— Trois et neuf ?
— Ne cherche pas à comprendre.
— Et pourquoi es-tu en colère contre moi ?
— Parce que tu es une huître.
— Quoi ?
— C'est le nom que Marisol, Em et moi donnons aux hommes trop réservés, à ceux qui ne partagent pas, qui se renferment et nous laissent tirer nos propres conclusions quant à ce qu'ils ressentent.
— J'aime bien les huîtres, moi... enfin, avec du citron.
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— C'est drôle, non, cette ironie du sort ? fis-je tandis que Sean se garait devant la maison.
— De quoi parles-tu ?
— Nous deux. Moi, la marieuse phobique de l'engagement, je...
[...]
— Tu quoi ?
— Je suis avec un homme au cœur brisé. Dans tous les sens du terme.
Il rit à gorge déployée.
— Merci, Lucy !
— De quoi ?
— De me parler de mon cœur malade avec humour. Personne ne m'en parle jamais. Jamais.
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Je posai la tête sur son épaule.
— Qu'est-ce qu'on est, l'un pour l'autre ? Faut-il même le définir ?
— Je ne sais pas, avoua-t-il en me caressant les cheveux. Nous sommes quelque chose.
— J'ai du mal à m'engager, fis-je vivement.
— C'est noté, répondit-il avec un sourire.
— Je tenais juste à te prévenir...
— Me voilà prévenu, dit-il, sans cesser de sourire.
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Sean ôta ses chaussures et s'installa près de moi. Il me prit dans ses bras. En entendant les battements de son cœur, je souris.
— J'étais terrorisée, mais je savais que je m'en sortirais, dis-je, les paupières lourdes, en étouffant un bâillement.
— Pourquoi ?
— Grâce à nous, à toi et moi, ici, dans ce lit. J'en avais eu la vision. Je savais que cela se produirait. Tu es peut-être cet homme...
Mes paroles s'éteignirent. Je fermai les yeux.
— Quel homme ?
— Celui qui réussira à briser la malédiction de Cupidon, fis-je en riant.
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" Sam se leva et riva sur moi ses yeux d'un bleu intense.
- Il faut qu'on te parle.
- C'est important, renchérit Sean.
Face à sa mine contrariée, je sentis mon cœur se serrer. c'était grave, je le sentis.
- J'ai presque terminé mon entretien avec Jeremy Cross, notre nouveau cli...
Ce dernier apparut soudain derrière moi/
- Désolé, mail il faut vraiment que je n'en aille. Je vous appelle pour prendre rendez-vous. Ravi de vous avoir rencontrée, Suzy.
Il lui sourit et gagna la sortie en nous saluant d'un signe de tête. Ce départ un peu hâtif me troubla autant que ses pas précipités dans l'escalier.
- Bon, j'ai terminé mon entretien avec Jeremy Cross, dis-je à Sean.
Soudain, une idée me frappa de plein fouet et je compris ce qui m'avait perturbée : il était parti les mains vides.
- Oh non ! Il n'a pas fait ça !
- Quoi ? me demanda Sean.
- Oh non ! m'exclamai-je en me précipitant vers mon bureau.
Je dus ralentir pour ne pas me tordre les chevilles sur mes talons hauts.
- Quoi ? lança Suzy dans mon sillage.
Je m'arrêtai net sur le pas de la porte.
Si, il l'avait fait. Le sac noir était posé sur la table et deux yeux verts me fixaient derrière une grille en plastique.
Jeremy Cross m'avait laissé Ebbie."
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" Deux yeux verts étincelants me fixaient derrière une grille en plastique.
Jeremy Cross se leva et ouvrit le rabat. Glissant les mains à l’intérieur, il extirpa une petite boule de poils noirs qu'il déposa à côté du sac.
Le chat me fixait toujours de ses prunelles émeraude.
Où diable Jeremy voulait-il en venir ? Cette entrevue était décidément insolite. Il se rassit et désigna l'animal.
- Je vous présente Ebbie.
- Je ne comprends pas.
- C'est elle qui m'a ordonné de venir vous voir, maugréa-t-il."
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"- C'est trop tôt.
- Il n'y rien de mal à vous installer ensemble, Lucy, dit ma mère.
- Tu devrais lui poser la question, renchérit Preston.
J'aurais dû me douter qu'elle ne prendrait pas mon parti.
- Tu n'as rien d'autre à faire, toi ?
- Tu sais bien que non. Nous avons un rendez-vous dans quelques minutes. Et inutile de t'en prendre à moi parce que tu as du mal à t'engager.
- Je n'ai aucun problème avec l'engagement.
J'avais craqué pour Sean Donahue à la seconde où j'avais posé les yeux sur lui. Un vrai coup de foudre. J'étais fichue. Pour moi, il n'y aurait pas d'autre homme que lui. Même si, comme tous les couples, nous avions nos difficultés.
- Elle est en plein déni, railla ma mère.
- Ce n'est pas un problème d'engagement, c'est la malédiction de Cup...
Je m'interrompit avant d'en dire trop."
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" - Nous sommes venues voir Sean.
- Sean ? Pourquoi ? fis-je en lisant la une :
Aucune trace de l'homme porté disparu
- J'espère que tu voudras bien nous le prêter, railla Dovie, car j'ai l'intention de l'engager."
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Il me rappelait la première fois que je l'avais vu, lorsqu'il m'avait prise pour une folle et qu'il s'était montré bougon limite désagréable.
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— Sachez, mademoiselle Valentine, que même si je ne suis pas là, mon cœur est avec vous.
Je l'aimais tant que j'en souffrais.
— C'est d'un sentimental...
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