La Lumière pour moi est toujours venue des "inclassables" et des "déclassés", des "étranges" et des "étrangers". [...] La faiblesse de ces "petits" m'a obligé à sortir de moi-même et m'a révélé la vérité de l'amour insondable de Dieu.
Ce n'est pas moi qui "dois" m'occuper des plus souffrants par pitié, par obligation morale ou par "charité chrétienne" : j'ai besoin d'eux. Leur présence m'est vitale.