Je vis dans un chenil plein de chiens costauds et optimistes.
"Moi" disait l'un, "quand je serai grand je garderai les bêtes."
"Moi", disait l'autre, "je défendrai mon maître contre les intrus et les voleurs."
"Et moi qui suis tout petit et angoissé", me demandai-je, "à quoi pourrai-je bien être utile?".
C'était une enfant sage et éveillée qui, à dix ans, était déjà petite pour son âge.
Quand il était là, le papa de Tekenika était un grand pêcheur. Maintenant qu'il n'est plus là, c'est Tekenika qui rapportera le poisson.
« Qu’on puisse être si beau, et se sentir idiot, jamais Riquette n’y avait pensé. « … C’est drôle, ça me rappelle un livre que j’ai lu », dit Riquette, et elle récita un passage d’un conte de Perrault qu’elle avait appris par cœur : « Il n’y a rien qui marque davantage qu’on a de l’esprit que de croire n’en pas avoir ; et il est de la nature de ce bien-là, que plus on en a, plus on croit en manquer. » « Ce qui veut dire », reprit Riquette, « que les vrais idiots sont ceux qui pensent avoir tout compris. Donc, toi, tu n’es pas un vrai idiot! »
Henri et Suzanne Bolkodaz habitent dans une maison près de la forêt. Ils ont un chat. Quand monsieur Bolkodaz se réveille de sa sieste il voit sa femme et son chat devant le miroir de la cheminée. Elle lui dit que le miroir est mou. Alors monsieur Bolkadaz s’approche et ils passent tous les trois à travers le miroir. De l’autre côté, avec leur chat Chat, ils sont attaqués par des loups et par des bêtes féroces, deviennent riches et malheureux, et se mettent à parler de travers. Mais comment monsieur et madame Bolkodaz feront-ils pour sortir du miroir et fêter leurs retrouvailles et se raconter leur rêve ?
Suzanne et Henri Bolkodaz habitent une maison près de la forêt. Ils ont un chat. Quand Henri se réveille de sa sieste il voit sa femme et le chat qui regardent le miroir sur la cheminée. Il s’approche et tous les trois traversent le miroir. Que va-t-il se passer de l’autre coté et arriveront’ ils à regagner leur maison douillette ?