Henrik Lange

La pianiste :
Erika Kohut, c'est une femme avec un lourd bagage. Déjà elle est prof de piano, en plus elle vit chez sa mère qui est tyrannique et, ah oui, elle a aussi des pulsions sado-maso. Ouais, y a ça aussi.
Un de ses élèves de piano tombe amoureux d'elle et Erika lui écrit une 'lettre d'amour' où elle lui explique comment agir avec elle. Au début il dit non mais ensuite il la bat et il la viole. Pas très classique comme histoire d'amour.
Erika va au récital de piano, elle voit Walter et elle trouve le moyen de se poignarder.
Parce qu'apparemment c'est ce qui se passe quand on fait pas de thérapie.

« Au commencement, Dieu crée tout le bazar (pas de vacances).
Avance rapide : Jésus, fils de Dieu naît (vacances !) et meurt sur la croix pour nos péchés (re-vacances).
Mais à la fin, il y a quand même des chances qu’on aille tous en enfer. »

La Bible

« « La règle numéro un de fight club c’est de ne pas en parler. » Note : cette règle absurde ne nous arrange pas vraiment pour parler du film. »

Fight club, David Fincher

FACTOTUM : Henry Chinaski picole. Et il couche avec des putes. Et il repicole. C'est la vie selon Bukowski.

« Les japonais sont chassés de l’île mais pour les Américains, c’est une victoire mi-figue mi-raisin. Un peu comme quand vous embrassez votre sœur sur la bouche, trop content d’avoir roulé votre première pelle mais pas vraiment emballé par la réalité de la chose. »

Les nus et les morts, Norman Mailer

« Ecouter le discours de mecs en toc ? fantasmer sur des nanas artificielles ? et tout ça à Los Angeles ? Est-ce vraiment de la science-fiction ? »

Blade Runner, Ridley Scott

American Psycho :
Patrick Bateman est un blaireau de Wall Street. Il voue un culte à l'argent, à sa personne, à ses diplômes, à sa personne, aux cartes de crédit, à sa personne...
Ah, autre chose, Patrick tue des gens. Sympa, le mec. En plus, il bosse à Wall Street.
Il est de plus en plus taré et on ne sait pas s'il tue pour de vrai ou si c'est dans son imagination.
Mais une chose est sûre, c'est toujours un blaireau de Wall Street.

Alors George tue Lennie pour qu'il échappe à la prison. C'est à ça que servent les amis.

Ici, un dessin a été réutilisé afin d'économiser du temps et de remplir une page.

Leçon n°1 : tuer le cheval de votre ennemi.
Leçon n°2 : tuer le commissaire de police véreux.
Leçon n°3 : tuer tous vos ennemis pendant le baptême de votre neveu.

-Le parrain, Francis Ford Coppola-

« C’est ça, vous êtes plein aux as mais c’est votre luge qui vous manque. A d’autres. »

Citizen Kane, Orson Welles

« Il subit un lavage de cerveau et il est transformé en zombie qui boit du gin toute la journée. Bah y a pire, non ? »

1984, George Orwell

Les choses se compliquent. Roméo est banni après avoir assassiné le cousin de Juliette et celle-ci feint sa propre mort.
Ça marche si bien que Roméo tombe dans le panneau et se suicide.
L'autre se réveille, le voit mort et se tue pour de bon. Bref, c'est ce qu'on appelle un quiproquo.

Dans le futur, Maria demande à la classe ouvrière de ne pas se révolter et leur annonce l’arrivée d’un « Médiateur » pour réconcilier la tête et la main. Comme ça on dirait que ça parle de masturbation, mais non.

-Metropolis, Fritz Lang-

Alors, les dauphins ou la petite américaine sexy ? Dilemme cornélien... Il choisira les dauphins. Mais vous ne pouvez pas comprendrez, vous n’êtes jamais sorti avec un dauphin. 

-Le grand bleu, Luc Besson-

« 7 générations se succèdent sur 100 ans et ils ont tous les mêmes prénoms, genre José, Arcadio ou Aureliano. A la 7e génération, le bébé Aureliano (tiens ! je vous l’avais bien dit) se fait enlever par des fourmis qui, si ça se trouve, s’appellent aussi José, Arcadio ou… »

Cent ans de solitude, Gabriel Garcia Marquez

Dans cette aventure existentielle en forme de grosse farce écervelée, le croisé Antonius Block revient en Suède et y trouve la Mort qui l’attend. Et quelle est sa réaction ? Eh bien, il propose à la Mort de faire une partie d’échecs. Ça n’aurait pas été mon premier choix mais bon…

-Le septième Sceau, Ingmar Bergman-

« Que se passe-t-il quand deux surréalistes fin saouls font un film ? Il y a des yeux crevés ! »

Le chien andalou, Luis Bunuel

« Il se dit qu’écrire un roman pourrait donner un sens à sa vie. Mais n’empêche que ça changera pas le fait que c’est un gros naze qui n’a même pas de meuf. L’ANGOISSE ! »

La nausée, Jean-Paul Sartre

« Meursault est un de ces existentialistes qui ne croient en rien. A l’enterrement de sa mère, transpirer, il peut mais pleurer, ça, il peut pas. »

L’étranger, Albert Camus