Ce soir j’ai un projet tout particulier pour elle qui me fait bander à mort rien que d’y penser : Il se joue dans sa ville une finale régionale de rugby et je suis sûr que, gagnante comme perdante, l’équipe locale sera enjouée de trouver ma chère belle - mère en petite tenue dans son vestiaire, prête à toutes les perversions pour féliciter ou consoler les joueurs. Je les ai déjà vus jouer, ce sont tous des athlètes de pas loin de cent kilos, entre 20 et 35 ans. Michelle va avoir à faire à des bestiaux de belle qualité ! Elle a tout intérêt à être en forme elle - même !
Mais avant cela, j’ai l’intention d’emmener belle - maman faire un peu de shopping. Et je me souviens avoir précisément remarqué un endroit adéquat tout près de la gare, comme souvent …
Même si elle nous joue parfaitement la comédie, je sais que belle - maman n‘est pas plus paniquée que ça : elle n’est pas bâillonnée, elle pourrait hurler à l’aide si vraiment elle se sentait en danger. Je crois que ma présence la rassure …
- Laurent ! Supplie Michèle, tu n’es pas obligée, si tu m'as aimé, ne les laisse pas me faire ça !
- Je t'ai aimé justement, et il a fallu que t’ailles voir ailleurs ! Insatiable garce. Tu vas enfin l’avoir ta correction ! Et on va faire ça en famille, salope.
Peut heurter les plus sensibles
En tout cas, elle a hâte que sa mère lui raconte sa soirée ! Vu comme elle a insisté pour que Thomas passe la chercher, il a dû s’y passer quelque chose d’extraordinaire ! Un mec peut - être ? Et c’est ce qui lui ferait le plus grand bien à sa mère ! Thomas a raison, elle est coincée du cul et comme il dit, un bon coup de bite ne lui ferait pas de mal !
Sur cette réflexion, son esprit vagabonde et elle s’imagine instantanément sa mère se faire prendre en levrette, par Thomas . . . Imaginer son homme enfoncer son gros pieu dur comme du bois dans les chairs molles de sa mère l'a fit frémir . . . de plaisir . . .
Mais qu'est - ce qui lui prend ! C’est sa mère ! Et c'est son mec ! L'équation était impossible !
Peut heurter les plus sensibles
Pendant qu’elle suce les deux bites collantes, elle se fait totalement déshabiller par le patron portugais, qui a l’air de la trouver très à son goût ! Quelle n’est pas sa surprise, quand il défait le nœud de la corde, de trouver deux godes bien enfoncés dans les orifices de ma belle - mère ! Il ne lui laisse que ses chaussures à haut talon.