Dans l’église où retentit un cantique populaire russe, je suis un homme nouveau, c’est comme si j’étais autre, avec un cœur qui bat différemment dans une lumière immense.
Mon Dieu que tout est bien !
Doit-on payer un tel moment qui n’a plus ni soupir ni crainte, où le corps d’un homme n’est plus que torrent de vie et joie de vivre. Doit-on vraiment payer ce moment divin?