Je me plaisais en compagnie des filles, mais je me rendis compte assez vite que je restais insensible à leur charme. Désirer des garçons ne signifiait pas pour moi détester les filles ou éprouver du dégoût à leur contact, bien au contraire : simplement, elles me laissaient indifférent, et si je ne tombai amoureux d'aucune, ce ne fut pas faute d'avoir essayé ! (p.29)