... (les) contemporains de Noménoé restèrent indépendants du grand empire carolingien, et, par là, n'eurent pas à recevoir le grand ordre de destruction des pierres, promulgué par Charlemagne, sous peine d'excommunication.
La France carolingienne n'a donc conservé que les pierres cachées au fond des bois et dans les fourrés où les missi dominici ne surent pas les trouver.