AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

3.76/5 (sur 17 notes)

Nationalité : Uruguay
Né(e) à : Montevideo , le 20/10/1902
Mort(e) à : Montevideo , le 13/01/1964
Biographie :

Pianiste de talent, il cultiva aussi une fantaisie poétique originale dans Livre ouvert (1929), l'Envenimée (1931), réflexion sur l'écriture, Au temps de Clemente Colling (1942), où il évoque son enfance, les Hortenses (1949) et la Maison inondée (1961), au climat fantastique. Son œuvre, peu connue du grand public malgré les critiques élogieuses de lecteurs comme Supervielle, est considérée par ses pairs comme l'une des plus grandes de la littérature uruguayenne du XXe siècle.

Source : http://www.larousse.fr/encyclopedie/litterature/Hern%C3%A1ndez/173950
Ajouter des informations
Bibliographie de Felisberto Hernandez   (4)Voir plus

étiquettes

Citations et extraits (4) Ajouter une citation
Primero se veía todo lo blanco: las fundas grandes del piano y del sofá y otras, más chicas, en los sillones y las sillas. y debajo estaban todos los muebles; se sabía que eran negros porque al terminar las polleras se veían las patas. —Una vez que yo estaba solo en la sala le levanté la pollera a una silla; y supe que aunque toda la madera era negra el asiento era de un género verde y lustroso. Como fueron muchas las tardes en que ni mi abuela ni mi madre me acompañaron a la lección y como casi siempre Celina —mi maestra de piano cuando yo tenía diez años— tardaba en llegar, yo tuve bastante tiempo para entrar en relación íntima con todo lo que había en la sala. Claro que cuando venía Celina los muebles y yo nos portábamos como si nada hubiera pasado.
Commenter  J’apprécie          120
Quand il revient à la maison noire, un peu de soleil entrait encore dans la chambre. En passant devant un miroir, et malgré le rideau tiré, il y vit son visage ; à travers le tissu des rayons de soleil tombaient sur le miroir et faisaient briller ses traits comme ceux d'un spectre. Il frissonna, ferma les fenêtres et se coucha.
Commenter  J’apprécie          40
La poupée avait une robe de mariée et ses yeux grands ouverts fixaient le plafond. On ne savait pas si elle était morte ou si elle rêvait. Ses bras écartés pouvaient signifier une attitude de désespoir ou d'abandon heureux. Avant d'ouvrir le tiroir de la petite table et de lire la légende de cette mariée, il voulait imaginer quelque chose : peut-être attendait-elle un fiancé qui ne viendrait jamais ; il l'avait abandonnée quelques instants avant la noce. Ou peut-être était-elle veuve et se souvenait-elle du jour où elle s'était mariée ; peut-être même avait-elle mis cette robe pour se donner l'illusion qu'elle allait se marier.
Commenter  J’apprécie          32
Quand j'étais enfant, j'ai vu un malade : quand on lui montrait l'une de ses mains, il disait que c'était la main de quelqu'un d'autre.
(Le Journal de l'impudent)
Commenter  J’apprécie          40

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Felisberto Hernandez (28)Voir plus

Quiz Voir plus

Cherchez l'intrus !

Trouvez l'intrus !

Victor Hugo
Gustave Flaubert
Prosper Mérimée
Denis Diderot

11 questions
260 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *}