Hee-Jung Park

Kim Heon-In est une jeune lycée marginale, sans ami, sans contact apparent avec ses camarades de classe. Seule Yang Bo-Ram, la victime de la classe lui parle en dehors du Lycée. Lorsque cette dernière change de lycée à cause du harcèlement scolaire, Heon-In se sent coupable et va remettre son mode de vie en question. Ca sera l'occasion pour elle de faire de nouvelles rencontres et de changer de façon de vivre.



Un Manhwa vraiment intéressant mais parfois difficile à suivre. Les enchainements du récit son parfois peu détaillés, les réactions parfois peu compréhensibles.

Cela dit, le dessin est beau et agréable.



Je lirai la suite !

Ce manhwa est rempli des incertitudes, des angoisses, du passé de chacun des protagonistes. Il ne recrée pas un monde d’adolescents idéal, loin de là, il pose des questions et renvoit à ce que le “moi” de chacun attend de la vie, si il y a une envie quelque part d’avoir une attente de la vie, et comment la réaliser. L’éternel quête du bonheur ….
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Nous attaquons maintenant le dernier volume de ce manhwa avec un peu d’appréhension sur son final. Heon In est partie et ça fout un coup à tout le monde. Vraiment tout le monde, même Ji Junn avec lequel elle n’avait pas tant d’interaction que ça. C’est comme si un membre d’une grande famille était parti.



Dans ce volume nous voyons à quel point Heon In a grandi et évolué, elle dévoile ses faiblesses et va de l’avant. Mentalement elle est très forte et le démontrera une nouvelle fois, suite à une autre catastrophe.



Ji-Ho et Seo Yun ont décidé de leur côté d’abandonner les activités de nuit. L’influence de Fever a eu du bon sur eux, et leur attachement à Heon In est vraiment très touchant. Se sont devenus des amis, des vrais, de ceux qu’on ne quittera jamais vraiment.



De son côté, Gang Dae culpabilise un peu et se dévoile également. Le jeune homme adorable déprime un peu de voir que Fever ne peut pas rendre tout le monde heureux. Que c’est un cocon en haut d’une colline qui les protège du monde extérieur.



Et pour ce qui en est de Ahine et Ahlip, cela explose. Une confrontation et un choix s’imposent, alors à Ji Junn, l’un ne va pas avec l’autre. Ahine déteste fondamentalement sa famille et encore plus sa soeur. On découvre leur passé et on s’aperçoit que quelque chose est brisé. Une rancoeur infinie existe. Pour Ji Junn le choix est très dur, entre son meilleur ami de toujours et la femme manipulatrice qu’il aime.



Nous avons entre les mains un volume fort et poignant, tout n’est pas rose mais l’espoir existe encore. Le message qui est transmis par ce manhwa nous enveloppe. La vie est triste mais il y a toujours des moments heureux qui nous permettent de garder la tête hors de l’eau et c’est pour eux qu’on doit se battre.
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Suite à un flash-back nous racontant le passé de Ji Junn, c’est ce dernier qui occupe principalement ce tome-là. On y découvre ses pensées plus en profondeur, mais également les conséquences de sa bagarre avec MC.Chitken. Ahlip ne l’a pas à proprement parler piégé, mais elle suit les ordres et se sert de leur relation.



Cette dernière a honte de ce qu’elle fait, mais elle s’en sent obligée. Elle n’a pas envie de se battre contre le système et veut également faire avancer sa carrière. Nous avons à faire à une manipulatrice dont les sentiments sont de plus en plus malmenés.



D’un autre côté il y a toujours Ahine qui est là pour Ji Junn. Ahine est son meilleur ami, mais son comportement ambigu ne laisse plus de place pour le doute. Ji Junn ne s’en rend pas compte, ou il ne veut pas voir.



Parallèlement, Seo Yun, une amie de Ji-Ho, prend de plus en plus de place aux côtés de Heon In et Gang Dae. Ce n’est pas pour nous déplaire, car son rôle est vraiment très attachant. Seo Yun est une grande et belle femme qui a des traits un peu masculin, racaille, elle semble vouloir se ranger. Il est très intéressant de voir son intégration. Mais on sent que son arrivée n’est pas sans souci, elle possède des liens qui ne veulent pas la lâcher.



Comme prévu, ce volume est très tumultueux ce qui le rend d’autant plus intéressant, et de nombreuses questions demeurent sans réponse. C’est donc avec grand intérêt qu’on se jettera sur le dernier volume de la série !
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Si l’on pensait se retrouver coincé entre les trois protagonistes principaux pour un triangle amoureux, il n’en est rien, du moins pas directement avec Heon In, Gang Dae et Ji Junn.



Heon In découvre qu’en haut de la colline ne se cache pas un repère de voyous, mais une école, une école libre comme on a pu en voir dans Cat Street de Kamio Yoko (Glénat). L’école qui se nomme Fever est dirigée par l’oncle de notre apprenti manhwaga qu’est Gang Dae. Fever est une école particulière qui recueille les personnes qui ont abandonné le système scolaire traditionnel afin de pouvoir se remettre sur les rails sans la pression sociale régnante.



De plus, l’école faisant aussi pensionnat, la jeune fille veut l’intégrer. Elle présente la situation à ses parents qui comprennent que leur fille a besoin de se ressourcer. Ils prennent étonnamment bien la situation.



L’intégration dans cette école fréquentée par bien peu d’élèves nous permet de faire la connaissance de nouveaux personnages, comme le beau Ji-Ho, un jeune homme un peu étrange en manque d’affection, ainsi que ses amis du soir.



La seconde moitié du volume se concentre sur Ji Junn et son interaction avec la fratrie qui l’entoure. Et nous avons Ahine qui l’épaule et dont les sentiments semblent de plus en plus visible. Puis l’étrange Ahlip, la soeur d’Ahine, qui l’entraîne dans ses soirées sans trop qu’on ne comprenne ses véritables intentions. Mais les folles sorties de la jeune femme ne resteront pas sans conséquences pour notre héros.



Ce nouveau volume nous permet de commencer à voir les lignes conductrices de la série. Gang Dae et Heon In d’un côté et de l’autre Ji Junn, Ahine et Ahlip. Des situations qui continuent d’avancer sans grandes conséquences pour l’instant, mais on sent que le tout va s’accélérer par la suite.



En tout cas, ce volume arrive à nous attacher encore un peu plus aux personnages. Ils restent tous fondamentalement sympathiques et nous donnent envie d’en savoir plus sur leur vie et leur ambition.
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Kim Heon In est une jeune lycéenne mal à l’aise dans son environnement. Elle se coupe de ses camarades et s’isole volontairement afin de ne pas être le souffre-douleur. Ce rôle, elle l’a laissé à Yang Bo Ram, une jeune fille qui a changé d’école. Heon In se sent malheureuse et pitoyable à cause de cela. A l’extérieur de l’enceinte du lycée elles étaient amies, mais elle n’a pas su faire un geste envers elle, de crainte d’être également la cible de ces bourreaux.



Heon In est mal dans sa peau, elle étudie du mieux qu’elle peut, mais elle en a marre, elle n’en peut plus, sa famille est à ses yeux pleine d’hypocrisie. Elle veut que tout s’arrête, et s’enfuir loin. Suite à un incident à l’école, Heon In prend le bus et part.



C’est ainsi qu’elle fait la connaissance du joyeux et adorable Ko Gang Dae et de son chien. Un jeune homme charmant et optimiste qui lui montre une autre façon de voir les choses. Il lui ouvre les yeux et lui donne un semblant d’espoir.



En parallèle, on fait la rencontre de Kang Jijunn, un garçon sauvage, amoureux et franc. Il a un caractère de cochon mais est épaulé par son ami de toujours Ahine. Un jour après avoir trop picolé, Ahine l’emmène chez lui et Jijunn tombe sur une mystérieuse jeune femme.



Ce premier volume est très introductif et nous permet de comprendre l’état d’esprit de chaque personnage. Heon In qui doit se reconstruire et apprendre à vivre avec sa culpabilité, Jijunn qui est en perpétuel manque d’affection et Gang Dae qui respire la joie de vivre. Trois personnages différents les uns des autres entourés d’autres personnalités très intéressantes.



On s’interroge sur la rencontre du trio et où est-ce qu’elle va nous emmener et quel sera son aboutissement.



Le style de dessin est quant à lui assez particulier mais a une touche très agréable, et est plutôt joli ! Le graphisme nous rend les personnages attachants et les caricatures de ces derniers nous font sourire.



Malgré une histoire avec un fond mélancolique, l’humour est présent et le tout est vraiment sympathique. On s’intéressera ainsi avec grand plaisir à la suite de ce manhwa.
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Martin a atteint la ville. Mais où est John ? Est-il en vie ? Ou blessé ? Et si oui, pourra t-il s’en remettre ?



Plus loin dans le désert, et contre toutes attentes, Hanan s’attache à son prisonnier bien qu’il ait une façon toute particulière de le montrer.



A la fin de ce tome nous apprenons une chose étrange et incroyable qui en remet beaucoup d’autres en question. Qui est vraiment Martin ? Ses pertes de mémoires sont-elles directement liée à cela ?



Si l’histoire pouvait déjà sembler bizarre avant, là elle devient carrément hors de contrôle. Beaucoup d’infirmations de ce qu’on connaissait et pas mal de nouvelles règles concernant l’univers établi viennent bousculer une histoire déjà un peu complexe.



Les dessins sont toujours aussi beau et détaillé. C’est le traitement des yeux en particulier qui intrigue, l’autrice ayant réussi à les rendre aussi expressifs que s’ils étaient vrais.



(suite sur le blog)
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On retrouve John dans un souvenir de son enfance. On comprend pourquoi Istisra, le roi et frère de John, est si malheureux et puis nous sommes renvoyé dans le présent.



John emmène Martin vers la ville mais en chemin ils croisent des autochtones qui démasquent la vraie nature de Martin. Un terrien.

Le touareg fait alors la seule chose qui puisse sauver Martin. Il les assassine tous.

Ce qui vaudra quelques tentions et disputes dans l’équipage. Martin ne supportant pas que cette famille soit morte juste pour le sauver, lui.



Malgré cela les sentiments qui n’étaient qu’esquissés dans le tome 2 vont se renforcer et, après s’être observés discrètement de longues pages durant, peut-être tomberont-ils enfin dans les bras l’un de l’autre.



(suite sur le blog)
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Le tome 2 reprend là où le premier s'était arrêté. Ça parait con-con dit comme ça, mais vu comment le tome 1 était arrangé c'était loin d'être une évidence. Pendant un petit quart de volume l'histoire, celle, très tendre, du jeune Martin, un enfant adopté par John et qui porte le même prénom que le meilleur ami de celui ci, va nous livrer ce qu'elle avait encore à nous dire et même avoir droit à quelque chose qui peut être considéré comme une fin tout à fait convenable.

Et c'est là que le résumé que l'on trouvait un peu étrange jusque là va prendre tout son sens. Dans la nouvelle histoire nous retrouvons un Martin perdu au milieu du désert, sur une autre planète, et son sauveur, une sorte de touareg intergalactique aux mystérieux yeux mauve. Tout deux vont voyager ensemble vers un patelin où le jeune terrien sera en sécurité. Ces derniers ne faisant clairement pas l'unanimité au sein du peuple local. Ils vont faire connaissance et nous allons pouvoir les regarder s'observer en coin pendant un bon paquet de pages.



Le tome un ne pouvait pas vraiment être qualifié de boy's love. C'est évoqué sous forme de souvenir et juste en texte dans la première histoire et puis basta. Le second ne l'est pas vraiment davantage à l'exception des quelques pages muettes et très belles clôturant l'histoire du début. A part ça c'est très vaguement sous entendu vu que tout les habitants de Tua-Retereq (la planète où se déroule l’histoire) sont tous des hommes, ayant néanmoins la possibilité de se transformer en femmes une fois par an, s'ils sont amoureux, pour porter l'enfant de leur âme-sœur. Mais à part ça la relation entre Martin en John ne peut clairement pas être qualifiée d’amoureuse.

Ils sont plutôt dans ce qu'on pourrait qualifier de période d'observation.



Cette critique me semble un peu décousue mais j'ai envie de dire qu'elle est ainsi au diapason des deux tomes concernés.

Mais s'il s'agit d'un manhwa assez particulier, du genre étrange et qu'on ne voit vraiment pas partout, il est, pour moi, vraiment très intéressant. J'ignore si l'auteure savait dés le départ où elle allait ou si elle a improvisé. La réponse se trouve très certainement dans les derniers tomes mais il nous en manque sept en francophonie pour le découvrir.



J'ai ressorti mes tomes cette semaine sur un coup de tête et ça ma rappelé la frustration que j'avais ressentie à l'époque en apprenant que je ne connaitrais jamais la fin, du coup je vais très certainement me lancer à la recherche de scans d'ici peu, quitte à ce qu'ils soient en anglais.
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Une des très bonnes séries de la défunte maison Samji. Encore une dont je ne connaitrais probablement jamais la fin. Oh, frustration.



Alors, déjà le résumé n'a rien à voir avec le premier tome. Dans celui ci trois histoires sans le moindre rapport les unes avec les autres et ne se déroulant pas dans le même univers sont entrelacées et nous passons de l'une à l'autre sans savoir si nous reviendrons un jour aux précédentes. Le point commun entre ces histoires est que les protagonistes sont toujours deux jeunes hommes aux noms de Martin et John. Entre changements d'histoires et flashback ce tome est un peu difficile à suivre et la première lecture nous laisse en général très confus.e.s (pour preuve la quasi totalité des commentaires trouvés sur différentes plateformes et le souvenir de ma propre perplexité). Pourtant, sans qu'on ne sache très bien ni comment ni pourquoi, nous sommes irrémédiablement attiré.e.s par cette œuvre et au bout de peut-être quelques semaines ou mois on la reprend, on la relis, on voit des choses qui nous avaient échappé et, au bout de trois, quatre, parfois cinq lectures ou plus on fini par trouver une certaine poésie dans cet enchevêtrement distordu.



Je me souviens avoir acheté le premier tome à sa sortie. L'admin du forum Samji nous l'avait vendu comme un titre original et visuellement très beau. Et c'est vrai que cette couverture elle donne envie de se toucher, bordel. Étant fan de plusieurs de leurs foutrement excellentes séries je pense n'avoir même pas lu le résumé avant de commander leur nouveau petit bijou.
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Heon-In intègre le refuge "Fever" tantôt une maison, tantôt une école. Elle va y apprendre l'amitié, la vie en groupe et surtout, elle va apprendre à se construire elle-même.



J'ai plus apprécié ce second tome qui m'est apparu plus clair que le premier, même si des zones d'ombres persistent.

J'ai beaucoup l'intrigue autour de Jijuun, un adolescent beau, colérique et passionné. Je trouve qu'il a une belle relation avec Ahine, une belle relation que l'on devine ambigue, qui va être bouleversée par l'arrivée d'Ahlip

Enjoy !

A lire