Liszt qui était entré dans l'ordre de saint François, sur la fin de sa vie touché lui aussi, touché à son tour par la grâce dispersée dans l'air d'Assise, sept siècles plus tôt, dispersée par le souffle du saint comme les étamines du pissenlit par le vent. Cette conversion avait inspiré de merveilleux morceaux à ses compositions, ainsi "la prédiction aux oiseaux" dans laquelle le chant des mésanges, leurs arpèges tapageurs, trilles joyeux et staccatos effrénés s'étaient faits musique.