Sans un regard pour la vie alentour, elle laissait son esprit vagabonder et se perdre dans des pensées où les œillets se mêlaient au jasmin, les roses aux bleuets.
Dans ce petit monde de pétales et de feuillages, les fleurs étaient sa seule compagnie. Et cela la rassurait. Madame Hortense ne parlait jamais. À personne.