Il est curieux de constater que l'Espagne, à son époque de déclin, a exercé sur le monde une influence égale à qu'elle celle avait au moment de sa plus grande prospérité. Cervantès comme écrivain et Vélazquez comme peintre, apportent à leur pays natal une immortalité qui rejette dans l'ombre la mémoire de personnages tels que Charles Quint, Philippe II, etc.