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Citations de Henri-Frédéric Amiel (345)


Henri-Frédéric Amiel
La volonté rend le succès probable, et la sérénité facile.
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Henri-Frédéric Amiel
La tolérance est une vertu du coeur, non le privilège d'un point de vue.
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Henri-Frédéric Amiel
Apprends à être ce que tu es et apprends à accepter de bonne grâce tout ce que tu n'es pas.
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Henri-Frédéric Amiel
Faire aisément ce que d'autres trouvent difficile à réaliser, c'est le talent ; faire ce qui est impossible au talent, c'est le génie.
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Henri-Frédéric Amiel
La mémoire fait partie de notre être : oublier, c'est mutiler son âme, c'est dessécher son cœur ; oublier c'est cesser d'être homme.
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Henri-Frédéric Amiel
Faire aisément ce que d'autres trouvent difficile à réaliser, c'est le talent. Faire ce qui est impossible au talent, c'est le génie.
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Henri-Frédéric Amiel
Revois deux fois pour voir juste : ne vois qu'une pour voir beau.
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Henri-Frédéric Amiel
On comprend les femmes comme la langue des oiseaux, d'intuition ou pas du tout. La peine, l'étude, l'effort ne servent de rien ici : c'est un don et une grâce. Pour comprendre ces énigmes vivantes, il faut les aimer.
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Henri-Frédéric Amiel
La sérénité est une harmonie chaque jour reconquise.
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Henri-Frédéric Amiel
Le monde refleurit toujours, le tout est de survivre aux orages.
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La gloire ne couronne que les victoires gagnées et non les victoires espérées.
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3 février 1857 – Pourquoi parle-t-on d’ordinaire d'une façon si vulgaire, sans exactitude, sans naturel, sans élégance ? L'habitude de la laideur serait-elle aussi difficile à prendre que celle de la souffrance ? Je ne sais, mais je pâtis comme au premier jour et même davantage de cette déplorable barbarie, qui respire dans chaque phrase et presque dans chaque mot. L’élégance des mœurs, le langage choisi, la grâce et l'urbanité sont la récompense du respect de soi-même et des autres. Et comme ici on « ironise » et « prosaïse » tout, il en résulte je ne sais quelle grossièreté qui déprave un fond meilleur.

2703 – [10/18 n° 281/2, p. 20]
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Voir vrai, c'est la science ; voir beau, c'est la poésie.


p.94
Journal Intime, le 3 juin 1877.
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Le journal me dépersonnalise tellement que je suis pour moi un autre.
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Henri-Frédéric Amiel
Il y a un charme indéfinissable à se sentir vivre quand tout repose; on se devient transparent à soi-même, le tumulte de la vie extérieure et de la pensée s'apaise, et à travers ses vagues qui s'aplanissent et qui se taisent, on aperçoit transparaître le fond paisible et silencieux du coeur. C'est l'heure du recueillement intérieur.
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11 avril 1857 – La poésie enfantine consiste à simuler l'avenir en le devançant, comme la poésie de l'âge mûr consiste parfois à revenir en arrière jusqu'à l'âge d'or. La poésie est toujours le lointain, le point de perspective. Entrer dans la poésie d'un âge pour la diriger, c'est toujours l'art du gouvernement moral. J'y ai quelque facilité avec les enfants ; aussi m'aiment-ils et m'obéissent-ils.

2709 – [10/18 n° 281/282, p. 77]
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L'essentiel de l'homme c'est d'être humain, c'est ce qu'on oublie trop dans la société d'aujourd’hui
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Henri-Frédéric Amiel
JOURNAL INTIME



Extrait 6

L'Américain Allan Poe : Cette physionomie littéraire
m'a extrêmement frappé… Cette rage de curiosité, cette
soif de science, cet âpre poursuite du vrai, cette ar-
dente et intense contemplation intérieure qui transforme
le monde en rêve et le rêve en réalité, ce partage entre
la critique, la poésie, la psychologie, et les sciences posi-
tives, cette passion de l'immense et du détail, ce besoin
de percer les mystères, d'entrer dans les régions inson-
dées et peut-être insondables, cette attraction pour l'in-
connu, cette inclination véhémente à introduire le calcul
dans la fantaisie, à mesurer l'abîme, à chiffrer l'analyse
de l'infini, à rayonner en tous sens, par toutes les métho-
des, à supprimer graduellement toutes les limites de la
pensée, et à étendre la conscience jusqu'aux limites de
l'être, tout cela constitue une nature puissante, mais dis-
proportionnée, faite pour la gloire et l'infortune, et
excite une attentive mais douloureuse admiration.
(Novembre 1852).
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Henri-Frédéric Amiel
Petite perle cristalline
Tremblante fille du matin
Au bout de la feuille de thym
Que fais-tu sur la colline ?

Avant la fleur, avant l'oiseau,
Avant le réveil de l'aurore,
Quand le vallon sommeille encore
Que fais-tu là, sur le coteau ?
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La France a toujours cru qu'une chose dite était une chose faite.
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